• Voici un vidéo de Denise B nous présentant "Les pauvres de Saint François" chantant 
    Ô François, vive flamme d'amour. Un chant à saint François d'Assise.

     


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  • Le Vatican reconnaît la grande importance des nouveaux moyens de communication pour l’évangélisation.
     

    Benoît XVI encourage à transformer la culture numérique par l´Évangile
    Il reçoit les participants à l´Assemblée du Conseil pour les communications sociales

    ROME, Jeudi 29 octobre 2009 (ZENIT.org) - Benoît XVI a relevé aujourd'hui le grand malentendu qui existe dans certains milieux d'Eglise qui conçoivent les moyens de communication comme de simple « moyens » en oubliant qu'ils ont façonné la culture d'aujourd'hui.

     

    Pour cette raison, le pape a invité les chrétiens à intégrer l'Evangile dans cette « nouvelle culture » « créée par la communication moderne », pour transformer « le continent numérique » par « la seule Parole qui peut sauver l'homme ».

    C'est ce que Benoît XVI a expliqué ce jeudi matin, en recevant les participants à l'Assemblée plénière du Conseil pontifical pour les communications sociales. Le pape a prononcé un discours dans lequel il a analysé un passage du magistère de Jean-Paul II considéré par les experts comme l'un des sommets de la réflexion chrétienne sur la communication.


    Dans l'encyclique « 
    Redemptoris missio », publiée le 7 décembre 1990, Jean-Paul II explique en effet que l'engagement dans les médias « n'a pas pour seul but de démultiplier l'annonce. Il s'agit d'une réalité plus profonde car l'évangélisation même de la culture moderne dépend en grande partie de leur influence ».

    Il ajoutait, au numéro 37 : « Il ne suffit donc pas de les utiliser pour assurer la diffusion du message chrétien et de l'enseignement de l'Eglise, mais il faut intégrer le message dans cette «nouvelle culture» créée par les moyens de communication modernes ».

    Benoît XVI a expliqué que « avant même de naître des contenus, la culture moderne naît du fait même de l'existence de nouveaux moyens de communiquer qui utilisent de nouveaux langages, se servent de nouvelles techniques et créent de nouveaux comportements psychologiques ».


    « Tout cela constitue un défi pour l'Eglise appelée à annoncer l'Evangile aux hommes du troisième millénaire en conservant intact son contenu, mais en le rendant compréhensible aussi grâce à des instruments et des moyens conformes à la mentalité et aux cultures d'aujourd'hui ».


    Le pape a lancé un appel à tous ceux qui, dans l'Eglise, oeuvrent dans le domaine de la communication et ont une responsabilité de guide pastoral, « à savoir relever les défis que posent ces nouvelles technologies à l'évangélisation ».

    Dans une déclaration à ZENIT à l'issue de l'audience papale, Mgr Claudio Maria Celli, président du Conseil pontifical pour les communications sociales, a confirmé l'importance de cette réflexion ultérieure de Benoît XVI sur le panorama ouvert par Jean-Paul II, car il s'agit du nouveau contexte dans lequel l'Eglise est appelée à évangéliser.

    Benoît XVI a expliqué dans son discours que c'est le motif qui l'a amené à consacrer le Message pour la Journée mondiale des communications sociales de cette année au thème suivant : « Nouvelles technologies, nouvelles relations. Promouvoir une culture de respect, de dialogue, d'amitié ».


    Ce document, a-t-il ajouté, visait à encourager « les responsables des processus de communication à tous les niveaux, à promouvoir une culture du respect de la dignité et de la valeur de la personne humaine, un dialogue enraciné dans la recherche sincère de la vérité, de l'amitié non pas en tant que fin en soi mais capable de développer les dons de chacun pour les mettre au service de la communauté humaine ».

    Dans ce contexte, le pape estime que l'Eglise est appelée à exercer une « diaconie de la culture » dans le « continent numérique » d'aujourd'hui, « en en parcourant les chemins pour annoncer l'Evangile, la seule Parole qui peut sauver l'homme ».

