• Luc 1, 5-25 :

    Annonce de la naissance de Jean-Baptiste et de sa mission.

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    L’ange annonce à Zacharie que sa femme, Elisabeth, jusqu’alors stérile, va lui donner un fils. Et il sera grand devant le Seigneur. Il s’agit de Jean le Baptiste et l’apôtre nous en précise la mission.

    -          La perle du jour : Lc 1, 17 : Il marchera devant le Seigneur avec l’esprit et la puissance d’Elie pour ramener le cœur des Pères vers les enfants et les rebelles à la prudence des justes, préparant au Seigneur un peuple bien disposé.

     

    Et nous !

    Dans quel état d’esprit nous présentons-nous devant le Seigneur ? Nous pouvons avoir un esprit bien disposé mais nous laissons-nous réellement animer par l’Esprit Saint ?


    Le respect de la Loi et donc des commandements, est devenu de nos jours, de plus en plus pesant et ainsi, par notre refus de les respecter, nous minimisons artificiellement nos transgressions.


    En enfants rebelles, nous en arrivons à créer nos propres codes, nos propres normes dont nous finissons par devenir esclaves et c’est ainsi que nos cœurs s’enténèbrent. Pensant avoir agi à notre profit, notre orgueil nous paralyse de plus en plus et nous isole. Séparés de Dieu, nous perdons alors la joie, nous sommes inanimés  car coupés de la Relation. Il est là le péché.


    Sommes-nous vraiment prêts  à voir les obstacles qui s’opposent à notre cheminement ?

    Sommes-nous en mesure d’évaluer la part que nous accordons au temporaire par rapport aux valeurs spirituelles, durables ?


    Acceptons-nous de renoncer à certaines habitudes et de suivre les prescriptions du Seigneur ?

    En un mot ! Est-ce que je veux faire du Christ le Maître de ma vie ?

     

    Fraternellement

    Suzanne

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  • Jésus ressuscite la fille de Jaïrus (Mt 9, 18-26)

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  • Jésus enseigne dans la synagogue à Nazareth (Mc 6, 1-6)

    Jesus enseigne temple

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  • Guérison d'un démoniaque (Mt 9, 32-38)

    démoniaque

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  • La réponse de Jésus à Pierre après la rencontre
    du jeune homme riche (Mt 19, 27-29)

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  • Matthieu 1, 18-24 :

    Joseph assume la paternité légale de Jésus.

     

    Joseph- MarieMatthieu se centre sur Joseph, le descendant de David qui reçoit les messages célestes et donne le nom de Jésus à l’enfant de la Vierge.


    Attentive à la Parole de Dieu, Marie l’accueille, même si celle-ci bouleverse ses projets et doit plonger Joseph dans un profond désarroi.


    En effet, Joseph, en homme juste ne veut pas couvrir de son nom un enfant dont il ignore le Père mais, empli de compassion, il ne veut pas surtout dénoncer publiquement Marie et prend la résolution de la répudier « sans bruit ».

    Terrible solitude de Joseph. Lourd fardeau dont la déposition passe par un acte de courage. Silence de l’homme devant Dieu et silence de Dieu vis-à-vis de l’homme. Mais, lorsque l’homme est au plus près du « cœur de Dieu », la communion des silences illumine son cœur. Joseph nous en fournit le plus bel exemple :


    -          La perle du jour  - Mt 1, 20 : « Alors qu’il avait formé ce dessein, voici que l’Ange du Seigneur lui apparut en songe et lui dit : ‘Joseph, fils de David, ne crains pas de prendre chez toi Marie, ta femme : car ce qui a été engendré en elle vient de l’Esprit Saint’ »


    Joseph est l’homme du silence par excellence et du secret partagé, car la Parole reçue lui suffit. Dans l’humilité d’un acte de déposition, il dépasse l’inacceptable aux yeux de la Loi et ainsi, libre de tout regard et de tout jugement humains, devient participant du mystère.


    « Une fois réveillé, Joseph fit comme l’ange du Seigneur lui avait prescrit, il prit chez lui sa femme … » (Mt 1, 24)

    C’est ainsi que Joseph, juste d’Israël, accueille le corps du Seigneur dès avant sa naissance. Par lui, c’est l’humanité qui accueille le Dieu incarné.

    Agir sans bruit, tendre l’oreille vers Dieu, aiguise l’attention et prépare l’âme à devenir calice.

     

    Fraternellement Suzanne

     

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  •   Matthieu 1, 1-17 :

    L’évangéliste, Matthieu, nous présente la généalogie, ou ascendance, de Jésus-Christ.

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    -         La perle du jour – Mt 1, 1 : Jésus-Christ, fils de David, fils d’Abraham. »

     

    Si Matthieu débute son évangile par une généalogie, c’est pour nous présenter Jésus-Christ comme l’héritier définitif, Celui que les générations attendaient depuis des siècles. Il met en évidence la Royauté de Jésus. Et, il nous indique comment, à travers toute une génération spirituelle, les promesses et les bénédictions de Dieu, trouvent en Lui leur accomplissement.


