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PRESIDENCE DU CONSEIL INTERNATIONAL DE L'OFS
PROGRAMME DE FORMATION PROGRESSIVE DOSSIER MENSUEL OCTOBRE 2011 – 2ème année – No. |
SECTION I: LE THEME MENSUEL
Sujet 10: Le drame de l'humanisme athée (EN n.55-58)
Commentaires, extraits et questions par Ewald Kreuzer OFS
Dans les extraits suivants de "Evangelii Nunciandi", le Pape Paul VI attire notre attention sur de nouvelles formes d'athéisme et de laïcisme. Il fait bien la distinction entre "laïcisme" et
"sécularisation", distinction d'autant plus importante pour nous que nous utilisons le mot "séculier" dans la dénomination de notre Ordre franciscain. Cette analyse par le Saint-père nous aide
aussi à mieux comprendre notre vocation et mission spécifique de Franciscains "séculiers.", vocation qui sera le thème du Chapitre général de Sao Paulo (Brésil) en ce mois d'octobre.
55. Drame de l'humanisme athée.(...) Du point de vue spirituel, ce monde moderne semble se débattre toujours dans ce qu’un auteur contemporain a appelé naguère “ le drame de l’humanisme athée[1]
”. D’une part, on est obligé de constater au cœur même de ce monde contemporain le phénomène qui devient presque sa marque la plus frappante : le sécularisme. Nous ne parlons pas de cette
sécularisation qui est l’effort en lui-même juste et légitime, nullement incompatible avec la foi ou la religion, de déceler dans la création, en chaque chose ou en chaque événement de l’univers,
les lois qui les régissent avec une certaine autonomie, dans la conviction intérieure que le Créateur y a posé ces lois. Le récent Concile a affirmé, en ce sens, l’autonomie légitime de la
culture et particulièrement des sciences. [Gaudium et Spes, 78] Nous envisageons ici un véritable sécularisme : une conception du monde d’après laquelle ce dernier s’explique par lui-même sans
qu’il soit besoin de recourir à Dieu ; Dieu devenu ainsi superflu et encombrant. Un tel sécularisme, pour reconnaître le pouvoir de l’homme, finit donc par se passer de Dieu et même par renier
Dieu.
Des formes nouvelles d’athéisme — un athéisme anthropocentrique, non plus abstrait et métaphysique mais pragmatique, programmatique et militant — semblent en découler. En liaison avec ce
sécularisme athée, on nous propose tous les jours, sous les formes les plus diverses, une civilisation de consommation, l’hédonisme érigé en valeur suprême, une volonté de puissance et de
domination, des discriminations de toute sorte : autant de pentes inhumaines de cet “ humanisme ”. Dans ce même monde moderne, d’autre part, paradoxalement, on ne peut pas nier l’existence de
véritables pierres d’attente chrétiennes, de valeurs évangéliques au moins sous la forme d’un vide ou d’une nostalgie. Il ne serait pas exagéré de parler d’un puissant et tragique appel à être
évangélisé.
56. Les Chrétiens non-pratiquants. Aujourd’hui un grand nombre de baptisés qui, dans une large mesure, n’ont pas renié formellement leur baptême mais sont entièrement en marge de lui, n’en vivent
pas.Aujourd'hui il y a un nombre très grand de gens baptisés qui n'ont pas renoncé pour la plupart cérémonieusement à leur Baptême mais qui sont entièrement indifférents à lui et ne vivre pas
conformément à lui.(...) Il s’explique souvent par les déracinements typiques de notre époque. Il naît aussi du fait que les chrétiens côtoient les non croyants et reçoivent constamment le
contrecoup de l’incroyance. D’ailleurs les non pratiquants contemporains, plus que ceux d’autrefois, cherchent à expliquer et justifier leur position au nom d’une religion intérieure, de
l’autonomie ou de l’authenticité. personnelles. (...) Athées et incroyants d’un côté, non pratiquants de l’autre, opposent donc à l’évangélisation des résistances non négligeables. Sécularisme
athée et absence de pratique religieuse se trouvent chez les adultes et chez les jeunes, chez l’élite et dans les masses, dans tous les secteurs culturels, dans les vieilles comme dans les jeunes
Eglises. L’action évangélisatrice de l’Eglise, qui ne peut pas ignorer ces deux mondes ni s’arrêter en face d’eux, doit chercher constamment les moyens et le langage adéquats pour leur proposer
ou leur reproposer la révélation de Dieu et la foi en Jésus-Christ.