    Benoît XVI a confié au Conseil pontifical pour les communications sociales la mission « d'approfondir chaque élément de la nouvelle culture des media, en commençant par les aspects éthiques, et de fournir un service d'orientation et de guide pour aider les Eglises particulières à saisir l'importance de la communication, qui représente désormais un point ne pouvant être exclu d'aucun programme pastoral ».


    Le pape a conclu en rappelant que « pour les croyants, la nécessaire valorisation des nouvelles technologies médiatiques doit cependant toujours être soutenue par une constante vision de foi, en sachant qu'au-delà des moyens utilisés, l'efficacité de l'annonce de l'Evangile dépend en premier lieu de l'action de l'Esprit Saint, qui guide l'Eglise et le chemin de l'humanité ».

    Jesús Colina
    Source: www.zenit.org  


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  • Un nouveau livret de chants en quatre fichiers téléchargeables
    Laudes franciscaines 
    qui nous est offert par un ami du site, Léon Sailly que je remercie.


    À partir d'ici
    http://ofs-de-sherbrooke.over-blog.com/article-35892225.html

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  • Nous sommes tous concerné par l'agriculture, c'est notre "grenier alimentaire". Nous devons, nous, plus particulièrement les citadins, prendre du temps pour nous informer et de demeuré à l'affut de ce dossier crucial.
    Richard

    La situation du monde agricole devient dramatique, déplore le pape

    Message du pape pour la Journée mondiale de l’alimentation 2009

    ROME, Vendredi 16 Octobre 2009 (ZENIT.org) - A l'occasion de la Journée mondiale de l'alimentation 2009, célébrée aujourd'hui, Benoît XVI a souhaité que le travail agricole, « élément fondamental de la sécurité alimentaire », dispose « d'investissements et de ressources suffisants ».

    Dans un message envoyé pour l'occasion au directeur de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO - Food and Agriculture Organization), Jacques Diouf, le pape a souhaité que l'on évite à faire un « usage inconsidéré des ressources naturelles ».

    « La crise actuelle, qui frappe sans distinction l'ensemble des secteurs de l'économie, touche particulièrement et durement le monde agricole dont la situation devient dramatique », a affirmé le pape. « Cette crise demande aux Gouvernements et aux différentes composantes de la Communauté internationale d'opérer des choix déterminants et efficaces ».

    En évoquant le thème choisi cette année pour la Journée Mondiale de l'Alimentation : « Atteindre la sécurité alimentaire en temps de crise », le pape a souhaité que l'on considère « le travail agricole comme un élément fondamental de la sécurité alimentaire et, donc, comme une composante à part entière de l'activité économique ».

    « Pour cela, l'agriculture doit pouvoir disposer d'investissements et de ressources suffisants », a-t-il insisté.

    Pour le Saint Père, si les « biens de la création sont limités de par leur nature », cela demande donc « des attitudes responsables et capables de favoriser la sécurité recherchée ». « Une profonde solidarité et une clairvoyante fraternité sont donc nécessaires ».

    Ainsi, « la réalisation de ces objectifs entraîne une nécessaire modification des styles de vie et des façons de penser », a ajouté Benoît XVI.

    Le pape a invité à « protéger les méthodes de culture de la terre propres à chaque région » et à « éviter un usage inconsidéré des ressources naturelles ».

    Dans ce message, Benoît XVI a enfin invité à préserver « les valeurs propres du monde rural et les droits fondamentaux de ceux qui travaillent la terre ».

    « L'expérience montre que les solutions techniques, même avancées, manquent d'efficacité si elles ne se réfèrent pas d'abord à la personne, qui est première et qui, dans sa dimension spirituelle et matérielle, est à l'origine et au terme de toute activité », a-t-il conclu.

    Source : www.zenit.org


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  •   4 documents à lire en ligne ou à télécharger


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  • Un chant de Robert Lebel que notre amie Denise B a réalisé pour notre joie, Merci Denise!
     