    Avec la venue de Jésus, c’est une nouvelle étape de l’histoire du monde qui commence. L’homme peut, par l’accueil du don de l’Esprit, appartenir à la génération spirituelle d’Abraham, à la génération de ceux qui croient au Fils de Dieu et sont nés de Dieu. Il devient à son tour héritier.

    Le rêve de chaque homme est de perpétuer son nom par-delà la mort. Or, le Christ nous invite à une fécondité nouvelle : accroître le Corps du Christ par la naissance spirituelle des fils de Dieu.

    Ainsi, le Christ nous invite, dans ce monde, à briller comme des foyers de lumière, en lui présentant la Parole de Dieu.


    C’est le rôle de l’apôtre qui, comme Paul, tel une mère, enfante à nouveau dans la douleur …

    Tel est le rôle de l’accompagnateur spirituel, point d’appui qui, dans l’exigence de la plus grande simplicité, car Dieu seul guide et corrige, nous aide à renaître en Christ.

    Tel est le rôle de tout croyant qui doit aussi, dans l’Eglise, porter du fruit.

    Ainsi, le christ ne supprime pas le désir de la fécondité de l’homme mais lui donne toute sa plénitude.

     

    Suzanne ofs


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  • Petite note de la part de Richard: Notre soeur Suzanne a fait ces derniers jours une très vilaine chute dans un escalier, elle doit se reposer et malgré cela elle nous envoie cet article. Ayons une pensée, une prière pour notre soeur


     

    LE RETRAIT DE DIEU 

     

    Suzanne G TestutQui, un jour ou l’autre n’a pas été confronté à l’expérience douloureuse du retrait d’un être cher, à cette prise de distance, à cette sensation douloureuse de non présence qui peut aller jusqu’au sentiment d’abandon ? Le nourrisson et le petit enfant en font très vite l’expérience lorsque la maman ne répond pas immédiatement à leur sollicitation. Il en va de même dans le couple quand l’un des deux partenaires paraît prendre une certaine distance.


    Tout cheminant peut aussi un jour être confronté au « retrait de Dieu » et à la terrible incompréhension qui s’ensuit.  « J’appelle au secours et Il ne me répond pas ». « J’implore sa Présence et je ne ressens rien ». Cela se produit souvent alors que le Seigneur nous a donné un avant-goût de sa présence, de sa tendresse et de sa caresse. Expérience inexprimable que nous aimerions vivre à l’infini.


    Le retrait peut-il être de la part de Dieu, l’expression d’un manque d’amour, d’un abandon, d’un refus d’écoute ? Jamais !  Mais, comme un petit enfant, nous devons apprendre à grandir sous l’aile protectrice du Seigneur sans « réponse immédiate » tout en gardant la certitude qu’Il est là, parce qu’il nous aime.

    Le retrait selon Dieu relève de l’écoute du cœur. Il demande beaucoup d’amour, de don de soi et de gratuité, c’est ce que nous offre Dieu, Père, Fils et Esprit. Le mouvement d’amour est d’abord un mouvement de retrait, une kénose, pour que l’autre soit. Le Christ sur la croix nous en donne la plus grande illustration.

     

    C’est pourquoi, lorsqu’à l’exemple du Christ, nous sommes amenés à pratiquer le retrait, il ne peut être qu’un état d’esprit, une attitude humble, discrète et bienveillante par laquelle, volontairement, nous décidons de ne pas occuper nous-mêmes tout l’espace afin de permettre à l’autre de prendre la place qui lui est nécessaire. Nous prenons conscience que l’autre existe et avons le désir de le laisser exister. Ainsi, nous l’aidons à entrer dans sa responsabilité et sa liberté et lui en laissons le temps. Attitude que nous ne comprenons pas, tellement nous avons besoin d’être aimés, reconnus et considérés,  au point qu’il nous est difficile d’aimer et de se savoir aimés sans preuves d’attention. De même, nous ne comprenons pas « l’absence » de Dieu auprès de nous, en nous. Puisque Dieu est Amour, il doit « s’oublier » pour nous ! Et pourtant, n’est-ce pas ce qu’il a fait et ce qu’il fait en permanence ?

    Le retrait nous confronte ainsi à l’importance de  la relation avec l’autre et avec Dieu. Bien plus, à la nécessité d’une « intimité rassurante » qui est vitale pour nous et qui, paradoxalement, nous introduit vers la liberté.

