• L’année commence bien!


    En ce début d’année, nous sommes à l’heure des nouveaux départs. Une Commission Jeunesse, renouvelée par l’arrivée de cinq nouveaux membres, se réunit pour la première fois. Le nouveau Comité de la Fête des Tentes vit, lui aussi, sa première réunion. Et le plus merveilleux dans tout ça, c’est que tout ce beau monde a l’occasion de se rassembler alors qu’ils participent ensemble au tout premier ressourcement franciscain annuel des comités jeunesse de la famille franciscaine.

    Ce ressourcement, dont l’idée a émergé de la table de concertation de la Commission Jeunesse, a pour but de donner une formation franciscaine aux jeunes adultes qui décident de s’impliquer dans les différents comités jeunesse de la famille franciscaine. Ce ressourcement pourrait devenir l’événement qui, chaque année, donnera le coup d’envoi pour les projets de jeunesse franciscaine de l’année à venir.

    Cette première mouture s’est déroulée du 10 au 12 janvier dernier et elle fut très appréciée de tous les Des nouvelles de la Commission jeunesse franciscaineparticipants. Voici quelques commentaires :

    « Cette retraite a été un moment très spécial pour moi,  et  cela grâce à chacun des membres présents. Je m'y suis découvert une famille qui avait toujours été là sans que je ne le réalise, et ce, depuis des années. Merci à tous! » (Perla Abou-Jaoudé)

    « Un beau temps de fraternité! Une fin de semaine de ressourcement qui fait du bien! Nous avons vécu des moments de rigolade, d'accueil de l'autre et de partage de ce qui nous habite. Vraiment content de pouvoir vivre ce genre d'événement. »
    (Pascal Ducas)

    « Que dire de tous les temps passés ensemble, les repas partagés, les échanges, les rencontres pour nos réunions de comité respectif qui furent très fructueuses, la soirée festive du samedi soir avec chansons et musique, jusqu’à la messe du dimanche matin, toute intime entre nous, des temps fraternels vraiment très riches! Ce fut vraiment une fin de semaine splendide, vraiment franciscaine, et mémorable à tous points de vue! Une expérience à répéter! »
    (France Laliberté)

    « Je reste touchée par l'accueil des Ursulines, c'est là que les filles furent accueillies pour les couchers et les déjeuners. Ce lien d'amitié entre les Franciscains et les Ursulines remonte au temps des Récollets. Lors de l'arrêt au Cap de la Madeleine, en raison du mauvais temps, il n’y avait que notre groupe dans la petite chapelle. Ce temps gratuit fut l'occasion de nous déposer longuement dans la prière. Cela me redit que toute action doit être soutenue d'un élan du cœur tourné vers Dieu puisque c'est Lui que nous rencontrons dans nos frères et sœurs et c'est Lui que nous espérons que l'autre rencontre à  travers  notre  témoignage fraternel. »
    (Doris Lamontagne, pfm)

    Source Echo de la Famille Franciscaine

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  • Une très belle découverte. Voici donc pour la plus grande gloire de Dieu un message VIDÉO plein d'Espérance. (7min 30)

    source http://saintthomasdaquin.qc.ca

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  • JMJ : « Ne restez pas au balcon de la vie ! »

    JMJ : « Ne restez pas au balcon de la vie ! »

    Quelque 3 millions de jeunes ont assisté à la messe de clôture des 28e Journées mondiales de la jeunesse (), célébrée par le François sur la plage de Copacabana. Mais au-delà du succès de foule, ce sont les paroles du souverain pontife et la ferveur des jeunes que l’on retiendra. « Soyez des acteurs du changement », leur a lancé le .

    Ferveur, recueillement, enthousiasme, larmes de joie,… il n’est pas assez de mots ou d’adjectifs pour qualifier ce que les 3 millions de jeunes ont vécu lors de la messe de clôture des JMJ au Brésil. Une messe, en présence des chefs d’Etat du Brésil, de Bolivie, du Suriname, et de son pays l’Argentine, qui témoigne de ce que furent ces journées mondiales de la jeunesse. Tout au long de cet événement majeur pour l’Eglise et pour le monde, la foi profonde est apparue comme un véritable moteur du changement. Le pape François ne s’est d’ailleurs pas trompé en déclarant aux jeunes de tous les pays : « N’attendez pas que les autres changent le monde. Soyez vous-mêmes les acteurs du changement ! ».

