• Si vous êtes du Québec, ou de passage...

    Une invitation de Laurette Lepage

     

     

    Chère amie, cher ami,

     

    Une bonne nouvelle ! Il est né, enfin, le « fameux » livre Debout, les pauvres ! publié aux éditions Novalis.

     

    Le lancement officiel aura lieu à Québec au :

    Centre Victor-Lelièvre, le jeudi 28 mai à 19h30 et se déroulera sous la haute présidence de Mgr Pierre-André Fournier, archevêque de Rimouski et auteur de la préface.

     

    Un chant magnifique, L’Autre Visage, composé spécialement pour la circonstance par Richard Vidal, auteur reconnu, sera disponible en format CD et accompagnera le livre à un prix spécial de lancement.

     

    L’auteur lui-même interprétera la chanson durant la soirée.

     

    Un « punch » amical d’honneur, accompagné d’un léger buffet, sera offert grâce à de généreuses collaborations…et je serai sur place, bien sûr, pour dédicacer ton bouquin.

     

    Il serait grandement apprécié de confirmer ta présence au plus tard le 10 mai au Centre Victor-Lelièvre, soit par téléphone au 418-683-2371 poste 221 ou par Courriel à cvl@centrevictorlelievre.org.

     

    Avec la Fraternité de l’Épi, nous t’attendons,

    dans la joie de célébrer un événement

    significatif que certains qualifient déjà

    de « prophétique ». Pourquoi pas ?

     

    Laurette Lepage

    Bon succès Laurette avec ce lancement
    Richard

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  • Un nouveau document sur internet et les médias en préparation au Vatican 

     

    Le 26 mars 2009  - (E.S.M.) - Le Conseil pontifical pour les communications sociales a annoncé la préparation d’un document sur internet et les media de masse. Ce document entend mettre à jour l’instruction "Aetatis Novae" de 1992, désormais dépassée, alors que la communication du Saint-Siège vient d’être mise à mal dans plusieurs dossiers délicats, notamment avec la malencontreuse gestion de l'affaire Williamson, dont Benoît XVI a récemment levé l'excommunication.

    Mgr Claudio Maria Celli, président du Conseil pontifical pour les communications sociales


    Un nouveau document sur internet et les médias en préparation au Vatican


    Le 26 mars 2009  -
    Eucharistie Sacrement de la Miséricorde - Le Conseil pontifical pour les communications sociales a annoncé la préparation d’un document sur internet et les media de masse, le 25 mars 2009. Il a fait cette annonce quelques jours après le séminaire qu’il avait organisé au Vatican sur les "Nouvelles perspectives pour les communications ecclésiales".

    Ce document entend mettre à jour l’instruction "
    Aetatis Novae [italien]" de 1992, désormais dépassée, alors que la communication du Saint-Siège vient d’être mise à mal dans plusieurs dossiers délicats. Voir notamment la malencontreuse gestion de l'affaire Williamson, du nom de l'évêque intégriste négationniste, dont Benoît XVI a récemment levé l'excommunication.

    Dans une interview accordée à l’agence de la Conférence épiscopale italienne Sir, le président du Conseil pontifical pour les communications sociales, Mgr Claudio Maria Celli, a ainsi affirmé qu’"étant donné les développements en cours, les évêques
    (du monde entier réunis au cours du séminaire, ndlr) ont commencé à réfléchir sur un nouveau document. En substance, une mise à jour de l’instruction 'Aetatis Novae', qui remonte à 1992, lorsque - on peut le dire - internet n’existait pas".

    "Les nouvelles technologies ont conduit à de nouveaux comportements, de nouvelles sensibilités", a constaté Mgr Celli. Les principes fondamentaux d’"Aetatis Novae" restent certainement valides, a-t-il estimé, mais certaines lignes de conduite sont nécessaires pour une pastorale qui tienne compte des nouvelles réalités. Et le prélat d'affirmer pouvoir présenter le document aux membres de l’assemblée plénière du dicastère, en octobre prochain.

    Concernant l’accueil de la part des communautés chrétiennes d’une mise à jour de l’enseignement de l’Eglise en matière de communication, Mgr Celli a précisé qu’il fallait prendre en compte les différents contextes culturels auxquels on fait référence. Ainsi, on peut imaginer que "le comportement des communautés chrétiennes d’Europe ou des Etats-Unis est différent de celui d’un pays en voie de développement, où la croissance humaine et socioculturelle est freinée par différents problèmes". Il a alors souhaité que l’enseignement de l’Eglise puisse aussi faire réfléchir les communautés sur ces sujets.

    Au cours des dernières semaines, la communication du Vatican elle-même a été pointée du doigt après la mauvaise gestion de nombreuses affaires qui ont secoué l’Eglise: la levée de l’excommunication des évêques lefebvristes et l’affaire Williamson, la médiatisation de l’excommunication par un évêque brésilien d’une mère ayant fait avorter sa fille qui avait été violée, ou, plus récemment, les propos de Benoît XVI sur le préservatif lors de son voyage en Afrique.