    En effet, grâce à l’expérience du retrait de Dieu, nous pouvons découvrir avec  plus d’acuité la profondeur du message et du don de Dieu à l’humanité. D’après un passage de l’évangile de Jean, la révélation contient en son centre comme aboutissement suprême de l’expérience de la foi, la promesse d’une intimité inouïe entre l’homme croyant et Dieu, Père et Fils :

    23. « Si quelqu’un m’aime, il gardera ma parole, et mon Père l’aimera et nous viendrons vers lui et nous ferons une demeure chez lui. (Jean 14, 23)

    Aimer et se savoir aimés.

    « Marie gardait toutes ces choses dans son cœur » Quand « rien ne vient » - du côté de Dieu - et que la douleur du « retrait » nous tenaille, apprenons à faire mémoire du don de Dieu. La pire des choses serait de vouloir reproduire par nous-mêmes, par un effort d’imagination, ce que le Seigneur nous a fait vivre  par sa grâce. La grâce appartient à la grâce. Apprenons plutôt à « observer le saint évangile de Jésus-Christ » afin d’y découvrir le contenu et le sens du mot « évangile ».

    Apprenons le retrait pour que l’autre et le Tout-Autre soient.

    Le retrait est une attitude pédagogique employée par Dieu pour nous apprendre à aimer, à L’aimer et à le faire aimer. Mais, centrés sur nous-mêmes, nous avons des difficultés à entrer dans le retrait nécessaire pour discerner sa présence, pour le reconnaître et le comprendre. Sa présence est tellement aimante et discrète qu’elle peut passer inaperçue si nous n’entrons pas dans la vigilance : il est toujours et partout présent et nous ne le savons pas. Pourtant, en tant que chrétiens, nous sommes unis véritablement au corps et au sang du Christ par la communion. Il est là en chacun de nous et en celui qui nous fait face. Nous parlons, nous marchons avec lui, il nous regarde et nous ne le voyons pas. Hommes et femmes du monde, nous interprétons le temps qui passe à partir des choses de ce monde et, quand le feu divin nous anime de l’intérieur, nous ne le reconnaissons pas, nous ne savons pas le nommer.

    Goûtons l’expérience du retrait, de la gratuité et de la docilité amoureuse en nous abandonnant silencieusement à Lui pour qu’Il nous parle du mystère de l’amour et qu’Il le vive en nous. Entrons dans l’intimité de ce chemin de purification et appuyons-nous sur l’empreinte de sa caresse, de son regard, de sa voix, de sa douceur et de son souffle. L’expérience du « retrait de Dieu » nous fera alors passer de l’état d’enfant à l’état d’adulte en Christ. Nous pourrons dire, emplis d’une audacieuse tranquillité : « Mon Dieu, tu es là, je ne demande plus des preuves de présence, je prends le risque de la vie et de l’amour, à ma manière, en tant que personne responsable et sous ton regard, pour enfin devenir ce que je suis de toute éternité ».

    Dans le retrait, la relation est plus forte, plus profonde que jamais parce que je vais chercher mon Seigneur et mon Dieu au plus profond de moi.

    Suzanne Giuseppi Testut  -  ofs

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  • TROUVER LE BONHEUR


    parle Seigneur« L’Eternel, ton Dieu, te comblera de biens en faisant prospérer tout le travail de tes mains, le fruit de tes entrailles, le fruit de tes troupeaux et le fruit de ton sol ; car l’Eternel prendra de nouveau plaisir à ton bonheur, comme il prenait plaisir à celui de tes pères, lorsque tu obéiras à la voix de l’Eternel, ton Dieu, en observant ses commandements … » (De 30, 9-10)

     

    Face à Dieu nous sommes « appelés à faire un choix ».

    De la naissance à la mort, l’homme est confronté à des choix qui déterminent sa vie sociale ou professionnelle, affective, morale ou spirituelle. Devant la nécessité de choisir, nous nous sentons souvent frustrés dans nos désirs car tout choix implique un renoncement. Nous nous sentons empêchés de jouir de tous les biens de la terre qui nous sont offerts et nous pensons alors être atteints dans notre liberté. Dans ces moments-là le discernement nous fait cruellement défaut.

     

    Dans le monde, nous sommes « confrontés à des choix » et nous prenons des décisions en fonction des circonstances. Face à Dieu, nous sommes « appelés à faire un choix » Il nous demande de choisir entre la bénédiction et la malédiction, la vie et la mort. Nous sommes appelés à nous convertir et cela jusqu’au terme de notre existence. « J’ai mis devant toi la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction. Choisis la vie, afin que tu vives … » (De 31, 19)

    A chacun de s’engager et de persévérer dans la voie qui conduit à la vie. Lorsque Dieu nous montre qu’il nous a choisis, il nous demande : « Et toi, quel est ton choix ? ». Il nous dit aussi : « Je vais te mettre dans la confidence de mon désir et nous comparerons nos désirs. » Réfléchis bien : « Quel est ton désir, quelle est ta vocation ? » Que nous soyons appelés, choisis ou envoyés, notre réponse sera déterminante.

