• Nuit des témoins 2022 – trois témoignages de chrétiens persécutés - AED

    Des milliers de personnes ont assisté physiquement ou virtuellement à La Nuit des Témoins, une série d’événements sous ce nom organisés par l’œuvre pontificale de charité internationale Aide à l’Église en Détresse (AED) du 22 au 28 janvier 2022, et ce, dans toute la France.

    Birmanie : 35 chrétiens brûlés vifs le 24 décembre 2021.

    Lors de ces veillées, les portraits de 13 martyrs assassinés à cause de leur foi en 2021 ont été portés en procession jusqu’aux autels des cathédrales et basiliques qui accueillaient La Nuit des Témoins à Marseille, Albi, Cambrai, Chartres et Paris. Quatre d’entre eux venaient du Nigeria, l’un des pays le plus dangereux pour les chrétiens.

    Au cours de cette 13e édition de La Nuit des Témoins, des invités du Nigeria, d’Arménie et du Sri Lanka ont témoigné avec force et courage de ce que vivent les chrétiens dans leur pays.

    Au Nigeria martyrisé par la guerre civile, des attaques djihadistes ciblent spécifiquement les chrétiens. Mgr Doeme est l’évêque de Maiduguri, la « capitale » de la secte islamiste Boko Haram. Son témoignage d’espérance a fortement touché l’assemblée : « Les coups de feu et les bombes n’empêchent pas notre peuple de toujours aller à la messe avec la même ferveur. Les terroristes peuvent tout détruire chez nous, mais ils ne peuvent pas détruire une chose : notre foi. En effet, notre peuple est audacieux, courageux et fait preuve d’une forte détermination à servir son Dieu malgré les obstacles. »

    En Arménie, dans la région montagneuse de l’Artsakh (Haut-Karabagh), la population majoritairement arménienne et chrétienne a vécu une terrible humiliation lors des 44 jours de guerre fin 2020 qui ont opposé la République autoproclamée d’Artsakh à l’armée azerbaïdjanaise. Sœur Haguinta Marudian, religieuse de la communauté arménienne de l’Immaculée Conception, témoigne : « La guerre d’Artsakh a été une source de grande douleur. Dans notre chapelle, on n’entendait que les bourdonnements des grains du chapelet qui glissaient entre les petits doigts innocents des enfants, avec leurs larmes silencieuses qui coulaient (…) Après le cessez-le-feu, plusieurs familles sont retournées en Artsakh, mais bien souvent, elles ont retrouvé leur logement délabré. » Pour lire la suite c'est ICI.

    source https://acn-canada.org/

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