    Toutes ces questions ont monopolisé l’attention des media occidentaux. Nombreux sont ceux qui, au sein même de la curie romaine, ont reconnu de nombreuses erreurs de communication dans ces affaires.

     

    Source : http://eucharistiemisericor.free.fr


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  • Renseignements (14 avril 2009)

     

    SIXIÈME (VIe) RASSEMBLEMENT DE LA GRANDE FAMILLE FRANCISCAINE

    ET DES AMI(E)S DE FRANÇOIS ET DE CLAIRE D’ASSISE EN HAÏTI

     

    PARTICIPATION DE TOUS

     

    Dans le but de mieux nous connaître, de susciter le partage, et de favoriser une participation concrète et active de tous, voici ce que nous suggérons :

     

    Ø      Chaque famille religieuse différente (et non pas chaque fraternité ou résidence) est invitée à préparer un poster sur bristol (environ 18 X 24) qui servira à identifier sa communauté.  Les diverses fraternités s’entendront entre elles pour désigner un porte-parole… Un maximum de 5 minutes lui sera alloué  pour présenter la communauté à tout le groupe. : fondateur-trice, année de fondation, charisme, présence en Haïti, nombre de membres, nationalités, œuvres et lieux d’engagement, etc.

    Ø      On demande à chaque participant d’apporter un cierge (fin et long : 12 pouces environ) pour illuminer les chiffres «8-0-0» du centenaire.

    Ø      Chaque fraternité peut apporter une banderole, bannière, écriteaux avec slogans, inspirés de la Bible ou de la Règle, ou autres objets pouvant servir de décoration (fleurs, rubans, drapeaux, etc.) que nous installerons ensemble sur le lieu de la rencontre. 

    Ø      Des dépliants sur votre communauté (œuvres, cheminement vocationnel etc.) pourraient être distribués aux autres communautés présentes.

    Ø      Enfin, une petite surprise (ou gâteries à partager) est laissée à votre initiative et discrétion.

    Ø      Des enveloppes contenants des offrandes volontaires pourront être déposées durant la messe.

     

    RENSEIGNEMENTS UTILES : Date, lieux, transport, coût, etc. 

     

    1.      La rencontre générale se fera à Lilavois, le samedi 2 mai 2009, à la maison de formation des Frères Mineurs. Le programme vous sera remis à votre arrivée; il prévoit des activités pour toute la journée : animation, décoration, présentation des groupes, conférence, témoignage. Le repas du midi vous sera servi sur place. En après-midi, il y aura eucharistie, engagement de vie évangélique, renouvellement des vœux, Promesse des POFS.  Enfin, évaluation et suggestions pour donner suite au Congrès termineront la journée.

    2.      Rassemblement : Depuis 6h00 du matin, on pourra se rassembler à la chapelle St-Alexandre (Place Carl-Brouard, tout près du Stade Sylvio Cator et du Marché Salomon). Nous quitterons à 7h00 au plus tard, pour revenir vers 6h00 de l’après-midi. Des autobus seront disponibles.

     

    3.      FRAIS :  transport aller-retour, collation et repas, documents : $70.00H (350 gourdes).  

    …………… ( À remettre à votre arrivée à Lilavois. Prévoir le montant exact S.V.P.)…………….

    4.      Veuillez-nous faire connaître le nombre de participants de chacune de vos fraternités ou de votre groupe, en communiquant à l’une des adresses suivantes  (URGENT!) :

     

                               yverosebernadel@yahoo.fr     TÉL. : 3402-9066;  2222-4531                                                              

                               michearb@yahoo.fr                 TÉL. : 3731-8647; 3486-8489

                               raymondmailhiot@yahoo.fr    TÉL. : 2941-4040

     

    Nos excuses pour  l’envoi des documents à la dernière minute! Merci pour votre diligence.

    Bienvenue à tous : OFM; OFS; OFMCap; TOR; SFA; AF; OSF; FMND; PSSA; MOPS; «POFS»


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  • Jean Vanier : J’aime Benoît XVI, son humilité, son courage, son acuité intellectuelle

     

     

    Le 08 avril 2009  - (E.S.M.) - Jean Vanier, fondateur de l’Arche aime Benoît XVI car il est le successeur de Pierre, le vicaire de Jésus qui lui a donné la mission d’être le berger des bergers et il le dit.