    De fait, le monde et même la civilisation semblent être à un tournant majeur. En proie à bien des problèmes profonds – crises économique et sociale, perte des valeurs morales, augmentation des inégalités, injustice, etc.-, la planète attend un souffle nouveau. Il est donc encourageant de voir que ceux qui seront les bâtisseurs du monde de demain osent proclamer leur confiance dans le Christ et dans l’Evangile. Car mettre le Christ au centre de sa vie et s’appuyer sur l’Evangile conduisent inévitablement à une société plus juste et plus solidaire.  Voilà pourquoi le pape leur a demandé de ne pas avoir « peur d’annoncer partout le Christ », assurant que « l’Evangile est pour tous ». Il les a exhorté à partir en mission, comme le Christ le fit avec ses apôtres.

    « Ne restez pas au balcon de la vie »

    Le Saint-Père a invité les participants aux JMJ à ne pas laisser « l’expérience de leur rencontre avec le Christ renfermée dans leur vie », expliquant dans une métaphore que se serait comme « priver d’oxygène une flamme qui brûle ». « Jésus-Christ compte sur vous ! L’Eglise compte sur vous ! Le pape compte sur vous ! », a-t-il encore lancé au terme de son homélie, salué par des applaudissements nourris.

    La veille, le souverain pontife avait estimé que les manifestants au Brésil – qui ont protesté contre la crise et le chômage il y a encore quelques semaines  – et ceux qui manifestent ailleurs,  expriment « leur désir d’une société plus juste et fraternelle ». Encourageant les jeunes à devenir des « athlètes du Christ » et des « protagonistes du changement », il les a invités à offrir « une réponse chrétienne aux préoccupations sociales et politiques qui grandissent dans de nombreuses régions du monde ». «  Les jeunes dans les rues veulent être les acteurs du changement. (…) Ne restez pas au balcon de la vie, Jésus n’y est pas resté. Il s’y est engagé ! Engagez-vous-y comme l’a fait Jésus », leur a-t-il lancé.

    Mais le pape François n’a pas tenu à s’adresser qu’aux seuls jeunes. Aux évêques, prêtres et séminaristes présents, il a redit ce qu’il martèle depuis le début de son pontificat : « allez à contre-courant ». Il a également réitéré ce qui semble être l’un des mots d’ordre de son pontificat, à savoir que le clergé doit sortir de ses églises pour aller à la rencontre du monde. Il a rappelé que « ce n’est pas la créativité pastorale, ce ne sont pas les rencontres ou les planifications qui assurent les fruits, mais le fait d’être fidèles à Jésus ».

    Promouvoir la culture de la rencontre

    « Sommes-nous encore une église capable de réchauffer le cœur ? » a interrogé le pape, insistant sur le devoir du clergé d’annoncer l’Evangile. Il a demandé aux prêtres d’accompagner les jeunes dans leur désir de se faire des disciples missionnaires de Jésus. « Non pas au bout du monde, (…) mais déjà chacun dans son propre pays, dans sa propre maison, son milieu d’étude ou de travail, la famille et les amis ». Dernière recommandation du pape François aux ministres de l’Eglise, aux religieux : ne pas économiser leurs forces dans la formation des jeunes et leur éducation à la mission, à sortir, à partir. « Nous ne pouvons pas rester enfermés dans la paroisse, dans nos communautés, quand tant de personnes attendent l’Évangile ! Ce n’est pas simplement ouvrir la porte pour accueillir, mais c’est sortir par la porte pour chercher et rencontrer ! », a exhorté le Pape.