57. Le devoir de l'Église. Comme le Christ durant le temps de sa prédication, comme les Douze le matin de la Pentecôte, l’Église aussi voit devant elle une immense foule humaine qui a
besoin de l’Evangile et y a droit, puisque Dieu “ veut que tout homme soit sauvé et parvienne à la connaissance de la vérité ”.[79] [1 Tim 2:4]
58. Les communautés ecclésiales
de base. Le Synode s’est beaucoup occupé de ces petites communautés ou “ communautés de base ”, parce que dans l’Eglise d’aujourd’hui elles sont souvent mentionnées. Que sont-elles et pourquoi
seraient-elles destinataires spéciales d’évangélisation et en même temps évangélisatrices ? Dans certaines régions, elles surgissent et se développent, sauf exception, à l’intérieur de l’Eglise,
en étant solidaires de sa vie, nourries de son enseignement, attachées à ses pasteurs. Dans ces cas-là, elles naissent du besoin de vivre plus intensément encore la vie de l’Eglise ; ou du désir
et de la recherche d’une dimension plus humaine, que des communautés ecclésiales plus grandes peuvent difficilement offrir, surtout dans les métropoles urbaines contemporaines favorisant à la
fois la vie de masse et l’anonymat. Elles peuvent tout simplement prolonger à leur façon au niveau spirituel et religieux — culte, approfondissement de la foi, charité fraternelle, prière,
communion avec les Pasteurs — la petite communauté sociologique, village ou autre. Ou bien encore elles veulent rassembler pour l’écoute et la méditation de la Parole, pour les sacrements et le
lien de l’Agapè, des groupes que l’âge, la culture, l’état civil ou la situation sociale rendent homogènes — couples, jeunes, professionnels, etc. — ; des personnes que la vie trouve déjà réunies
dans les combats pour la justice, pour l’aide fraternelle aux pauvres, pour la promotion humaine, etc. Ou bien enfin elles réunissent les chrétiens là où la pénurie de prêtres ne favorise pas la
vie normale d’une communauté paroissiale. Tout cela est supposé à l’intérieur des communautés constituées de l’Eglise, surtout des Eglises particulières et des paroisses.
Dans d’autres régions, au contraire, des communautés de base s’assemblent dans un esprit de critique acerbe de l’Eglise qu’elles stigmatisent volontiers comme “ institutionnelle ” et à laquelle
elles s’opposent comme des communautés charismatiques, libres de structures, inspirées seulement par l’Evangile. Elles ont donc comme caractéristique une évidente attitude de blâme et de refus à
l’égard des expressions de l’Eglise : sa hiérarchie, ses signes. Elles contestent radicalement cette Eglise. Dans cette ligne, leur inspiration principale devient très vite idéologique, et il est
rare qu’elles ne soient pas assez tôt la proie d’une option politique, d’un courant, puis d’un système, voire d’un parti, avec tout le risque que cela comporte d’en devenir l’instrument. Elles ne
pourraient pas, sans abus de langage, s’intituler communautés ecclésiales de base, même si elles ont la prétention de persévérer dans l’unité de l’Eglise tout en étant hostiles à la Hiérarchie.
