• EN DIRECT - Benoît XVI à la foule : "Je ne serai plus pape mais un pèlerin"

    Edité par F.A. et M.G.
    le 28 février 2013 à 09h17 , mis à jour le 28 février 2013 à 18h21.                                       (5 minutes)

     

    (Cliquez sur la photo)

    Benoit-XVI---la-fin.jpg

    Source http://lci.tf1.fr/monde

     

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  • Benoit XVI - KTO - 1h32 mn

      

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  • Logo-ofs-Canada.jpgBonjour

    Soyez aviser que Vivante Fraternité - édition de mars 2013- est maintenant sur le site national - sous Publications.  Merci,

    Françoise Malboeuf, ofs
    pour OFS National du Canada francophone
    À propos de Vivante Fraternité: c'est un  document préparé ( et une suggestion) à l'intention des Fratertnités afin de faciliter l'organisation d'une rencontre fraternelle.
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    ET diffusé par

    Richard Chamberland


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  • La foi et la rencontre du Christ (3/12)

     

    L'aujourd'hui du salut pour Zachée (Luc 19, 1-10)

    Luc nous sert encore une fois un récit captivant. Zachée cherche à voir Jésus mais il doit faire face à plusieurs obstacles : son statut social, sa richesse, sa petite taille, le jugement de la foule. Il contourne l’obstacle de la densité de la foule en grimpant dans un arbre. De là haut il pourra porter son regard sur Jésus. À l'inverse de l'aveugle (Luc 18, 35-43, cf. Feuillet 2347), il voit et observe mais demeure silencieux. Il n'a pas de mot pour dire le désir qui l'habite, son langage non verbal est éloquent, ses gestes parlent d'eux-mêmes. En effet il a tout intérêt à se faire discret car il est déjà jugé, lui le publicain, qui plus est le chef des collecteurs d'impôts, le collaborateur de l'occupant romain. Ayant peut-être entendu dire que Matthieu, un de ses collègues de Capharnaüm, est devenu un disciple de Jésus, lui a peut-être donné l'audace nécessaire pour oublier le mépris rattaché à son métier. Mais Luc garde un suspense jusqu'au moment où, dans son récit, il mentionne les récriminations de la foule qui trouve inadmissible le comportement de Jésus qui entre dans la maison d’un pécheur. Les scribes et les pharisiens en avaient fait autant : leurs murmures avaient poussé Jésus à raconter les trois paraboles de la miséricorde (Lc 15).

    1 Entré dans la ville de Jéricho, Jésus la traversait. 2 Or, il y avait un homme du nom de Zachée ; il était le chef des collecteurs d’impôts, et c’était quelqu’un de riche. 3 Il cherchait à voirqui était Jésus, mais il ne le pouvait pas à cause de la foule, car il était de petite taille. 4 Il courut donc en avant et grimpa sur un sycomore pour voir Jésus qui allait passer par là.
    5 Arrivé à cet endroit, Jésus leva les yeux et lui dit : « Zachée, descends vite : aujourd’hui il faut que j’aille demeurer dans ta maison. » 6 Vite, il descendit et reçut Jésus avec joie.
    7 Voyant cela, tous récriminaient : « Il est allé loger chez un homme qui est un pécheur. »
    8 Zachée, debout, s’adressa au Seigneur : « Voici, Seigneur : je fais don aux pauvres de la moitié de mes biens, et si j’ai fait du tort à quelqu’un, je vais lui rendre quatre fois plus. » 9 Alors Jésus dit à son sujet : « Aujourd’hui, le salut est arrivé pour cette maison, car lui aussi est un fils d’Abraham. 11 En effet, le Fils de l’homme est venu chercher et sauver ce qui était perdu. »

         Jésus se met à l'écoute de Zachée en levant d’abord les yeux vers lui puis en s’invitant dans sa maison au grand dam de la foule. Cette attitude nous indique que l'écoute est le premier pas qui permet de partager l'expérience de vie d'une personne. Voilà une chose utile à savoir en contexte de nouvelle évangélisation pour définir le rapport de l’Église au monde. L’écoute crée l'environnement favorable pour que se réalise la rencontre des deux désirs, celui de la personne en recherche et celui de Jésus qui veut être accueilli; et que de cette rencontre naisse la foi.