    Jean Vanier, fondateur de l’Arche

    Jean Vanier : J’aime Benoît XVI, son humilité, son courage, son acuité intellectuelle

    Le 08 avril 2009  - Eucharistie Sacrement de la Miséricorde - Alors que l’Église traverse une crise aux multiples symptômes, « La Croix » donne la parole chaque jour à une personnalité qui témoigne de ses raisons d’espérer

    Lettres aux catholiques troublés Jean Vanier, fondateur de l’Arche


    J’aime Benoît XVI car il est le successeur de Pierre, le vicaire de Jésus qui lui a donné la mission d’être le berger des bergers. J’aime son humilité, son courage, son acuité intellectuelle. Je l’aime aussi parce qu’il est attaqué en ce moment, avec parfois de la hargne ; j’aime être alors à ses côtés.

    J’aime sa recherche d’unité avec les évêques intégristes, en levant l’excommunication sans les intégrer dans l’Église tout de suite. J’aime aussi son désir d’unité avec les Églises orthodoxes, anglicanes et protestantes. Avec ces évêques intégristes, il a utilisé un geste exceptionnel – peut-être faudrait-il trouver d’autres gestes innovateurs pour l’unité avec les autres Églises, en particulier orthodoxes.

    J’aime aussi son audace, sa force et son courage dans ses
    discours en Afrique. Ils m’ont profondément touché et révélé une véritable vision pour ce continent. Pour ce qui est du préservatif, le successeur de Pierre ne peut que défendre la famille. La stabilité d’une société provient en particulier de deux éléments : la qualité de la vie familiale, la qualité avec laquelle une société lutte contre la corruption et s’engage envers les personnes les plus pauvres.

    Une Église qui sans cesse s’engage aux côtés des pauvres

    Une société ne peut devenir humaine que si l’écart entre les riches et les pauvres s’amenuise. C’est vrai au sein d’un pays comme entre les pays, dans la grande famille humaine. Il n’y a pas de paix sans justice, pas de paix sans recherche d’une harmonie entre les nations. Il ne peut y avoir de paix que si les nantis acceptent de perdre des privilèges et le monopole du savoir et des richesses humaines. Ces nantis sont appelés à rechercher le vrai bien des êtres humains dans des relations humaines avec une vraie fraternité, basée sur l’égalité des droits et dans le désir d’une vraie liberté : celle de ne pas être gouverné par la peur de perdre.

    J’aime l’Église de Jésus, j’aime l’Église de saint Jean disant que si quelqu’un voit un frère dans la nécessité et lui ferme ses entrailles, il n’a pas Dieu en lui
    (1 Jn 3, 17). J’aime l’Église de saint Jacques, qui a été blessé et en colère à cause de l’écart entre riches et pauvres dans l’assemblée des chrétiens (Jc 2). J’aime l’Église du diacre saint Laurent, qui a montré aux autorités romaines les mendiants, les SDF, les malades comme étant la richesse de l’Église et qui pour cela a été mis à mort. J’aime l’Église de saint Vincent de Paul, qui parle de ses maîtres « les pauvres ». J’ai beaucoup apprécié les encycliques des papes Jean XXIII, Paul VI, Jean-Paul II et Benoît XVI qui rappellent et répètent la nécessité non seulement de s’engager auprès des plus pauvres, mais de vivre avec eux.

    Il est vrai que les tensions en Occident viennent en partie de l’écart entre les principes et la réalité des personnes. Tensions augmentées par la façon dont les médias montrent une Église fermée, coupée de la réalité, s’abreuvant à des dogmes et à des principes plus ou moins inacceptables pour l’esprit moderne.

    Ils cachent souvent la réalité d’une Église qui sans cesse voudrait annoncer une bonne nouvelle aux pauvres et s’engage à leurs côtés. Je connais tant de prêtres qui s’engagent auprès des pauvres et font l’œuvre de Jésus. Je sais le soutien discret et aimant des papes, des évêques et des prêtres vis-à-vis de l’Arche, de Foi et Lumière et de tant d’autres communautés et mouvements engagés auprès des plus démunis.

    Un tiraillement au cœur de notre vie à l'Arche


    L’écart entre les principes et la réalité des personnes a été dénoncé par le cardinal Tomas Spidlik comme une des plus grandes questions déchirant l’Occident. À Assise, en janvier 2005, ce théologien jésuite disait : « Certains sont pour les principes, d’autres pour les personnes. Nous nous sentons obligés de choisir et nous rejetons l’autre partie : les uns refusent tout repère commun et ecclésial, les autres ne laissent aucune place à l’expérience personnelle qui n’a qu’à tenir dans les normes. De là viennent de grandes tensions en nous, des conflits entre nous, des excommunications mutuelles. L’unité n’y gagne pas. »

    Ce tiraillement est au cœur de notre vie à l’Arche. Nous vivons avec des hommes et des femmes qui sont parfois très éloignés de l’Église, et toujours en marge de la société venant de familles souvent très pauvres culturellement. Beaucoup sont perturbés sur le plan de l’agressivité et de la sexualité. Notre rôle est de les accueillir et de les accompagner avec compétence et compassion, dans leurs cris, leurs confusions et leurs souffrances. Il s’agit d’essayer d’aider chacun à faire un petit pas pour devenir un peu plus humain, plus paisible et plus heureux. Pour certains, c’est un long chemin. L’autre jour, on m’a parlé d’une jeune fille dans un hôpital psychiatrique ; chaque fois qu’elle fuguait, elle revenait enceinte. Que faire ? comment faire ? Évidemment, elle avait un grand besoin d’aide sur le plan médical, psychologique, humain et spirituel.