    Autres cibles des paroles du pape, les dirigeants politiques et particulièrement ceux du Brésil. Il a demandé que ceux-ci prennent au sérieux leur responsabilité sociale, en ayant « l’audace d’actions courageuses et libres pour promouvoir le bien commun ». François a demandé que soient entendus les « cris qui demandent justice ». A ses yeux, « l’avenir exige (…) une vision humaniste de l’économie et une politique qui réalise toujours plus et mieux la participation des gens, évite les élitismes et déracine la pauvreté ».

    La veille, des centaines de milliers de jeunes ont dansé un instant avec des évêques du monde entier, salués par une foule enthousiaste. Ce qui a permis au pape de dire aux évêques présents : « Je suis sûr que ces journées vous ont rajeunis ! ».

    Au cours de l’offertoire, le pape François a salué un couple et leur fillette atteinte d’anencéphalie, une malformation congénitale fatale qui pousse de nombreux parents à ne pas garder leur enfant. Devant le pape, le couple arborait des tee-shirts sur lesquels on pouvait lire cette inscription en portugais : “Stop à l’avortement“.

    Une heure avant la célébration, le pape François avait remonté une quatrième et dernière fois la longue plage de Copacabana en papamobile, suscitant le même enthousiasme débordant de la foule que les jours précédents. Les millions de jeunes massés le long des barrières lui avaient lancé des drapeaux qu’il rattrapait parfois, ou encore des courriers dont certains finissaient dans le véhicule blanc.

    JMJ : retour en Pologne

    Vingt-cinq ans après Czestochowa, les Journées mondiales de la jeunesse (JMJ) reviendront en Pologne en 2016, à , ville dont est originaire le Bienheureux Jean-Paul II. Comme c’est l’usage, le pape François l’a annoncé au terme de la messe de clôture des 28e JMJ, ce 28 juillet 2013. « Chers jeunes », a ainsi lancé le pape au terme de cette célébration conclusive, pour les prochaines Journées mondiales de la jeunesse, « nous nous donnons rendez-vous en 2016 à Cracovie, en Pologne ».

    J.J.D.

    Lire l’homélie complète du pape François, prononcée lors de la messe de clôture des JMJ, le dimanche 28 juillet.

    Visitez le magnifique site belge des JMJ : http://rio2013.jmj.be/

    Source http://info.catho.be

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    Des photos des foules et du pape à Rio

     


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  • [Monde] Rio: les larmes du pape François dans la favela de Varginha

    À son arrivée dans la favela de Varginha, le pape François a été accueilli comme le Christ sauveur. Pour sa venue, on a goudronné le chemin de terre qui traverse le petit quartier pauvre coincé entre deux canaux venus de l’océan et qui charrient une eau boueuse. Gendarmes et gardes suisses qui encadrent le pape sont débordés. Avec presque autant de policiers que d’habitants, le petit quartier est malgré tout à la fête. Les maisons inachevées sont décorées, et les gardes du corps sont soucieux des surprises que peut leur faire leur protégé, à tout moment.

    Sur un pilier de béton, une plaque métallique de travers indique l’entrée de la rue Carlos Chagas, un célèbre médecin brésilien. Mais le médecin des âmes est arrivé et, à côté du curé et d’une Missionnaire de la Charité sous leur parapluie, les petites gens de la favela exultent. Il y a du monde à chaque fenêtre, sur le toit de chaque maison, et même sur le pas de la porte de la bâtisse qui abrite les pentecôtistes de l’Assemblée de Dieu. Le commandant de la Gendarmerie vaticane demande au pape s’il veut enlever la couronne de fleurs que vient à peine de lui remettre la religieuse. Il refuse gentiment.

    Du rire aux larmes
    Avant d’entrer dans la toute petite chapelle dont il va bénir l’autel, le pape François se dirige vers un groupe d’enfants. Plusieurs petits se collent à lui et l’entourent de leur bras. Le pape distribue des baisers et des caresses, quelques paroles de réconfort. Il arbore un immense sourire. Dans la minuscule chapelle, il passe soudain du rire aux larmes. Immobile alors que tout s’agite autour de lui, les mains jointes et la tête baissée, il offre à Dieu tout ce qu’il vient de voir … tous ceux qu’il vient de voir.