     

    « Jésus l’ayant regardé l’aima, et lui dit : Il te manque une chose ; va, vends tout ce que tu as, donne-le aux pauvres, et tu auras un trésor dans le ciel ? Puis viens, et suis-moi. Mais, affligé de cette parole, cet homme s’en alla tout triste ; car il avait de grands biens. » (Mc 10, 21-22)

    Que ce soit dans l’Ancien ou le Nouveau Testament, l’Ecriture rappelle à l’homme qu’il contient tout ce qu’il faut en lui pour prendre des décisions libres. En faisant constamment appel à son pouvoir de choix, elle le confronte aussi à sa responsabilité. Ainsi, le bonheur et la joie sont-ils le résultat de deux volontés qui s’unissent, celle de Dieu et celle de l’homme.

     

    Dieu nous donne la clé du bonheur : choisir d’aimer.

    « Tu aimeras le seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta pensée, et de toute ta force … Tu aimeras ton prochain comme toi-même » (Mc 12, 28-31)

    Ne faut-il pas s’aimer soi-même pour aimer notre prochain et aimer Dieu ? Jésus prend soin de préciser « comme toi-même ». Il nous fait comprendre que « l’autre », c’est aussi « moi » et que je suis le prochain de mon prochain. Il nous fait sentir combien l’acceptation de nous-mêmes tels que nous sommes est essentielle pour pouvoir aimer l’autre tel qu’il est. Il ne s’agit pas de s’aimer narcissiquement mais de s’aimer comme personne créée à l’image de Dieu appelée à la ressemblance. Il s’agit d’un amour spirituel de soi qui revient à s’aimer en Dieu et pour Dieu. Nous rejoignons alors le premier commandement qui est d’aimer Dieu. C’est la clé du bonheur et de la joie. Il est clair, que se reconnaître dans sa réalité spirituelle, s’aimer en tant qu’image de Dieu et personne aimée de Dieu, conduit vers Dieu. Dès lors, si l’homme s’aime dans ce qu’il est fondamentalement, il peut aimer son prochain spirituellement en tant que frère créé lui aussi à l’image de Dieu et appelé à lui ressembler, sans que cet amour soit terni par des mouvements passionnels. Nous comprenons alors que Dieu et le prochain sont inséparables. Cela est  aussi la clé du bonheur et de la joie.

     

    Trouver la joie ? Joie de la Présence, certitude d’être aimés de Dieu d’un amour sans limite.

    C’est à notre portée. La vie des saints nous en donne de merveilleux exemples. Ils ne sont pas nés saints, ils le sont devenus. Ils nous montrent que l’homme a la capacité d’accueillir la grâce.

    Donne à ceux qui te prient, Seigneur, l’abondance de ta grâce. Avec ton aide, qu’ils suivent tes commandements pour y trouver dès maintenant leur bonheur, pour en recevoir, dans l’éternité, ta joie.


    Deux pistes concrètes pour trouver le bonheur.

     

    1/ Faire une relecture objective de nos choix

    -          Quels ont été nos choix dans notre vie personnelle et professionnelle ?

    -          Quelles ont été nos priorités ?

    -          Avons-nous été à l’écoute de notre vocation ?

     

    2/ Dieu y-a-t-il sa place dans notre vie ?

    -          Savons-nous nous ouvrir au don de Dieu et nous laisser recréer spirituellement ?

    -          Quel effort personnel avons-nous accompli en unissant notre volonté à celle du Christ, pour conserver et entretenir en nous la charité reçue lors de notre baptême ?

    -          Que faisons-nous pour mettre en œuvre les facultés dont nous avons été pourvus ?

    -          Sommes-nous prêts à coopérer à la grâce et à témoigner de la Présence ?

    -          Avons-nous le désir de laisser rayonner l’image de Dieu que nous contenons et de parfaire la ressemblance ?

     

    Reprendre le chemin parcouru depuis la première étape de cet itinéraire.

    -          Avons-nous le sentiment d’avoir approché ce bonheur ?

    -          Désirons-nous choisir la vie et non la mort ? Tout simplement, désirons-nous ne pas fuir le bonheur sachant que l’amour de Dieu pour sa créature va bien au-delà des conditions que nous pouvons y mettre.

    -          Avons-nous le désir de faire du Christ, le « Maître de ma vie » ?

     

    « Hâte-toi et cours d’un pas léger, sans achopper aux pierres du chemin, sans même soulever la poussière qui souillerait tes pieds ; va, confiante, allègre et joyeuse … sur le chemin du bonheur. » (Claire d’Assise LA 2 - 12-13)

     

    Suzanne  ofs

     

     Source Bayard-prsse

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  • Mission confiée aux disciples -Mc-16-15-20

    envoie en mission 1,0

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