Cette qualification appartient aux autres, à celles qui se réunissent en Eglise pour s’unir à l’Eglise et pour faire croître l’Eglise. Ces dernières communautés seront un lieu d’évangélisation,
au bénéfice des communautés plus vastes, spécialement des Eglises particulières et elles seront une espérance pour l’Eglise universelle, comme Nous l’avons dit au terme du Synode, dans la mesure
où:
— elles cherchent leur aliment dans la Parole de Dieu et ne se laissent pas emprisonner par la polarisation politique ou par les idéologies à la mode, prêtes à exploiter leur immense potentiel
humain:
— elles évitent la tentation toujours menaçante de la contestation systématique et de l’esprit hypercritique, sous prétexte d’authenticité et d’esprit de collaboration ;
— elles restent fermement attachées à l’Eglise locale dans laquelle elles s’insèrent, et à l’Eglise universelle, évitant ainsi le danger — trop réel — de s’isoler en elles-mêmes, puis de se
croire l’unique authentique Église du Christ, et donc d’anathématiser les autres communautés ecclésiales ;
— elles gardent une sincère communion avec les Pasteurs que le Seigneur donne à son Eglise et avec le Magistère que l’Esprit du Christ leur a confié ;
— elles ne se prennent jamais pour l’unique destinataire ou l’unique agent d’évangélisation — voire l’unique dépositaire de l’Evangile !
—; mais, conscientes que l’Eglise est beaucoup plus vaste et diversifiée, elles acceptent que cette Eglise s’incarne autrement qu’à travers elles ;
— elles croissent chaque jour en conscience, zèle, engagement et rayonnement missionnaire ;
— elles se montrent en tout universalistes et jamais sectaires.
Questions pour réflexion et discussion en Fraternité
1. Quelle est la différence entre "sécularisme" et "sécularisation?"
2. Comment comprenez-vous le mot "séculier" dans le nom de notre Ordre franciscain séculier?
3. Comment les "petites communautés" peuvent elles aider à l'évangélisation?
4. En quoi les Fraternités franciscaines séculières sont elles semblables ou différentes des "petites communautés?"
SECTION II: SPIRITUALITÉ ET DOCTRINE SOCIALE DE L'ÉGLISE
Sujet 7 de 9: Saint Luc, l'évangéliste
Pour les Franciscains séculiers, la célébration de la fête de saint Luc évangéliste (le 18 octobre) aura cette année une saveur spéciale : le thème du Chapitre, qui se tient ce mois çi au Brésil
est en effet "être évangélisé pour évangéliser". En préparation de cette célébration, le programme de formation continue organisé par le CIOFS avait repris ce théme, déjà proposé à l'Eglise tout
entière par le Bienheureux Jean-Paul II demandant de prendre part à une nouvelle évangelisation. Mais comment saint Luc peut-il nous aider à célébrer ce Chapitre en répondant à l'invite du
Saint-Esprit : renouveler notre mission d'évangéliser le monde?
Nous avons de nos jours de
nombreuses études des textes de saint Luc (le troisième Évangile et les Actes des Apôtres), dans toutes les langues usitées de par le monde, textes qui peuvent nous aider comprendre et mieux
apprécier son travail. De plus, beaucoup d'éditions de la Bible contiennent des introductions à chacun de ses livres. Qu'il nous suffise donc pour le moment d'examiner les aspects de la vie et du
travail de Luc qui nous fortifient et nous encouragent à vivre en suivant l'Evangile. Nous appuyant ainsi sur le Nouveau Testament et la tradition de l'Église primitive, il nous sera possible de
mieux connaitre la vie et la personnalité de cet auteur chrétien. La tradition de l'Eglise (le Muratorian Cannon, saint Irénée, Eusèbe, Tertullien, etc.) ont toujours identifié Luc comme étant le
médecin mentionné par Paul dans Col 4:14 et l'un de ses collaborateurs mentionné dans Phlm 24. Luc fut le disciple et compagnon de Paul dans ses voyages apostoliques, dès son second voyage
missionnaire. Sa collaboration active et discrète est notée dans les Actes 16:10-17; 20:5-15; 21:1-18; 27:1-28:16. Le Prologue Anti-Marcionite (datant probablement du IV siècle) résume sa vie
comme suit: Luc est un Syrien d'Antioche, syrien de race et médecin de profession. Il est devenu disciple des apôtres et a suivi Paul jusqu'à son martyre. Il servit le Seigneur de façon continue
et, resté célibataire et rempli de l'Esprit Saint, il mourut à l'âge de quatre-vingt quatre ans en Béotie. Nous basant sur cela et sur la note écrite par Paul au cours de son
difficile voyage à Rome: "Luc est le seul resté avec moi" (2 Timothée 4:11), Luc apparaît comme le fidèle compagnon de Paul dans son ministère. et nous donne un modèle de fidélité au Seigneur et
à la mission de l'Eglise, en active collaboration avec l'Apôtre des Gentils.