    Lorsqu’il fait un signe de croix et relève la tête, le pape François a les yeux emplis de larmes. Le solide Argentin de 76 ans pleure comme un gosse devant la souffrance du monde et semble redire, comme deux semaines plus tôt sur l’île de Lampedusa, que « nous sommes une société qui a oublié l’expérience des pleurs, du « souffrir avec »: la mondialisation de l’indifférence nous a ôté la capacité de pleurer! »Rio: les larmes du pape François dans la favela de Varginha - Proximo

    Quelques dizaines de minutes plus tard, après avoir parcouru la rue principale de la favela de Varginha et prié avec une famille dans sa maison, le pape François va fustiger cette indifférence mondialisée dans un discours tenu sur le terrain de foot boueux de la petite communauté. « Personne ne peut rester insensible aux inégalités qu’il y a encore dans le monde! », lance-t-il avant d’inviter « chacun, selon ses possibilités et ses responsabilités », à « offrir sa contribution pour mettre fin à beaucoup d’injustices sociales ». Et le pape de marteler le mot « solidarité! » Sous la pluie, le public essentiellement composé de femmes et d’enfants applaudit.

    Le pape incite à la pagaille
    Au Brésil, le pape François est venu verser les mêmes larmes qu’à Lampedusa, où débarquent quotidiennement du continent africain des candidats à l’immigration. Il est venu hausser le ton contre l’indifférence généralisée. Il est également venu proposer une petite révolution à l’Église. Francisco l’a d’ailleurs confié sans ambiguïté à ses jeunes compatriotes au sortir de la favela. « Qu’est-ce que je souhaite comme conséquence de la Journée de la jeunesse? Je veux de la pagaille », a lancé le pape aux jeunes Argentins réunis dans la cathédrale Saint-Sébastien. « Ce qui se passe à Rio va mettre la pagaille », a-t-il ouvertement souhaité en demandant aux jeunes et à l’Église, une nouvelle fois, de sortir dans la rue, de se débarrasser de la mondanité et du cléricalisme, de tout ce qui renferme les fidèles sur eux-mêmes. Les larmes ne coulent pas toujours en silence.

    Source http://www.radiovm.com

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  • Les JMJ de Rio comme si vous y étiez

    Cérémonie d’accueil du pape François : « La foi accomplit dans notre vie une révolution »

    • famillechretienne.fr
    • Par Jean-Marie Dumont

    Jeudi 25 juillet au soir se tenait la cérémonie d’accueil du pape François aux Journées mondiales de jeunesse. Marquée par l’émotion lorsque le pape a évoqué l’accident qui a coûté la vie à Sophie Morinière, elle a aussi été marquée par l’appel fort du pape adressé aux jeunes de mettre Dieu au centre de leur vie. Elle inaugurait trois jours de rencontres avec les jeunes qui se poursuivront jusqu’à la messe finale de dimanche.

     JMJ - Cérémonie d’accueil du pape François : « La foi accomplit dans notre vie une révolution » Zenit(copie d'écran KTO/CTV)

    « Chers amis, la foi accomplit dans notre vie une révolution que nous pourrions appeler copernicienne, parce qu’elle nous enlève du centre et le rend à Dieu. En apparence rien ne change, mais au plus profond de nous-mêmes, tout change. » C’est par ces mots que le pape s’est adressé hier soir aux centaines de milliers de jeunes réunis sur la célèbre plage Copacabana de Rio pour une grande cérémonie d’accueil célébrée en son honneur. Une allusion au caractère « révolutionnaire » de la foi qui rappelle, pour les pèlerins qui étaient à Cologne lors des JMJ en 2005, ces propos que le pape Benoît XVI y avait tenus : « C'est seulement des saints, c'est seulement de Dieu que vient la véritable révolution, le changement décisif du monde. […] La révolution véritable consiste uniquement dans le fait de se tourner sans réserve vers Dieu, qui est la mesure de ce qui est juste et qui est, en même temps, l'amour éternel » (20 août 2005).