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  • Frères et soeurs bien le bonjour,

    Nous poursuivrons aujourd'hui notre lecture et réflexion avec le :



     

    Chapitre III

     

    La vie en Fraternité

     

     

    Titre 1

    Orientations générales
    SUITE

    Article 32

     1.    Les ministres et les conseillers vivent et favorisent l'esprit et la réelle communion entre les frères, avec les différentes Fraternités et avec la famille franciscaine.  Ils auront par dessus tout à cœur la paix et la réconciliation au sein de la Fraternité.

     2.    Règle 21  La charge de direction des ministres et des conseillers est temporaire.  Au mépris de toute ambition, les frères doivent montrer leur amour de la Fraternité par leur esprit de service et leur disponibilité, tant pour accepter que pour quitter leur charge.

     Article 33

     1.    Pour la direction et la coordination des Fraternités et de l'Ordre, il est nécessaire de  promouvoir les personnes et la capacité de chacun des frères et de chacune des Fraternités.  Il faut aussi que soit respectées les multiples expressions de l'idéal franciscain et la variété des cultures.

     2.    Les Conseils du niveau supérieur ne feront pas ce qui peut être convenablement assuré, soit par les Fraternités locales, soit par un Conseil du niveau inférieur.  Ils respecteront et encourageront leur vitalité afin qu'eux aussi remplissent convenablement leurs propres obligations.  Les Fraternités locales et les Conseils intéressés s'efforceront de mettre en pratique les décisions du Conseil international et des autres Conseils de niveau supérieur, et de réaliser les programmes, en les adaptant à leur propre réalité quand cela est nécessaire.

     Article 34

            Là où la situation ambiante et les besoins de ses membres le réclament, on peut, à l'intérieur de la Fraternité, sous la direction du seul Conseil, organiser des sections ou groupes réunissant des membres que rassemblent des exigences personnelles, des affinités d'intérêts ou des choix d'action identiques.  Ces groupes pourront se donner des règlements particuliers, relatifs aux rencontres et aux activités, en restant fidèle aux exigences qui découlent de l'appartenance à une même Fraternité.  Les statuts nationaux établiront les critères à retenir pour la formation et le fonctionnement des sections ou groupes.

     Article 35

     1.    Les prêtres séculiers, qui se reconnaissent appelés par l'Esprit Saint à participer au charisme de saint François dans la Fraternité Séculière, y trouvent une attention particulière à leur égard, conforme à leur mission dans le peuple de Dieu.

     2.    Les prêtres séculiers franciscains peuvent aussi se réunir en Fraternité personnelle pour approfondir les ouvertures ascétiques et pastorales que leur offrent la vie et la doctrine de François et la Règle de l'OFS pour mieux vivre leur vocation dans l'Église.  Il est bon que ces Fraternités aient des statuts particuliers qui prévoient les modalités concrètes de leur composition, de leurs rencontres fraternelles, de leur formation spirituelle ainsi que les moyens de rendre vivante et active leur communion avec l'OFS tout entier.

     Article 36

     1.    Les frères qui, par des vœux privés, s'engagent à vivre l'esprit des Béatitudes et à se rendre plus disponibles à la contemplation et au service de la Fraternité, peuvent être une grande aide pour le développement spirituel et apostolique de l'OFS.

     2.    Ces frères et sœurs peuvent se réunir en groupes, selon des statuts approuvés par le Conseil national ou, si la diffusion de ces groupes dépasse les frontières d'une nation, par la Présidence du CIOFS.