    Le cardinal Spidlik dit aussi qu’une des façons de réduire cette tension entre principes et personnes est la formation de bons accompagnateurs
    (qu’il appelle père ou mère spirituels) comprenant les questions des personnes, leur désarroi, et les aidant à faire un pas vers la lumière des principes. Il note qu’il y a très peu de tels accompagnateurs disposés à faire cette œuvre de compétence, d’intelligence et d’unité.

    Ne faut-il pas aussi qu’il y ait de plus en plus de communautés et de mouvements qui cherchent à vivre non seulement les principes moraux, mais les principes annoncés dans l’Évangile, les Béatitudes ? Les personnes pauvres nous montrent un chemin de vérité et d’unité, surtout quand on vit avec elles. Certes, en ce moment, il y a des turbulences dans l’Église. Chaque crise est un appel et une occasion pour mieux se situer dans son chemin de communion avec Jésus et avec les plus pauvres et démunis, et avec le pape et les évêques

     

    Source http://eucharistiemisericor.free.fr


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  • Robert Lebel chante Joyeuses Pâques

    Une montage vidéo de Denise B. que nous remercions pour son excellent travail !




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  •  
    Joyeuses Pâques !

     

    Regarde!

    La pierre du tombeau a basculé...

    Elle laisse passer le Vivant...

     

    Entre ciel et terre,

    Déchirure de lumière

    Éclatée en millions d’étincelles...

     

    Joyeuse nouvelle portée au monde

    Comme levain, semence et feu...

     

    Dieu-passant...

    Dieu-passage...

    Dieu-Pâque...

     

    Dieu pour toujours

    Au milieu de nous!

     

    Alleluia !

     

                                                                            Laurette


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  • Merci Denise B pour ce vidéo, d'autres à voir ici

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  • Le texte que nous publions ci-dessous est la traduction intégrale  (depuis la version en langue anglaise postée hier sur le blogue Rorate Cæli) de la mise au point par l’archidiocèse d’Olinda et Recife sur « l’affaire » de « l’excommunication brésilienne » qui a défrayé la chronique ces derniers jours. Il s’agit d’une affaire à la fois sordide et tragique : les viols répétés d’une fillette de 9 ans par le “compagnon” de sa mère, qui ont abouti à ce qu’elle soit enceinte de jumeaux lesquels ont été avortés brutalement alors qu’ils étaient au quatrième mois de gestation. Les commentaires précipités et téméraires d’un archevêque, d’évêques (notamment français), de prêtres, de médias et de simples particuliers sur cette abomination et contre l’archevêque d’Olinda et Recife montrent à eux seuls l'importance de ce texte.

     

    Déclaration de l’archidiocèse d’Olinda et Recife

    [16 mars 2009]


    Relativement à l’article intitulé « Dalla parte delle bambina brasiliana » [1] et publié dans L’Osservatore Romano du 15 mars [2009], les soussignés déclarent :

    1. Les faits [les viols répétés de la petite fille] ne se sont pas déroulés à Recife, comme l’écrit l’article, mais dans la ville d’Alagoinha (diocèse de Pesqueira).

    2. Tous – à commencer par le curé de la paroisse de Alagoinha (soussignataire) –, nous avons traité la fillette enceinte et sa famille en toute charité et avec la dernière tendresse. Le curé de la paroisse, usant de sa sollicitude pastorale, dès qu’il fut au courant des événements survenus sur son territoire paroissial, se rendit immédiatement au domicile de la famille, où il rencontra la petite fille et lui assura soutien et présence, face à la situation grave et difficile dans laquelle la petite fille se trouvait. Et cette attitude se poursuivit chaque jour d’Alagoinha jusqu’à Recife où le triste événement de l’avortement des deux innocents [bébés] eut lieu. Par conséquent, il est tout à fait évident et explicite que personne n’a d’abord songé à une “excommunication”. Nous avons utilisé tous les moyens à notre disposition pour éviter l’avortement afin de sauver les trois existences [la petite fille et ses deux jumeaux]. Le curé de la paroisse s’est personnellement associé aux efforts du Conseil des Enfants local dans tous ses efforts en vue du bien être de la fillette et de ses deux enfants. À l’hôpital, lors de ses visites quotidiennes, il a manifesté une attitude faite d’attention et de sollicitude, qui a clairement manifesté à l’enfant et à sa mère qu’elles n’étaient pas seules mais que l’Église, représentée par le curé de la paroisse locale, leur garantissait toute l’aide nécessaire et l’assurance que tout serait fait pour le bien être de la fillette et pour sauver ses deux enfants.