    Une minute de prière silencieuse pour Sophie Morinière et les blessés

    Ce soir à Copacabana, le temps est exécrable, le vent intense, la mer agitée. Et pourtant, l’enthousiasme du million de pèlerins entassés sur le sable est intact : à plusieurs reprises, le pape est applaudi à tout rompre. Celui-ci a commencé son intervention en invitant les pèlerins à prier quelques instants en silence pour cette jeune fille de la délégation parisienne décédée au cours de la semaine missionnaire, pour les blessés et leurs familles respectives. Pendant près d’une minute, on n’entend plus que les hélices des cinq hélicoptères qui survolent la baie, tandis que les pèlerins prient en silence.

    Le pape a ensuite évoqué sa rencontre avec le pape Benoît XVI avant son départ au Brésil et la demande qu’il lui a adressée de prier aux intentions des pèlerins. Il demande qu’on l’applaudisse : toute la plage se livre à l’exercice avec une joie et une émotion visibles, lançant pendant plusieurs dizaines de secondes ce mot si souvent scandé jusqu’il y a encore quelques mois : « Benedetto ! » Et, chose incroyable, le pape François lui-même le scande une ou deux fois au micro avec les jeunes, en précisant qu’il sait que Benoît XVI regarde cette scène à la télévision.

    Rencontrer le Christ dans les sacrements

    Un peu après, le pape François a mis en exergue auprès des jeunes le rôle des sacrements, déclarant : « Écoute le Christ avec attention et ton cœur sera réchauffé de sa présence. […] Il t’accueille dans le sacrement du pardon, pour guérir de sa miséricorde les blessures du péché. […] Il t’attend dans la rencontre avec sa Chair dans l’Eucharistie, sacrement de sa présence, de son sacrifice d’amour. » Au fil de son discours, il improvise à plusieurs reprises, encourageant notamment les jeunes pèlerins, avec une grande expressivité dans ses gestes, à avoir une foi « forte ». « Nous sommes ici, ensemble, leur a-t-il dit aussi, pour partager la foi et la joie de la rencontre avec le Christ, dans le fait d’être ses disciples. Cette semaine, Rio devient le centre de l’Église, son cœur vivant et jeune, parce que vous, vous avez répondu avec générosité et courage à l’invitation que Jésus vous a faite de demeurer avec lui, d’être ses amis. »

    Un accueil enthousiaste

    Des propos très bien reçus par des jeunes qui donnent l’impression d’en redemander. Un accueil enthousiaste que l’on a senti dès son arrivée : conduit par hélicoptère au fort de Copacabana, à l’extrémité de la plage, il est apparu vers 17 h 15 dans sa papamobile alors que le jour se finissait et a parcouru ainsi les quelque quatre kilomètres de l’avenida Atlantica jusqu’à l’estrade. Tout au long du chemin, les centaines de milliers de pèlerins l’ont acclamé. « C’est grandiose, déclare Aurélien, un jeune pèlerin venu de l’Île de la Réunion, je l’ai vu à 5 mètres ! »

    Même sentiment chez Yannis et Karel, deux jeunes de Guadeloupe qui viennent d’avoir leur bac : ils ont pu arborer un superbe drapeau français au bout d’une canne à pêche lors du passage du pape et sont manifestement très contents de leur coup. Andrea, une jeune Guyanaise, ne cache pas non plus sa joie : « C’est vraiment émouvant d’être ici près du pape. C’est la première fois que je le rencontre. J’ai un grand respect pour lui : c’est le SaintPère. Et en même temps, je l’aime beaucoup. C’est d’autant plus fort après toutes les péripéties que nous avons rencontrées, notamment notre vol qui a été retenu plusieurs jours en Guyane. » Une joie que, comme beaucoup ici, elle ne lie pas seulement à la présence du pape, mais aussi au fait de rencontrer des chrétiens partageant la même foi : « Cette ferveur me donne chaud au cœur et ravive ma foi », déclare-t-elle, avant de retourner suivre la fin de la cérémonie sous une pluie fine grâce à l’un des grands écrans installés tout au long de la plage de Copacabana.

    Jean-Marie Dumont


    Retrouvez le discours du pape en son entier ici.
     