     3.    Ces statuts devront être en harmonie avec les présentes Constitutions.

     

    La suite ICI

    Article précédent : http://ofs-de-sherbrooke.over-blog.com/article-37131472.html

    Pour lire la Forme de vie ou La Règle c'est ICI

     


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  • Mes frères et soeurs, prions pour nos frères d'Afrique
    Richard

    L’archevêque de Bukavu quitte le synode des évêques d’Afrique en raison de la violence dans son pays

     

    Le 08 octobre  2009  - (E.S.M.) - Le Vatican publie ci-dessous la Lettre des Présidents Délégués et du Secrétaire Général du Synode des Évêques à S. Exc. Mgr François Xavier MAROY RUSENGO, Archevêque de Bukavu, lu et remis à la fin de la Sixième Congrégation Générale.

    L’archevêque de Bukavu, Mgr François-Xavier Maroy Rusengo

    L’archevêque de Bukavu quitte le synode des évêques d’Afrique en raison de la violence dans son pays

    Le 08 octobre 2009  - Eucharistie Sacrement de la Miséricorde - Le Vatican publie ci-dessous la Lettre des Présidents Délégués et du Secrétaire Général du Synode des Évêques à S. Exc. Mgr François Xavier MAROY RUSENGO, Archevêque de Bukavu (RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO), lu et remis à la fin de la Sixième Congrégation Générale.

    LETTRE DES PRÉSIDENTS DÉLÉGUÉS ET DU SECRÉTAIRE GÉNÉRAL À L’ARCHEVÊQUE DE BUKAVU


    Excellence,

    Les Évêques réunis dans la Deuxième Assemblée Spéciale pour l'Afrique du Synode des Évêques sous la Présidence du Saint-Père le Pape Benoît XVI ont appris qu'en son Archidiocèse de Bukavu de la République Démocratique du Congo, on enregistre des désordres incluant des paroisses incendiées, des affronts infligés à des prêtres pris en otage avec des demandes de rançon, engendrant une situation telle que maintenant vous voilà contraint de retourner parmi vos fidèles en proie aux tourments et aux périls.

    À ce propos, au nom de toute l'Assemblée nous vous exprimons notre solidarité fraternelle dans l'espoir que la réconciliation et la Bonne Nouvelle de l'Évangile, comme nous le rappelle ces jours-ci la réflexion synodale, soit accueillie comme la voie partagée par tous pour parvenir à des conditions de vie humaines fondées sur les valeurs de la justice, renforcées par le désir de la paix qui est un don de Dieu.

    Nous vous serions reconnaissants de bien vouloir transmettre nos cordiaux sentiments de solidarité religieuse à tous les membres du Peuple de Dieu qui vit et souffre dans l'Archidiocèse: les prêtres, les religieux, les religieuses, les diacres, les catéchistes, les laïcs et tous les hommes de bonne volonté.

    Dans le même temps, nous invitons les autorités civiles légitimes à faire tout leur possible pour le retour de l'ordre dans la justice, pour instaurer et garantir la paix, indispensable pour une vie normale de la chère population.
    Confiants en la miséricorde de Dieu et en l'intercession de Marie, Reine de l'Afrique et Reine de la Paix, nous vous assurons de nos prières afin que la justice et la charité permettent à son Archidiocèse, à la région des Grands Lacs et à toute l'Afrique d'obtenir des jours paisibles et une vie sereine.

    ***

    En raison de la violence persistante dans son pays, l’archevêque de Bukavu, Mgr François-Xavier Maroy Rusengo, a quitté le synode des évêques d’Afrique. Il estime que c’est son devoir de retourner dans son pays.

    Après l’incendie criminel d’un établissement paroissial, vendredi dernier, d’autres paroisses sont actuellement la cible de nouvelles attaques ai Congo. Lors de la première agression, des inconnus avaient violenté les prêtres de la paroisse. Des religieux avaient en outre été enlevés et libérés contre rançon.

    Ces actions ont pour objectif, selon le prélat, de faire taire l’Eglise, "unique soutien à un peuple terrorisé, humilié, exploité et opprimé". Pour lui, la violence qui règne à l’est du pays, est causée par la lutte pour la détention des matières premières.