         Zachée entre dans la joie du salut en accueillant Jésus dans sa maison. Le geste est si provoquant, -à preuve le jugement porté par la foule-, qu'il devient pour Zachée le signe qui lui fait expérimenter la miséricorde de Dieu. La rencontre de Jésus suscite chez lui ce que le riche notable n'a pu faire : le partage de ses richesses et la réconciliation avec les autres. Mais il y a plus : Jésus reconnaît en lui un vrai fils d'Abraham, un homme que la foi rend libre, capable de se mettre en route, guidé par son désir de Dieu, capable également de justice et de solidarité avec les plus pauvres. Ainsi s’accomplit la promesse faite au père des croyants de se souvenir de son amour comme le chante Marie (Lc 1, 54-55; voir aussi 1, 72-75). De même qu’Abraham avait accordé l’hospitalité aux trois visiteurs divins dans sa tente à Mambré, ainsi Zachée accueille le Seigneur dans sa maison de Jéricho.

    1. La recherche du contact avec Jésus : vv. 1-4.
    2. Le dialogue : vv. 5-6.
    3. Le changement de la personne et la reconnaissance de la foi : vv. 8-10.

     

    Yves Guillemette, ptre

    Source www.interbible.org

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  •   Bonjour, Suzanne nous offrira en collaboration avec Vivante Église 7 entretiens,  pour  chacun,  pour des raisons techniques, ils seront divisés en 3 épisodes d'environ de 15 à 19 min. Merci Suzanne et Vivante Église.

    Suzanne sur KTO    Sabine  

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    rado présenceEn 1999, à l’invitation des évêques catholiques de la région, cinq radios du Midi-Pyrénéen ont mis leurs moyens en commun pour former le réseau Pésence.

    Radio chrétienne régionale, Radio Présence cherche à être au service de la vie chrétienne. L’actualité sociale, économique, politique et culturelle a toute sa place dans son programme. L’information chrétienne s’y nourrit de la diversité et de la richesse de la vie de l’Église au coeur d’une région dynamique.

    Radio Présence est un média de proximité à dimension humaine. Elle relie entre eux ses auditeurs avec au centre, la Bonne Nouvelle de Jésus-Christ.

    Chaque radio produit un programme local à l’échelle de son diocèse d’environ quatre heures par jour. Le reste du temps, ces radios diffusent ensemble un programme régional construit en commun et piloté depuis Toulouse.

     

    Bibliographie

    • La déposition
      Suzanne Giuseppi-Testut
      Nouvelle Cité, 2009, 978-2-85313-573-3

    • Les mouvements intérieurs de l'âme
      Suzanne Giuseppi-Testut
      Nouvelle Cité, 2011, 978-2-853136495

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    Suzanne sur KTO    Sabine  

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      Suzanne Giuseppi-Testut
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  • Luc 10, 25-37 

    Le grand commandement – La parabole du bon Samaritain.

     

    La Perle du Jour – Lc 10, 29 : « Et qui est mon prochain ?

    Cette question est essentielle pour pouvoir comprendre le grand commandement d’amour de Dieu et Jésus y répond par la parabole du bon Samaritain.

    Si mon frère est un autre moi-même,  mon prochain, lui, est un autre que moi, un autre qui, pour moi, peut demeurer « autrui », mais qui peut aussi devenir un frère en vertu de l’amitié ou de l’amour.

    Jésus, en consacrant le commandement de l’amour « Tu aimeras ton prochain comme toi-même » confirme que le prochain qu’il faut aimer, c’est « autrui » qu’il soit ou non un frère. Par là, Il nous montre aussi les conditions et les difficultés de cet amour. Il nous fait sentir combien l’acceptation de nous-mêmes tels que nous sommes est essentielle pour pouvoir aimer l’autre tel qu’il est.