    Source http://www.famillechretienne.fr
     
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  • JMJ de Rio : la délégation parisienne endeuillée par un accident de bus

    • famillechretienne.fr
    • Par Antoine Pasquier

    Un bus transportant des participants aux Journées mondiales de la jeunesse originaires de Paris a percuté un camion mercredi 17 juillet au matin, dans l’ouest de la Guyane. Le bilan est lourd : une étudiante de 21 ans décédée, trois personnes dans un état grave et six blessés.
     JMJ de Rio : la délégation parisienne endeuillée par un accident de bus

    À écouter : le beau témoignage de foi de Sophie sur Radio Notre-Dame :

     Une étudiante parisienne participant aux Journées mondiales de la jeunesse a trouvé la mort, mercredi 17 juillet au matin, en Guyane française, dans un accident de la circulation entre un camion et un bus transportant des jeunes JMJistes originaires de Paris. Les deux chauffeurs et un passager du camion sont dans un état très grave, et six jeunes ont été blessés. « Un de ces jeunes est dans un état grave sans que le pronostic vital soit engagé. Il est actuellement hospitalisé à Kourou avec un autre », indique l’archevêché de Paris, aussitôt prévenu des événements. Tous les autres jeunes, blessés ou non, ont été accueillis à l’hôpital de Saint-Laurent-du-Maroni. Une cellule de soutien psychologique a été mise à leur disposition.

    Âgée de 21 ans, la victime, Sophie Morinière, était étudiante en quatrième année à l’École Polytechnique Féminine à Sceau. Aînée d’une fratrie de quatre enfants, elle s’était installée avec sa famille à Paris en 2011 et fréquentait la paroisse de Saint-Christophe de Javel. La jeune femme avait accepté de tenir une chronique des JMJ pour Radio-Notre-Dame. « Sophie avait une foi profonde et une belle capacité de présence à chacun, louée par ceux qui l’ont connue », précise l’archevêché de Paris. 

    Une collision avec un engin de chantier ?

    L’accident s’est produit vers 7 h 36 heure locale (12 h 36 à Paris) sur la RN1, entre Saint-Laurent-du-Maroni et Kourou. Les circonstances de l’accident ne sont pas encore connues, selon le quotidien France-Guyane, qui évoque une collision avec un engin de chantier.

    Le car transportait 24 jeunes participants aux Journées mondiales de la jeunesse avec le groupe de la paroisse Saint-Léon (Paris XVe). Après avoir passé quelques jours dans des familles de Saint-Laurent-du-Maroni, le groupe, réparti en trois cars, partait visiter le Centre spatial guyanais de Kourou.

    Le préfet de la région Guyane a déclenché le plan ORSEC-Nombreuses Victimes dans les minutes qui ont suivi l’accident, et une centaine de secouristes ont porté assistance aux blessés. Mgr Bruno Lefevre Pontalis, vicaire général du diocèse de Paris, qui conduit la délégation de Paris, et Mgr Emmanuel Lafont, évêque de Cayenne, sont aussitôt partis de Cayenne pour rejoindre le groupe à Saint-Laurent.

    « Les victimes de l’accident ont été aussitôt entourées par les passagers, prêtres et jeunes adultes, des deux autres cars qui composaient le groupe », précise-t-on à l’archevêché de Paris. « La défunte a été entourée par la prière de tous au long de la journée. »

    Les passagers du bus accidenté ont retrouvé le soir les autres membres de la délégation parisienne pour une messe en hommage à la jeune victime. Ils ont tous été accueillis pour la nuit dans les familles qui les avaient reçus depuis vendredi 12 juillet.

    Message du pape François

    Une messe présidée par Mgr Emmanuel Lafont, évêque de Cayenne, est dite à l’intention des victimes jeudi 18 juillet à 20 h 30 en la cathédrale Saint-Sauveur de Cayenne. Ce même jeudi, une veillée de prière a lieu à 20 heures en l’église Saint-Léon (Paris XVe). Elle sera présidée par le cardinal André Vingt-Trois, archevêque de Paris.