    De plus, à la suite de récentes attaques survenues dans l'archidiocèse de Bukavu
    (Sud-Kivu) dans la nuit du 2 au 3 octobre, la Conférence épiscopale nationale du Congo (Cenco) a publié un communiqué pour condamner les violences subies par les ecclésiastiques. "Ces actes abjects contre des personnes dont la vie est généreusement dévouée au service des autres appellent une vigoureuse désapprobation. Car, en portant atteinte à leur vie et aux structures de l'Église, c'est à la population elle-même que l'on s'en prend lorsque l'on sait ce que l'Église qui est à Bukavu représente et fait pour ce peuple meurtri par des violences injustes et imméritées".

    Pendant l'attaque, précisent les évêques, des hommes en uniforme ont pillé et incendié le presbytère de la paroisse de Chierano, avant d'enlever deux prêtres et un séminariste, pour la libération desquels ils ont demandé - et obtenu - le paiement d'une rançon de 5000 dollars. Une attaque similaire s'est vérifiée quelques jours plus tard, dans la nuit du 5 au 6 octobre, contre le monastère des frères maristes de Nyangezi, à 25 kilomètres au sud de Bukavu, et l'internat de l'Institut Weza, géré par les religieux. "La vie des frères et des élèves a été sérieusement mise en danger par des hommes en uniforme qui ont emporté des sommes d'argent de la communauté religieuse et de l'internat".

    Tout en condamnant fermement ces dernières attaques, la Cenco "rappelle aux autorités tant politico-administratives que policières et militaires leur grave obligation de protéger la population et ses biens. L'Église est au service de tous, elle mérite une attention spéciale de ceux qui ont pour tâche de veiller à la sécurité de la population et de ses biens".

    DECLARATION DE LA CONFERENCE EPISCOPALE NATIONALE DU
    CONGO (CENCO) SUR LES ENLEVEMENTS ET LES VIOLENCES
    FAITES AUX ECCLESIASTIQUES DANS L'ARCHIDIOCESE DE BUKAVU


    La nuit du 2 au 3 octobre 2009, des hommes en uniforme ont enlevé deux prêtres et un séminariste à la paroisse de Chierano dans l'archidiocèse de Bukavu. Ils les ont malmenés et ont emporté tous leurs objets de valeur avant d'incendier le presbytère. Après que L’on eut payé une rançon de cinq mille dollars exigée, ils ont libéré les prêtres enlevés ainsi que le séminariste.

    Alors que ce geste ignoble a créé un choc au sein de la population de Bukavu, le même scénario vient d'être reproduit la nuit du 5 au 6 octobre 2009 à Nyangezi dans la communauté religieuse des frères Maristes et à l'internat de I'Institut Weza dont ils ont la charge. La vie des frères et des élèves a été sérieusement mise en danger par des hommes en uniforme qui ont emporté des sommes d'argent de la communauté religieuse et de l’internat.

    Ces actes abjects contre des personnes dont la vie est généreusement dévouée au service des autres appellent une vigoureuse désapprobation. Car, en portant atteinte à leur vie et aux structures de l'Eglise, c'est à la population elle-même que I'on s'en prend lorsque l'on sait ce que l'Eglise qui est à Bukavu représente et fait pour ce peuple meurtri par des violences injustes et imméritées.

    La CENCO condamne énergiquement ces actes infâmes. Elle rappelle aux autorités tant politico-administratives que policières et militaires leur grave obligation de protéger la population et ses biens. L'Eglise est au service de tous, elle mérite une attention spéciale de ceux qui ont pour tâche de veiller à la sécurité de la population et de ses biens.

    Elle demande qu'une enquête sérieuse soit diligentée pour identifier les auteurs et les commanditaires de ces actes ignobles afin que justice soit faite.