    3. Sitôt la fillette transférée  dans un hôpital de Recife, nous avons tenté d’utiliser tous les moyens légaux pour éviter l’avortement. L’Église n’a à aucun moment failli dans cet hôpital. Le curé de la paroisse de l’enfant l’a visitée chaque jour à l’hôpital, venant d’une ville située à 230 km de Recife, faisant tous les efforts possibles pour que l’enfant et sa mère ressentent la présence de Jésus, le Bon Pasteur qui part à la recherche de l’agneau qui a le plus besoin d’attention. Par conséquent, l’affaire a été traitée avec tout le soin nécessaire par l’Église et non de manière « sbrigativamente » [sommaire] comme le dit l’article.

    4. Nous ne sommes pas d’accord [avec l’archevêque Fisichella quand il évoque] « la décision difficile (…) pour la loi morale elle-même ». La Sainte Église ne cesse de proclamer que la loi morale est excessivement claire : il n’est jamais licite d’éliminer la vie d’une personne innocente pour sauver une autre vie. Voici les faits objectifs : il y a des médecins qui déclarent explicitement qu’ils pratiquent l’avortement et qu’ils continueront à le pratiquer, tandis que d’autres déclarent avec une fermeté identique qu’ils ne pratiqueront jamais l’avortement. Voici la déclaration écrite et signée d’un médecin catholique brésilien : « (…) En qualité d’obstétricien depuis 50 ans, diplôme de l’École nationale de médecine de l’Université du Brésil et ancien directeur du service d’obstétrique de l’hôpital de Andarai [Rio de Janeiro], où j’ai exercé pendant 35 ans jusqu’à ce que je prenne ma retraite pour me consacrer au diaconat, j’ai accouché 4 524 bébés, beaucoup de très jeunes [mères], je n’ai jamais eu besoin de recourir à l’avortement pour “sauver des vies”, de même que tous mes confrères, professionnellement sincères et honnêtes et fidèle à leur serment d’Hippocrate (…) ».

    5. L’affirmation [de l’article] que le fait a été rendu public dans les journaux uniquement à cause du fait que l’archevêque d’Olinda et Recife s’est empressé de déclarer l’excommunication, est fausse. Il suffit d’observer que l’affaire a été rendue publique à Alagoinha le mercredi 25 février ; que l’archevêque a fait sa déclaration à la presse le 3 mars ; et que l’avortement a été exécuté le 4 mars. Il serait excessif d’imaginer que devant un fait d’une telle gravité, la presse brésilienne ait pu demeurer silencieuse pendant une période de six jours. Donc, les informations sur la fillette enceinte (« Carmen ») ont été rendues publiques dans les journaux avant que l’avortement soit accompli. Ce n’est qu’après cela que l’archevêque, interrogé par les journalistes le 3 mars (mardi), a évoqué le canon 1398. Nous sommes convaincus que la révélation de cette peine thérapeutique (l’excommunication) fera beaucoup de bien à nombre de catholiques en les mettant en état d’éviter ce péché grave. Le silence de l’Église aurait été préjudiciable, en particulier quand on considère que 50 millions d’avortements sont pratiqués chaque année dans le monde et que, rien qu’au Brésil, un million de vies innocentes sont supprimées. Le silence peut être interprété comme une connivence ou une complicité. Si un médecin éprouve une « perplexité de conscience » avant de pratiquer un avortement (ce qui nous semble très improbable), il devrait, s’il est catholique et entend suivre la loi de Dieu, s’en enquérir auprès d’un conseiller spirituel.

    6. Cet article constitue, pour le dire en d’autres mots, une attaque frontale contre la défense de la vie de ces trois enfants, défense véhémentement portée par l’archevêque José Cardoso Sobrinho, et il rend évident combien son auteur manquait des détails et des informations nécessaires pour s’exprimer sur ce sujet, en raison de sa totale ignorance des faits. Ce texte peut être interprété comme une apologie de l’avortement, en violation du Magistère de l’Église. Les médecins avorteurs n’étaient pas dans cette perplexité morale que signale le texte. Bien au contraire, ils ont pratiqué l’avortement en pleine connaissance et cohérence avec ce qu’ils croient et enseignent. L’hôpital où a été pratiqué l’avortement de cette petite fille, est l’un de ceux dans lesquels cette procédure est tout le temps pratiquée dans notre État [État fédéré de Pernambouc] sous couvert de « légalité ». Les médecins qui ont agi comme des bourreaux pour ces jumeaux dont déclaré, et continuent à déclarer dans les médias, qu’ils ont fait ce qu’ils ont l’habitude de faire « avec une grande fierté ». L’un d’entre eux a même déclaré : « Et alors, j’ai déjà été excommunié de nombreuses fois ».