    Interrogé par La Croix, Monseigneur Lafont a fait part de son émotion. « Ces jeunes ont vécu des moments merveilleux depuis leur arrivée. Je suis très heureux de l’accueil qu’ils ont reçu de la part des habitants de Guyane. Cela s’achève dans les larmes, mais avec l’espérance chrétienne. Car on ne pleure pas comme ceux qui n’ont pas d’espérance. »

    Le cardinal Vingt-Trois invite à prier pour la défunte et sa famille, et « pour les jeunes frappés par ce drame au cœur de leur démarche de foi ».

    Le pape François, par un message adressé à Mgr Emmanuel Lafont, a fait savoir qu’il s’associait à la peine et à la prière de la famille de Sophie, et il a assuré de sa sympathie les blessés, leurs proches et ceux qui les entourent.

    Antoine Pasquier

    Source http://www.famillechretienne.fr

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  • La Jefra qu'est-ce que c'est ?

     Cholet 2013 - jeu

    En France, la JeFra a des visages différents ; elle est présente dans plusieurs villes :

    • Arras,
    • Cholet,
    • Paris,
    • Metz,
    • Bitche,
    • Strasbourg,
    • Lyon
    • ... Ailleurs en France, des petites pousses voient le jourLa JeFra qui rassemble, des jeunes de 16 à 30 ans,
      est toujours fondée sur les mêmes piliers :
    • vie fraternelle,
    • formation,
    • mission...
    • et au cœur, la prière 

    Cholet 2013 - témoignage de jeune

    Tous vivent la même promesse, un engagement d'un an renouvelable tous les ans.
    Cette promesse est personnelle et communautaire, comme le rituel nous le démontre :

    « Oui, frères et sœurs, je m'engage à approfondir ma vocation à la lumière de la vie et du message de St François. »

    La JeFra de France est née officiellement le 16 juillet 2011. Cependant des groupes de Jeunesse Franciscaine existaient déjà depuis les années ... 1950 !

    A Arras, c'est autour d'un couvent de clarisses que la JeFra est née ; à Cholet c'est autour d'un couvent de frères conventuels ; à Bitche, autour d'une Fraternité Franciscaine Séculière. Chacun a son histoire propre, mais le lien à l'Ordre Franciscain Séculier est fondamental pour qu'une Jeunesse Franciscaine existe.

    La JeFra française s'est retrouvée à Assise en 2010, à Nantes en 2011, à Lisieux au service du Congrès européen OFS-JeFra en 2012, et à Cholet en mai 2013 ! Par ailleurs, des membres français de la JeFra ont été présents à chaque rassemblement européen ou international

    Voilà une phrase marquante du 1er rassemblement de la JeFra de France à Assise en 2010:

    « Eh bien, voilà la mission de tout jeune de la JeFra : concevoir Jésus et l'enfanter, le mettre au monde.
    Au retour de ce pèlerinage à Assise, certainement vous témoignerez autour de vous :
    « Dieu était avec nous ! ».
    Mais ne sera-t-il pas aussi présent là où vous serez ? A la fac, au travail, voire dans le désert de vos vies ?
    La JeFra est une école de vie au singulier :
    Je vous invite chacun et chacune à faire l'unité dans votre vie : soyez les mêmes en réunion JeFra comme partout où vous serez ! 
    »

    Fr. Eric Bidot, assistant national JeFra

    Prions pour la croissance de la Jeunesse Franciscaine en France...

    Prions pour que le désir de devenir saint grandisse dans le cœur de chacun des jeunes.

    Source www.franciscain.net

    autres


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  • Jeunes, ayez le courage de répondre à l'appel du Christ!
    Paroles du pape François à l'angélus

    Anita Bourdin

    1er messe papeROME, 7 juillet 2013 (Zenit.org) - Jésus forme une communauté misisonnaire, fraternelle non pour "socialiser" mais pour aller annoncer l'Evangile à tous, "faire du bien", guérir de tout mal, fait observer le pape en commentant l'évangile du jour: une communauté missionnaire. Il interpelle les jeunes, les mettant au défi de répondre avec joie et courage à l'appel de Jésus.

