« Dans les moments les plus sombres de notre histoire, le Seigneur se rend présent, ouvre des chemins, raffermit la foi découragée, soigne l’espérance blessée, réveille la charité endormie. » C’est le tweet publié par le pape François ce 19 février 2019.
Lors de la messe de la solennité du Christ Roi, le 24 novembre 2013, le pape avait souligné dans son homélie que « le Christ est le centre de l’histoire de l’humanité, et aussi le centre de l’histoire de tout homme. » : « C’est à lui que nous pouvons rapporter les joies et les espérances, les tristesses et les angoisses dont notre vie est tissée. Lorsque Jésus est au centre, même les moments les plus sombres de notre existence s’éclairent, et il nous donne l’espérance, comme cela arrive au bon larron dans l’Évangile d’aujourd’hui. »
« La promesse de Jésus au bon larron, avait-il ajouté, nous donne une grande espérance : elle nous dit que la grâce de Dieu est toujours plus abondante que la prière qui l’a demandée. Le Seigneur donne toujours plus, il est tellement généreux, il donne toujours plus que ce qui lui est demandé : tu lui demandes qu’il se rappelle de toi, et il t’emmène dans son Royaume ! Jésus est bien le centre de nos désirs de joie et de salut. »
Le pape François rappelle souvent que Dieu est le maître de l’histoire, comme dans son homélie du 18 décembre 2014, en la chapelle de la Maison Sainte-Marthe : « Faire l’histoire avec son peuple signifie pour Dieu marcher et mettre à l’épreuve ses élus… Dieu a toujours voulu nous sauver, notre salut n’est pas aseptisé, il est historique. Dieu a parcouru le chemin de l’histoire avec son peuple. Il n’y a pas de salut sans histoire. » Et « quand nous nous trompons, Dieu corrige l’histoire et Il nous fait avancer, plus loin, toujours en marchant à nos côtés ».