    7. L’auteur a cru pouvoir parler [d’une situation] qu’il ne connaissait pas et, pis encore, il n’a pas même pris la peine d’en parler d’abord à son frère dans l’épiscopat. À cause de cette attitude imprudente, il a été cause d’un grand scandale chez les fidèles catholiques du Brésil qui croient que l’archevêque José Cardoso a été téméraire dans ses déclarations. Plutôt que de solliciter son frère dans l’épiscopat, il a choisi de croire à notre presse ouvertement anticléricale.

    Recife (Pernambouc), 16 mars 2009.

    Père Cicero Ferreira de Paula
    Chancelier, archidiocèse d’Olinda et Recife

    Monseigneur Edvaldo Bezerra da Silva
    Vicaire général, archidiocèse d’Olinda et Recife

    Père Moisés Ferreira de Lima
    Recteur du séminaire archidiocésain

    Dr. Marcio Miranda
    Avocat de l’archidiocèse d’Olinda et Recife

    Père Edson Rodrigues
    Curé de la paroisse d’Alagoinha (Pernambouc), diocèse de Pesqueira

    [1] « Du côté de la petite fille brésilienne », de Mgr Rino Fisichella, archevêque et président de l’Académie pontificale pour la vie.

     

    Traduction pour L'Homme Nouveau : Daniel Hamiche.


    Sources:

    http://www.hommenouveau.fr/

    http://www.hommenouveau.fr/index.php?id_billet=136&suite=1
    Merci à Denise Beaudoin pour m'avoir informé de cet article sur le site de la Paroisse du Bon Pasteur

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  • Bonjour à toutes et tous,

    J'ai reçu la semaine passée de  Dominique Deman, une mise au point très intéressante en rapport avec les événements entourant la vie de l'Église de ces dernières semaines. Merci Dominique.

    À vous de juger.

       

    Extrait de l’émission Parole à notre évêque

    20 mars 2009

     

    A propos des évènements récents qui ont marqué l’Eglise : levée des excommunications de quatre évêques intégristes, de l’excommunication à Récife, des propos sur le Sida

     

     

    Sans revenir sur chaque évènement récent, je souhaiterais faire quatre remarques. En effet, ce ne sont pas des crises à cause d’un mot ou d’une mauvaise communication. Nous sommes devant des problèmes infiniment plus profonds, dont ces évènements en sont l’illustration. Ils sont les symptômes de malaises plus graves. Notre Eglise se trouve de par les circonstances, les évolutions, devant quatre problèmes fondamentaux, pour lesquels elle doit faire révision de vie.

     

    ·        La première question qui se pose est la prise en compte de la complexité de ce qui est humain. On ne peut pas avoir une morale tellement claire, tellement évidente, tellement impérative qu’aucune exception ne serait jamais possible, qu’il n’y aurait qu’à appliquer des décisions prises par des instances morales. Déjà saint Thomas d’Aquin écrivait que « la première instance morale de l’homme est la conscience éclairée, c’est-à-dire un homme qui s’est informé ». Ce problème est tellement grave qu’une morale qui voudrait répondre à toutes les questions deviendrait immorale, parce qu’elle empêcherait les sujets libres de prendre leurs propres décisions. Cette question est évidemment à la source d’autres problèmes.

    Des gens qui critiquent le siècle des Lumières comme étant un siècle de sécularisation et d’éloignement de la religion agissent exactement dans la même logique que ce siècle qu’ils contestent. Ils en sont les enfants, puisque leur approche de l’homme est tellement claire, tellement rationnelle, qu’il n’y aura plus d’obscurité. Pour eux, l’homme déploie son existence dans une clarté dont l’homme est maître à chaque moment ou est capable de le devenir. Il y a là deux aspects. Le premier est la hantise de la rigueur. Rappelons-nous que sur les papyrus qu’on mettait sur la bouche du Pharaon défunt, il était écrit : « je suis pur » cinq fois. Cette protestation était liée à la mort, pour se présenter dans l’au-delà. Justement lorsqu’on est mort, cette complexité humaine s’est éteinte. En attendant, on est toujours dans une sorte « d’entre-deux ». L’autre exemple historique est très parlant. Partout où il y a eu en France des prêtres rigoristes, moralement jansénistes comme on disait à l’époque, dans ces endroits-là, l’athéisme s’est développé. C’est-à-dire qu’une très grande rigueur provoque l’inverse de ce qu’elle recherche. Une très grande rigueur est de soi inapplicable.