    Le pape a en effet présidé l'angélus dominical de midi, place Saint-Pierre, ce 7 juillet 2013, depuis la fenêtre du bureau du palais apostolique.

    Il a lancé cet appel aux jeunes à entendre l'appel de Jésus: "Il y a tant de jeunes aujourd'hui sur cette place! Pensez à cela. Demandez-vous : "Jésus m'appelle à partir? A sortir de moi, et faire le bien?" A vous les jeunes, à vous jeunes gens et jeunes filles, je demande: êtes vous courageux pour cela? Vous avez le courage d'entendre la voix de Jésus? C'est beau d'être missionnaires! (Applaudissements) Ah! Vous êtes bien! Cela me plaît! (Les applaudissements redoublent)"

    "Tous doivent être missionnaires! Tous peuvent entendre cet appel de Jésus et aller annoncer le Royaume", a ensuite ajouté le pape.

    Il a achevé sur cet appel à la joie et au courage: "Chers amis, la joie! N'ayez pas peur d'être joyeux. N'ayez pas peur de la joie. N'ayez pas peur de la joie! De cette joie que le Seigneur nous donne lorsque nous le laissons entrer dans notre vie. Laissons-le entrer dans notre vie et nous inviter à aller au-dehors, aux périphéries de la vie, à annoncer l'Evangile. N'ayez pas peur de la joie. Joie et courage. "

    Le pape s'est aussi adressé, après l'angélus aux jeunes du diocèse de Rome qui se réparent à partir pour Rio. Il leur a confié que lui aussi se prépare et il leur a donné rendez-vous là-bas.

    Source www.zenit.org


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  • Le pape confie son secret du bonheur aux jeunes de Lituanie

    "Jésus veut être votre ami"

    Rome, 30 juin 2013 (Zenit.org) Anita Bourdin

    photo pape"Jésus veut être votre ami, votre frère, maître de vérité et de vie qui vous révèle le chemin à faire pour arriver au bonheur, à la réalisation de vous-mêmes selon le plan de Dieu sur chacun de vous", dit le pape François aux jeunes de Lituanie rassemblés dans l'ancienne capitale historique du pays, Kaunas du 28 au 30 juin.

    Un message d'autant plus significatif à moins d'un mois de la JMJ de Rio de Janeiro: le pape transmets aux jeunes, en père spirituel, en quelque sorte son "secret du bonheur", les moyens de leur "croissance spirituelle", la clef de "l'amour". Et selon un leitmotiv de son enseignement, il ajoute: "Jésus pardonne toujours".

    Dans ce message, il confie aux jeunes les clefs de la vie chrétienne: "la rencontre avec l'amour de Dieu dans l'amitié du Christ, est avant tout impossible sans les sacrements, en particulier l'eucharistie et la réconciliation", dit le pape, avant d'indiquer une autre "une autre voie privilégiée pour grandir dans l'amitié avec le Christ": l'écoute de sa Parole. Il recommande aussi la prière du rosaire.

    Les pape les invite à se sentir membres "de l'Eglise, engagés dans l'évangélisation", en communion avec leurs pasteurs, et à "ne pas avoir peur" de vivre leur foi, à servir les plus pauvres, et à "manifester surtout le Visage de la miséricorde et de l'amour de Dieu".

    On se souviens que Vilnius a été la ville où a habité sainte Faustine Kowalska et où elle a notamment fait peindre la première icône de "Jésus miséricordieux", aujourd'hui vénérée dans l'église de la Trinité devenue sanctuaire de la Miséricorde divine (cf. http://www.faustine-message.com/tableau-jesus-misericordieux.htm).

    Le pape, rappelons-le, vient de conférer, hier, 29 juin, en la basilique Saint-Pierre, le pallium au nouvel archevêque de Vilnius, Mgr Gintaras Grušas. Dans ce message il remercie les pasteurs de l'Eglise de Lituanie à l'origine de ce rassemblement de jeunes, une sorte de JMJ Lituanienne.

     


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