    La CENCO exprime sa proximité à la population de Bukavu et plus spécialement à l'archevêque de Bukavu, Son Excellence Monseigneur François-Xavier Maroy, aux prêtres enlevés, au séminariste ainsi qu'aux frères Maristes. Elle leur assure sa prière pour la paix.
    Fait à Rome, le 07 octobre2009

    + Nicolas DJOMO LOLA
    Evèque de Tshumbe
    Présidendt e la CENCO

     source: http://eucharistiemisericor.free.fr


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  • Qui est vraiment Laurette Lepage ?

     Vous la connaissez de par les écrits qu’elle nous donne à lire régulièrement et quoi d’autre ? pour en savoir plus, le journal  Sentiers de foi.info d’octobre nous offre deux articles.


    1-Laurette Lepage, défricheuse et femme libre

    Gérard Laverdure, sdf.info

     

     De la communauté religieuse au mariage, des dépotoirs de Recife au vieux mail Saint-Roch, à Québec, des Fraternités du Serviteur souffrant aux Fraternités de l’Épi, un long parcours vers une solidarité radicale avec les exclus.
     Elle est née avant même l’arrivée du médecin pendant une tempête de neige en plein mois de décembre, il y a bien longtemps (1922), au Témiscamingue. Fille des souches, des défricheurs de pays comme l’était son père, Laurette Lepage, fondatrice de la Fraternité de l’Épi, se dit née pour des aventures folles. «
    Cela vient de mes origines et de Dieu », confie-t-elle. Et des folies, elle en a fait.
     «
    Élevée dans l’eau bénite, les mois consacrés et la messe quotidienne du carême » selon son expression, à 18 ans elle dit oui à la vie religieuse chez les Soeurs de l’Assomption de la Sainte Vierge. Elle vivra ainsi 30 ans de vie communautaire consacrée principalement à l’enseignement et à une mission de 5 ans au Brésil. Puis, au beau milieu de sa vie, grâce au concile Vatican II, elle a changé de Dieu... Elle est passée du Dieu sévère qui surveille, fait la morale et punit au Dieu d’amour et de miséricorde. Étouffant dans un contexte de vie qui n’allait pas au bout de ses rêves, elle décide de quitter à 48 ans.

      La suite ICI en format pdf

    2-Un engagement radical avec les pauvres

    Normand Breault
    collaboration spéciale
     Jadis, suivre Jésus-Christ conduisait à la prêtrise ou à la vie religieuse. Laurette Lepage en est sortie pour continuer de suivre le Christ radicalement avec les exclus de la société.
     Le très beau et très touchant cheminement de vie de Laurette Lepage m’incite à livrer quelques réflexions sur des réalités fondamentales d’une vie évangélique qui ont été comme accaparées par l’institution ecclésiale (diocèses, clergé, communautés religieuses) : la vocation, la mission, le sacerdoce, le don de soi, la vie de pauvreté, etc.
    Récemment, la série
    Dieu et nous a rappelé la domination de la hiérarchie catholique au Québec ainsi que la culture institutionnelle qui s’y rattachait. On a ainsi confisqué à des personnes ou des groupes officiellement reconnus ce qui était alors et demeure toujours les caractéristiques et exigences de tous les baptisés : vivre l’Évangile dans le service des pauvres, se rassembler en communautés priantes et agissantes, présider à la vie de ces communautés rassemblées au nom de Jésus Christ.
     La suite ICI de ses deux articles en format pdf

    La source : http://www.sentiersdefoi.org
    Les articles de Laurette LepageICI


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  • Frères et soeurs bien le bonjour,

    Nous poursuivrons aujourd'hui notre lecture et réflexion avec le :



     

    Chapitre III

     

    La vie en Fraternité

     

     

    Titre 1

    Orientations générales

     Article 28

     

    1.    La Fraternité de l'OFS trouve son origine dans l'inspiration de saint François d'Assise, auquel le Très-Haut révéla le caractère pleinement évangélique de la vie en communion fraternelle [1].

     

    2.    Règle 20  « L'OFS regroupe les Fraternités aux différents niveaux » dans le but de promouvoir d'une manière ordonnée l'union et la collaboration réciproque entre les frères, ainsi que leur présence active et communautaire dans l'Église, tant particulière qu'universelle. L’OFS favorisera également l’engagement des Fraternités au service du monde et en particulier dans la vie de la société.