    Le premier examen est de se rendre compte que l’homme est un être ambigu. Cela ne signifie pas qu’on renonce à la morale, mais cela signifie qu’on renonce à une morale réglementant tous les détails de la vie des hommes et ayant accès aux moindres décisions, comme si elle était un savoir portant sur tout.

    Nous nous fondons sur une idée de la nature qui vient du stoïcisme, qui a été commune au Moyen-âge, mais ce que nous oublions c’est que la nature était donnée et qu’il fallait la suivre. Aujourd’hui, pour la science, la nature est ce que l’on a à creuser, à façonner parce que cette nature-là, on ne l’obtient que par l’approche d’une culture. Il faudrait là encore avoir une approche de l’homme qui soit autre. Une fausse clarté finalement naît de trop d’assurances sur des bases contingentes.

     

    ·        Le second point est une question classique de théologie : c’est de distinguer les degrés d’engagement dans les paroles du Pape. Tout ce que dit le Saint-Père n’est pas sur le même plan et n’engage pas son infaillibilité. J’ai entendu sur une radio nationale « avec de telles déclarations, le pape met à mal son infaillibilité. » Mais là n’est pas le problème. Jamais une réponse à une question dans un avion n’entre dans le registre d’une parole officielle qui engage l’infaillibilité. Il faut savoir distinguer la parole ordinaire et habituelle du pape et de ce qui relève de son engagement public. Sans cette distinction et ce travail de discernement, on sort du christianisme pour entrer dans une relation du même type qu’un tibétain envers le Dalaï-Lama. Or, ce n’est pas ce que dit le Concile Vatican I. Il faut donc voir quelle est la portée des expressions, le contenu des mots utilisés, les références de base. Autrement dit, toute parole est sujette à interprétation. Sinon ce n’est plus une parole humaine. Dans notre histoire, il faut se mettre au clair sur le sens des mots. Prenons par exemple, le mot « unité ». Il va de la complaisance jusqu’à la communion. Quel sens retient-on ? Où place-t-on l’index ? L’incertitude des mots et la valeur des expressions sont pour beaucoup dans les crises que nous venons de vivre.

     

    ·        Le troisième problème est sans doute le plus grave. Il nous faut revoir le positionnement de notre Eglise dans le monde. C’est-à-dire qu’il faut revoir le mode de présence au monde. On se rend compte que toute parole qui vient d’en-haut, qui n’est pas engagée dans un dialogue, après avoir écouté et entendu l’autre, ne peut plus être une parole crédible. Ce type de parole peut se rencontrer dans des décisions économiques de quelques grands décideurs qui annoncent la fermeture d’une usine dans notre pays. Mais on ne fait pas vivre l’Evangile sur le même mode que celui des décisions économiques. Sinon on sort de la morale chrétienne. « Et toi, qu’en penses-tu ? » dit le Christ. Tant que l’Eglise va se contre-distinguer de ce monde, tant qu’elle va vouloir vivre dans une nébuleuse ou en état d’apesanteur, elle perd toute crédibilité. C’est un problème pour nous tous, pour le pape bien sûr, mais aussi pour les évêques, pour toutes les communautés chrétiennes. Notre monde n’écoute que ce qui est prononcé à hauteur de visage d’homme. Tant qu’on n’aura pas compris cela, on ne pourra pas être entendu, ni même compris. Nous n’avons pas eu affaire à une erreur de communication, mais à une erreur de point de vue, une erreur de positionnement. La question à se poser est de se demander quelle est notre posture vraie pour être en capacité d’être entendu. On se rend compte que sans partage, il n’y a pas de posture vraie. Aujourd’hui, on ne peut plus annoncer des choses qui passent pour définitives dans une posture sans aucune relation avec la situation prise dans son contexte humain concret. Sinon, cette déconnexion produit du rejet. A trop répéter, on crée de la dévaluation.

     

    ·        Une quatrième question se pose : on ne construit pas un avenir de l’homme uniquement en jouant sur le permis et le défendu, parce que la morale ne dépend pas seulement d’une technique. Il faut revenir à la signification humaine des problèmes qui sont posés. C’est très joli de donner un idéal. Le monde n’est quand même pas perpétuellement adolescent… heureusement ! L’idéal, comme l’horizon, est invivable. Car lorsqu’on pense l’approcher, il apparaît toujours plus loin. Le problème n’est donc pas la question de l’idéal, ni même des repères. Tous repères sont forcément dans un environnement donné. Ils ne peuvent être en suspension dans l’air, autour de rien du tout. Si on ne recherche pas un accord commun de sens, à ce moment-là on isole l’Eglise de sa participation à l’histoire humaine. Elle en sera réduite à se parler à elle-même.