Luc n'était ni l'un des apôtres, ni le témoin visuel des évènements de la vie de Jésus, de sa mort et de sa résurrection, mais il a décidé de rechercher les témoignages disponibles pour écrire un
récit ordonné des évènements comme il l'explique dans le prologue de son évangile: "Puisque d'autres ont entrepris de relater les évènements ayant eu lieu parmi nous, conformément à ce que nous
ont raconté ceux qui en furent dès le commencement les témoins et qui sont depuis devenus les serviteurs de la Parole, j'ai de même estimé bon, après m'être très précisément informé depuis
l'origine, de tout consigner par écrit à ton intention avec rigueur et méthode, très cher Théophile, afin que tu mesures pleinement la validité de l'enseignement que tu as reçu". (Lc 1:1-4). Luc
agit à certains égards en historien mais principalement en théologien du plan de Dieu, le salut pour tous les peuples, comme révélé en Jésus Christ. C'est un helléniste cultivé chargé de
transmettre le message chrétien à ses compagnons hellènes qui viennent du monde païen, inculturant le message avec autorité. Il connait bien la version grecque de la Bible et le monde juif.
Ecrivain grec accompli il sait être fidèle à ses sources qu'il utilise avec créativité et grande originalité. Il écrit le troisième Évangile très probablement entre les années 75 et 85, dans un
environnement hellénique, puis vers 90 les Actes des Apôtres. Cet auteur inspiré présente le ministère prophétique de Jésus comme un long voyage vers Jérusalem et la mission de l'Église comme un
voyage vers les fins du monde et les Gentils.
Comme saint Luc, nous avons aussi reçu dans l'Église une riche tradition que nous devons étudier, méditer et rendre vivante, la partageant avec les nouvelles générations et les nouvelles
cultures. Nous sommes aussi appelés à être fidèles et créatifs dans la transmission du message du plan de Dieu -le salut pour toute l'humanité- d'une manière qui puisse toucher vraiment la vie de
nos contemporains. Le salut est toujours le don de Dieu à un monde déchiré de plus en plus par les disparités sociales et la fragmentation, les d'idéologies et le terrorisme, le trafic d'êtres
humains et les migrations forcées, le matérialisme et l'oppression politique, le chômage et les maladies phisiques, mentales et spirituelles, etc.. Pour le bien de notre mission évangélisatrice,
apprenons de Luc sa sensibilité à la pitié et au pardon de Dieu, à la pauvreté, au détachement des biens, à un attachement total au Christ, à la prière, à la puissance et la présence directrice
du Saint-Esprit, au rôle des femmes dans la vie du Christ et dans l'Église, à la joie du salut de Dieu, etc.
Le Franciscain séculier, engagé à suivre les exemples et les enseignements du Christ, doit étudier personnellement et assidûment l'Evangile et la Sainte Ecriture. La Fraternité et ses
responsables favorisent l'amour de la Parole évangélique et aident les frères à la connaître et la comprendre comme elle est annoncée par l'Eglise avec l'aide de l'Esprit Saint. (Const 9, 2)
Service à l'économie - (Compendium de la doctrine sociale de l'Eglise (563-564)
La section du Compendium que nous vous
présentons ce mois fait, sous le titre "le service à l'économie" directement référence aux principes de la doctrine sociale de l'Eglise (Cf. les chapitres trois et quatre du Compendium, n.