     

    3.    Les frères se réunissent soit en Fraternités locales, érigées au sein d'une église ou d'une maison religieuse, soit en Fraternités personnelles, constituées pour des motifs précis, valables et reconnus dans le décret d'érection [2].

     

    Article 29

     

    1.    Les Fraternités locales se regroupent en Fraternités à différents niveaux: régional, national, international, selon des critères ecclésiastiques, territoriaux ou d'autre nature.  Elles sont unies et reliées entre elles selon les formes prévues par la Règle et les Constitutions. Elles répondent ainsi aux besoins de communion entre les Fraternités, d’organisation de leur collaboration et d’unité de l’OFS.

     

    2.    Règle 20  Ces Fraternités, qui ont chacune leur personnalité juridique dans l'Église, doivent acquérir, si possible, la personnalité juridique civile pour mieux remplir leur mission propre.  Il revient aux Conseils nationaux de donner des orientations sur les motivations et les procédures à suivre.

     

    3.    Les statuts nationaux doivent indiquer les règles de l'organisation de l'OFS dans la nation.  L'application de ces règles est laissée au jugement prudent des responsables des Fraternités intéressées et du Conseil national.

     

    Article 30

     

    1.    Les frères sont coresponsables de la vie de la Fraternité à laquelle ils appartiennent et de l'OFS comme union organique de toutes les Fraternités répandues dans le monde.

     

    2.    Le sens de la coresponsabilité des membres exige la présence personnelle, le témoignage, la prière, la collaboration active selon les possibilités de chacun et les éventuels engagements dans l'animation de la Fraternité.

     

    3.    Règle 25  En esprit de famille, chaque frère apportera à la caisse de la Fraternité une contribution, proportionnée à ses ressources, pour fournir les moyens financiers nécessaires à la vie de la Fraternité et à ses œuvres de culte, d'apostolat et de charité.   Les frères ne manqueront pas de participer, tant financièrement que par tout autre moyen, aux activités et aux œuvres des Fraternités des niveaux supérieurs.

     

    Article 31

     

    1.    Règle 21  « Aux divers niveaux, chaque Fraternité est animée et dirigée par un Conseil et un ministre ou responsable ».  Toutes ces charges sont conférées par élection conformément à la Règle, aux Constitutions et aux statuts particuliers.  C’est seulement dans des situations exceptionnelles ou dans les premiers temps de leur institution que des Fraternités peuvent ne pas avoir de Conseil régulièrement élu. Le Conseil de niveau supérieur pourvoit à cette carence pendant le temps strictement nécessaire pour assurer la reprise ou les débuts de la Fraternité, la formation de ses animateurs et la tenue des élections.

     

    2.    La charge de ministre ou de conseiller est un service fraternel ; un engagement à se sentir disponible et responsable à l'égard des frères et de la Fraternité, afin que chacun se réalise dans sa propre vocation, et que chaque Fraternité soit une vraie communauté ecclésiale et franciscaine, activement présente dans la vie de l'Église et de la société.

     

    3.    A tous les niveaux de l'OFS, les responsables seront des frères engagés définitivement, convaincus de la valeur de la vie évangélique franciscaine, attentifs, dans une vision large et généreuse, à la vie de l'Église et de la société, ouverts au dialogue, disponibles pour donner et pour recevoir aide et collaboration.

     

    4.    Les responsables auront en charge la préparation et l'animation spirituelle et technique des réunions, tant des Fraternités que des Conseils.  Ils chercheront à donner esprit et vie à la Fraternité par leur propre témoignage, en suggérant les moyens appropriés pour développer la vie de fraternité et ses activités apostoliques, à la lumière des options franciscaines de base.  Ils veilleront à la mise en application des décisions et favoriseront la collaboration des frères.

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