    Jacques qualifie ce commandement de « loi royale » (Jc 2,8)

    Ainsi, dès que deux hommes se rencontrent, ils sont l’un pour l’autre, le « prochain », indépendamment de leurs relations de parenté ou de ce qu’ils pensent l’un de l’autre. L’homme en difficulté, fut-il notre ennemi, nous invite à devenir son prochain. Dès lors, l’amour universel doit se manifester vis-à-vis de tout homme que Dieu met sur notre chemin.

    Ce n’est donc pas à nous de décider qui est notre prochain mais c’est à nous de choisir d’aimer. Nous rejoignons ainsi le premier commandement qui est d’aimer Dieu : « Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta force et de tout ton esprit »

    Par ces deux commandements, Dieu nous donne la clef du bonheur (Ps 4,7), ce que confirme saint Antoine le Grand : « Qui aime Dieu s’aime soi-même » et « Qui sait s’aimer soi-même aime aussi les autres »

    Il est clair que si l’homme s’aime dans ce qu’il est fondamentalement, il peut aimer son prochain spirituellement en tant que frère créé lui aussi à l’image de Dieu et appelé à lui ressembler.[1]

     Suzanne

      [1]Déposition p 307 ; VTB p 1038-1039

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  • Ambigüités du concile Vatican II - revue MESSAGE

    (EXTRAIT page 39-41 - Janv-F.év 2013)

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    • La déposition
      Suzanne Giuseppi-Testut
      Nouvelle Cité, 2009, 978-2-85313-573-3

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      Nouvelle Cité, 2011, 978-2-853136495

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  • Homélie du 3ème dimanche du Carême

    Abbé Jean Compazieu

    Quelle image de Dieu ?


    3e-dim-careme.jpgTextes bibliques :  Lire


    Les jours et les semaines passent et notre marche vers Pâques se fait plus précise. Les lectures bibliques de ce dimanche sont un appel à accueillir le Dieu libérateur. C’est le message que nous découvrons dans le livre de l’Exode (1ère lecture). Le texte qui nous est proposé nous rapporte la rencontre de Moïse avec Dieu. Il se présente lui-même comme un buisson qui brule mais ne se consume pas. Ce buisson est un symbole de Dieu. Moïse découvre que Dieu est un feu ardent. Plus tard saint Jean dira que « Dieu est amour ». Son amour est un feu qui ne se consume pas car il est éternel.


    Moïse voudrait bien s’approcher pour voir ce merveilleux spectacle. Mais Dieu l’en empêche : « N’approche pas d’ici car le lieu que tes pieds foulent est une terre sainte ». Ce lieu est une terre sainte justement en raison de la présence de Dieu. Moïse découvre qu’il est le « tout autre ». Les livres, les discours ne suffisent pas pour le connaître. Le plus important c’est de faire, comme Moïse l’expérience de sa présence et de son action pour les autres. Alors on découvre qu’il est « avec ». Plus tard, Jésus sera précisément appelé « Emmanuel » ce qui veut dire « Dieu avec nous ». Toute la Bible nous montre qu’il est avec le pauvre dans l’angoisse, le petit qui est réduit à la misère. Il est encore avec celui qui subit la domination de l’exploiteur.


    Dans la Bible, le nom de Dieu c’est « Yahvé ». Une fausse traduction a fait dire « Jéhovah » ce qui ne veut rien dire en hébreu. L’important c’est de comprendre que Dieu est celui qui se rend présent pour nous libérer. Il est Celui qui a vu la misère de son peuple et il fait appel à Moïse pour le sortir de cette situation. Cette lecture nous révèle donc un Dieu qui établit des relations personnelles avec les hommes. C’est un Dieu plein de bonté, un Dieu sauveur et libérateur. Le Carême est donc pour nous une invitation à changer le regard que nous portons sur notre Dieu. Chacun peut se poser la question : le Dieu auquel nous croyons est-il pour nous un feu dévorant ? Est-il ce foyer dévorant d’amour qui consume nos égoïsmes ? Est-il cette flamme de colère contre les injustices ?