105-208), que nous avons examinés en ce programme l'an dernier (Programme de formation continue du CIOFS Mai à décembre2010) http://www.ciofs.org/ratio/2010/FRPGM.htm, et qui insiste sur la
reconnaissance de la position centrale de la personne humaine en tant que guide indispensable de la participation des laïcs dans la complexité de l'arène économique. Il serait opportun de
réfléchir aux modèles de développement économique et social dans le contexte de l'actuelle crise financière mondiale, crise qui affecte la grande majorité de nos frères et sœurs alors que la
globalisation et la technologie ont échoué dans l'apport d'un plus grand sens d'égalité, de justice et de paix pour tous. Les conséquences de structures économiques, sociales et culturelles
inadaptées sont clairement apparentes dans la vie des membres de notre communauté franciscaine et affectent le fonctionnement de l'Ordre à tous les niveaux. Le Compendium appelle les économistes
et les dirigeants politiques à re-penser l'économie et l'harmoniser efficacement par la politique et la justice sociale. Il rappelle aussi aux organisations syndicales, aux dirigeants
d'entreprises et aux économistes d'inspiration chrétienne leur rôle particulier dans la réforme du système économique. Les principes du Compendium et les réflexions sur l'économie nous
imposent un engagement actif en tant que témoins du royaume de Dieu dans les réalités temporelles. Sans cet engagement actif, informé et soutenu de la société civile, les Etats et le Marché ne
pourront répondre à la demande d'un développement réel. Si nous autres chrétiens somme vraiment la lumière du monde et le sel de la terre, nous devons ensemencer les structures économiques,
sociales et culturelles; nous avons les valeurs et les ressources spirituelles pour les évangéliser en utilisant nos diverse activités et compétences.
563 Face à la complexité du contexte économique contemporain, le fidèle laïc se fera guider dans son action par les principes du Magistère social. Il est nécessaire qu'ils soient connus et
accueillis dans l'activité économique elle-même: quand ces principes ne sont pas respectés, surtout le caractère central de la personne humaine, la qualité de l'activité économique est
compromise.1179 [Cf. Congrégation pour la doctrine de la foi, note sur certaines questions concernant la participation des catholiques à la vie politique (24 November 2002), 3: Librérie Vaticane,
2002 p.8).L'engagement du chrétien se traduira aussi par un effort de réflexion culturelle tendant surtout à un discernement sur les modèles actuels de développement économique et social. Réduire
la question du développement à un problème exclusivement technique équivaudrait à le vider de son véritable contenu, qui concerne, en revanche, « la dignité de l'homme et des peuples ».
(Jean-Paul II, Encyclique Solicitudo Rey Socialis, 41 AAS 80, 1988. 570)
564 Les spécialistes de la science économique, les agents de ce secteur et les responsables politiques doivent ressentir l'urgence de repenser l'économie, en considérant, d'une part, la pauvreté
matérielle dramatique de milliards de personnes et, d'autre part, le fait que « les structures économiques, sociales et culturelles d'aujourd'hui ont du mal à prendre en compte les exigences d'un
développement authentique ».(Jean-Paul II, Message pour la journée de la Paix de l'an 2.000 (14 AAS 92),366) Les exigences légitimes de l'efficacité économique devront être mieux harmonisées avec
celles de la 5participation politique et de la justice sociale. Concrètement, cela signifie imprégner de solidarité les réseaux des interdépendances économiques, politiques et sociales, que
tendent à accroître les processus de mondialisation en cours.(id.,17 AAS 92(2000) 367-368) Dans cet effort de renouveau, qui se présente de façon articulée et est destiné à influencer les
conceptions de la réalité économique, les associations d'inspiration chrétienne qui agissent dans le domaine économique se révèlent précieuses: associations de travailleurs, d'entrepreneurs et
d'économistes.
Questions pour la réflexion et discussion en Fraternité.
1 Comment pouvons-nous prendre exemple sur saint Luc dans son ardeur à connaître l'évangile de Jésus Christ et le partager avec notre monde?
2 Comment notre Fraternité peut-elle implanter le levain de l'évangile dans la vie économique, de façon active et efficace?
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Source http://www.ciofs.org/
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