     

    Dans toutes ces questions, il y va de la vie des hommes. Le véritable problème est « qu’est-ce qui fait vivre ? Qu’est-ce qui met debout ? Qu’est-ce qui rend responsable de son existence ? » Cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas d’exigence à poser. Au contraire, je suis persuadé qu’il faut en poser, mais pas sous forme manichéenne du tout noir-tout blanc, du permis et du défendu. Regardons l’Evangile. Le Christ dit au paralysé : « Lève-toi et marche ! » Imaginons que l’homme lui réponde : « Je suis bien couché, je n’ai pas envie de me lever ». Le Christ ne va quand même détruire son grabat. Si cet homme ne se met pas debout, il ne pourra pas être guéri. Nos paroles mettent-elles les gens debout ? Sont-elles des paroles de vie ? Voilà pourquoi dans nos paroles, il faut toujours se repositionner par rapport à la vie des gens, par rapport à ce sursaut évangélique.

     

    Y-a-t-il moyen de réduire l’écart entre l’Eglise et le monde actuel ?

     

    La crédibilité ne se décrète pas. Par conséquent, la crédibilité ne se retrouvera que par l’humilité de partager la vie des hommes, en étant à leur écoute, que par le partage de leurs peines, que par le désir de partager avec eux notre espérance et de les aider à se mettre debout. Il n’y a pas d’autres moyens que Nazareth, que de cheminer comme le Christ sur les routes de Galilée. Il n’y a pas d’autres moyens que le partage de la fragilité humaine. C’est en devenant frères que les chrétiens deviennent crédibles. Cela fait vingt siècles qu’on le sait et cela fait vingt siècles, qu’après chaque moment difficile comme celui que nous vivons, il nous faut reprendre les mêmes pas.

     

     

     τ Albert Rouet

    Archevêque de Poitiers

     


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    Un rendez-vous incontournable du 15 au 18 mai 2009 à Québec

     

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    Inscription http://www.monteejeunesse.ca  

    Mission’ère : ose le style St-Paul

    Une invitation spéciale t’est lancée! Du 15 au 18 mai 2009 viens vivre une expérience réelle de mission et d’évangélisation lors de la 5e Montée jeunesse de Québec.

     

    Afin de t’aider à t’y préparer, tu recevras cinq infocourriels d’ici le 15 mai prochain. À chaque édition, une réflexion spirituelle avec le frère Alix Poulin, capucin, viendra alimenter ta foi et partagera, avec toi, toutes les nouvelles entourant l’organisation de la Montée jeunesse 2009.

     

    Si tu as des commentaires sur les articles et le blogue, n'hésite pas à les partager sur le site internet  www.monteejeunesse.ca  où tu rencontreras d’autres jeunes, qui, tout comme toi, désirent cheminer en plaçant la mission au cœur de leur vie!

    Réflexion par frère Alix Poulin, capucin. 

     

    Annoncer l’Évangile, ce n’est pas mon motif d’orgueil, c’est une nécessité qui s’impose à moi; malheur à moi si je n’annonçais pas l’Évangile! (1 Co, 9,16). 

     

    Est-ce que l’Évangile te brûle?

     

    As-tu goûté véritablement à ce trésor qu’est la Parole de Dieu contenue dans la Bible?

     

    As-tu rencontré au cœur de ta vie la présence de Jésus Christ comme un jour elle a saisi jusque dans ses fibres les plus intimes saint Paul? Paul s’appelait d’abord Saul. On trouve son histoire dans les Actes des Apôtres. Il avait été à l’école et avait bien étudié la loi de Moïse et des prophètes. Saul n’était pas un tiède. Saul n’était pas prêt à accepter n’importe quoi au nom de la tolérance. Il s’opposait violemment au message des premiers chrétiens, jusqu’au moment où sur la route de Damas en Syrie, Jésus ressuscité fasse irruption dans sa vie et lui révèle son véritable visage. Il entend alors : « Saul, Saul, pourquoi me persécutes-tu? » Saul lui demande : « Qui es-tu Seigneur? » et la réponse fût : « Je suis Jésus que tu persécutes. » Alors Saul devint Paul et sa vie fût complètement transformée. C'est ainsi qu'il devint chrétien et missionnaire. Il ira annoncer partout Jésus Christ et son message. As-tu toi aussi été saisi par Jésus et son message? Dans ton milieu, dans ta situation bien précise, as-tu envie de témoigner de ce que Jésus a fait pour toi et pour les autres ? As-tu, toi aussi comme St-Paul, fait une rencontre du Christ vivant bien forte (Ac, 3, 9-10) ou bien une rencontre de Dieu douce comme une brise, ( 1R,19,11-12) ?

     

    Est-ce que la Montée jeunesse t’aidera à approfondir cette rencontre?

                 

    Pour plus de détails, visitez www.monteejeunesse.ca.                                                               La Montée jeunesse 2009 a lieu du 15 au 18 mai 2009 dans le Diocèse de Québec.          

     

     


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