• Le texte franciscain du mois – 8 - Éditions franciscaines

    En collaborration avec les Editions franciscaines nous publierons Le texte franciscain du mois, nous sommes maintenant à jour dans la mise En Ligne de ces articles. Merci aux  Editions franciscaines de nous donner un apperçu du contenu du nouveau TOTUM.(le rédacteur  L'Auteur des articles

     

             Sigles bibliques                    
                 Mt = évangile selon Matthieu
                 Lc = évangile selon Luc
                 Jn = évangile selon Jean
                 IP = première lettre de Pierre

    Sigles franciscains

    1Reg = Règle non bullata (1221)
    2Reg = Règle bullata (1223)

    Test = Testament de François d'Assise
    2LFid = Lettre aux fidèles (version longue)

    LChe = Lettre aux chefs des peuples

    JG = Chronique de Jourdain de Giano

    LM = Legenda maior de Bonaventure

    TM = "Témoignages"

     

    Le texte franciscain du mois – octobre 2011
    (le précédent est celui de juin 2011)

     

    Le texte : saint François d’Assise, Règle non bullata (1221), chap. 16, 1-12

     Le Seigneur dit : Voici que, moi, je vous envoie comme des brebis au milieu des loups. Soyez donc prudents comme des serpents et simples comme des colombes[1]. Dès lors, si quiconque des frères, par inspiration divine, voulait aller parmi les Sarrasins et autres infidèles[2], qu’ils y aillent avec la licence de leur ministre et serviteur. Que le ministre leur donne la licence et ne s’oppose pas s’il voit qu’ils sont aptes à être envoyés ; car il sera tenu de rendre raison au Seigneur si, en cela ou en d’autres points, il procédait sans discernement. Les frères qui s’en vont peuvent vivre spirituellement parmi eux de deux manières. Une manière est de ne faire ni disputes ni querelles, mais d’être soumis à toute créature humaine à cause de Dieu[3] et de confesser qu’ils sont chrétiens. L’autre manière est, lorsqu’ils verraient que cela plaît au Seigneur, d’annoncer la parole de Dieu, pour que [les infidèles] croient en Dieu tout-puissant, Père et Fils et Esprit saint[4], le Créateur de toutes choses, le Fils rédempteur et sauveur, et pour qu’ils soient baptisés et deviennent chrétiens ; car à moins que quelqu’un ne soit rené de l’eau et de l’Esprit saint, il ne peut entrer dans le Royaume de Dieu[5]. Cela et d’autres choses qui plaisent au Seigneur, ils peuvent le dire à eux et à d’autres, car le Seigneur dit dans l’Évangile : Quiconque me confessera devant les hommes, je le confesserai moi aussi devant mon Père qui est dans les cieux[6]. Et : Qui aura rougi de moi et de mes paroles, le Fils de l’Homme rougira de lui quand il sera venu dans sa majesté, celle de son Père et celle des saints anges[7].

    Et que tous les frères, où qu’ils soient, se rappellent qu’ils se sont donnés et qu’ils ont abandonné leurs corps à notre Seigneur Jésus Christ. Et pour son amour ils doivent s’exposer aux ennemis, tant visibles qu’invisibles, car le Seigneur dit : « Qui aura perdu son âme à cause de moi la sauvera pour la vie éternelle[8]. Bienheureux ceux qui souffrent la persécution à cause de la justice, car le Royaume des cieux est à eux[9]. […]

    Traduction de J.-F. Godet-Calogeras in François d’Assise, Écrits, Vies,
    témoignages, J. Dalarun dir., Paris, 2010, vol. 1, p. 208-209

    © Éditions du Cerf / Éditions franciscaines, 2011

     [1] Mt 10, 16.
     [2] Au sens de non-chrétiens.
     [3] 1P 2, 13. Le texte grec original donne : « soyez soumis à toute institution humaine à cause du Seigneur », mais la traduction latine, seule accessible à François, a : « soyez soumis à toute créature humaine à cause de Dieu ».
     [4] La Trinité est le dogme chrétien le plus choquant pour les musulmans, qui y voient une forme de polythéisme.
     [5] Jn 3, 5.
     [6] Mt 10, 32.
     [7] Voir Lc 9, 26.
     [8] Voir Lc 9, 24 ; Mt 25, 46.
     [9] Mt 5, 10.
     