    L’apôtre Paul invite les chrétiens et chacun d’entre nous à faire une relecture des événements de l’Exode : « Dieu était là pour les libérer de l’esclavage et de leur péché ». Mais « La plupart n’ont fait que déplaire à Dieu et sont tombés dans le péché ; ce constat douloureux, nous le trouvons souvent dans la Bible et dans notre vie. Mais là où le péché a abondé, l’amour a surabondé. Saint Paul nous invite à une lecture chrétienne des événements : « Ils buvaient à un rocher qui les accompagnait et ce rocher c’était le Christ. » Cette aventure de la sortie d’Egypte est, pour nous chrétiens, un avertissement : attention à ne pas tomber. Restez bien accrochés à ce rocher qu’est le Christ. « Rien ne peut nous séparer de son amour » (Rm 8. 39).


    L’Evangile est aussi un appel à changer le regard que nous portons sur Dieu. Devant la souffrance, les maladies, les catastrophes, nous pouvons avoir des réactions violentes. Il y a une question qui revient souvent : « Qu’est-ce que j’ai fait au Bon Dieu pour mériter cela ? » Nous réagissons comme si les accidents, les drames et la mort étaient un châtiment de Dieu. S’il arrive quelque chose ce serait parce que Dieu nous punit. Aujourd’hui, Jésus réagit très fermement contre cette manière de voir. Les malheurs qui s’abattent sur les hommes et sur le monde ne viennent pas de Dieu. il n’y a aucun lien entre la souffrance et le péché. Un autre jour, on lui posera la même question au sujet d’un aveugle-né : « Qui a péché pour qu’il soit né ainsi ? Lui ou ses parents ? » Et Jésus répondra : « Ni lui, ni ses parents. » Ainsi, Jésus laisse ouverte la difficile question du rapport entre le malheur et le péché personnel. Une seule chose est sûre : Dieu est amour. Il n’est surtout pas un justicier sans cœur.


    C’est important pour nous aujourd’hui : tous les jours, les médias nous accablent de mauvaises nouvelles, des drames de plus en plus atroces. Et alors, on se pose la question : où est-il notre Dieu ? que fait-il ? Il nous faut relire la réponse de Jésus : Nous n’avons pas le droit de dire que ces  malheurs viennent de Dieu. Ce serait trahir son image. En effet, Dieu est notre Père, un Père qui aime chacun de ses enfants et qui ne veut que leur bonheur. Mais Jésus en profite pour nous faire comprendre une chose importante : nous avons tous à nous remettre en cause ; nous devons interpréter ces événements comme des signes qu’il nous donne.


    Ce n’est pas notre péché qui entraine la condamnation mais notre refus de nous convertir. « Si vous ne vous convertissez pas, vous périrez comme eux. » Non ce n’est pas une menace, ce n’est pas Dieu qui va nous faire périr ; c’est nous qui allons à notre perte. C’est pour cela que le Christ nous demande instamment de ne pas remettre à demain notre conversion. La mort peut arriver à l’imprévu. Le danger le plus grave c’est celui de la mort éternelle, celle qui sépare définitivement l’homme de Dieu. Chacun est donc invité à se convertir, changer de comportement et se tourner de ses péchés. Dieu ne veut que notre bonheur. Il attend de nous une vie belle et fructueuse. Mais si nous refusons d’entendre son appel, c’est nous qui faisons notre malheur.


    Tout au long de ce Carême, le Seigneur ne cesse de nous appeler à revenir fers lui. Il voit notre misère, notre péché et il veut nous en libérer. Le sacrement du pardon nous est offert pour accueillir cet amour libérateur. L’histoire du figuier est là pour nous rappeler qu’il y a une chance. C’est Dieu qui nous l’offre. « Aujourd’hui, ne fermons pas notre cœur, mais écoutons la voix du Seigneur. » (Ps 94) Oui, nous te supplions, Père, allume en nous le feu de ton amour.


    Sources : Revues Feu Nouveau, Signes, Dimanche en Paroisse, L’intelligence des Ecritures (MN Thabut), Lectures bibliques des dimanches année C (Albert Vanhoye), Commentaires du missel communautaire (Père André Rebré),

    Source http://dimancheprochain.org

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