     
    Le contexte

    Au printemps 1209, François et ses onze premiers compagnons se rendent à Rome et obtiennent du pape Innocent III une confirmation orale de la forme de vie évangélique que François a fait « écrire en peu de mots et simplement[1] ». Les quelques passages des évangiles dont elle se compose constituent le noyau de la future Règle non bullata. Au cours des douze années qui suivent, lors des chapitres tenus tous les six mois puis tous les ans à la Portioncule, les frères analysent ensemble leur expérience et débattent des moyens de mieux observer leur « forme de vie ». Ce faisant, ils enrichissent progressivement le texte initial. Sans pouvoir en reconstituer exactement le contenu, nous savons que vers 1216, la « forme de vie » comporte déjà plusieurs pages. Après le retour d’Orient du petit Pauvre, durant l’été 1220, il est clair que la prodigieuse croissance de la Fraternité mineure exige qu’une règle religieuse en bonne et due forme soit soumise au Saint-Siège. Une ultime mise à jour du texte, qu’à la demande de François Césaire de Spire complète par de nouvelles citations évangéliques[2], donne la Règle non bullata telle que nous la connaissons. François et Élie, son vicaire, la présentent à la curie romaine en 1221 mais, comme elle ne répond pas aux critères canoniques en vigueur, cette dernière refuse de l’approuver – d’où l’appellation de « règle non bullée » conférée à cet écrit. Il faudra attendre le 29 novembre 1223 pour qu’un nouveau texte, la Règle bullata, qui reprend les intuitions majeures de la Règle de 1221 sous une forme plus juridique et en prenant acte de l’évolution de la vie et de l’apostolat des frères, soit officiellement approuvé par le pape Honorius III. On le voit, si François en est indiscutablement le grand artisan et l’auteur principal, la Règle non bullata est le fruit d’un travail collectif de relecture et de réflexion.

    Le chapitre 16 de la Règle non bullata est celui où l’empreinte personnelle de François est la plus forte. Il est manifestement inspiré par l’entrevue du petit Pauvre avec le sultan al-Malik al-Kâmil[3], en 1219, et le séjour qu’il a ensuite effectué dans le royaume latin de Syrie. Sa rencontre à Damiette, en pleine cinquième croisade, avec le souverain musulman, dont nous savons qu’il fut un prince généreux et éclairé, a convaincu François qu’il était possible pour ses frères de vivre pacifiquement en terre d’Islam, en témoignant de leur foi chrétienne. La manière de prier des musulmans a, en outre, vivement impressionné François, comme le prouve cette phrase de la Lettre aux chefs des peuples, inspirée de l’appel public des muezzins à la prière : « Et parmi le peuple qui vous a été confié, rendez au Seigneur un tel honneur que, chaque soir, il soit annoncé par un héraut ou par un autre signal que tout le peuple a à rendre louanges et grâces au Seigneur Dieu tout-puissant[4]. »

    Il convient, pour terminer, de signaler un événement contemporain du séjour de François en Orient, qui eut un fort retentissement dans la Fraternité mineure et l’ensemble du monde latin[5]. Il s’agit de la mort héroïque, mais contestable, des cinq premiers martyrs franciscains : Bérard, Pierre, Accursus, Adiutus et Otton, exécutés le 16 janvier 1220 à Marrakech. Ces frères sont allés au Maroc dans l’unique but de sacrifier leur vie pour le Christ et ont tout fait pour qu’il en aille ainsi. Méprisant l’avis des chrétiens résidant sur place, qui ont essayé de les dissuader et même de les séquestrer, ils sont entrés dans une mosquée un jour de prière et, sans aucun égard pour leur auditoire, ont dénoncé l’Islam et traité le prophète Muhammad d’imposteur. Arrêtés et emprisonnés, ils ont été soumis à divers supplices puis décapités. Au contraire de François, jamais Bérard et ses compagnons n’ont rencontré les musulmans, en qui ils n’ont rien vu d’autre que des ennemis et les instruments de leur mise à mort[6].

    © Éditions franciscaines, 2011

     [1] Test 15.
     [2] Voir JG 15.
     [3] Voir 1C 57 ; TM 3b, 4 et 8 ; LM IX, 8.
     [4] LChe 7.
     [5] Ainsi, c’est en assistant à l’arrivée à Coimbra des dépouilles de ces premiers frères martyrs que le jeune et brillant chanoine augustinien Antoine décide d’entrer dans l’Ordre mineur. Il sera canonisé en 1232, onze mois seulement après sa mort survenue à Padoue.
     [6] Dans Saint François et le sultan (Paris, Albin Michel, 2006, p. 101-108), Gwénolé Jeusset analyse en détail cet épisode et qualifie à juste titre la démarche de ces cinq frères de « suicide pour Dieu ».
     
     

    Le commentaire

    Comment un frère se rend-il en mission « parmi les Sarrasins et autres infidèles » ? Deux facteurs entrent en jeu. Le premier est d’ordre purement personnel : l’intéressé éprouve librement le désir de se rendre dans un pays musulman, ou autre, pour y vivre la forme de vie évangélique et y témoigner du Christ. Le second facteur consiste en l’exercice d’une fonction d’autorité : le ministre est chargé de discerner si ce désir relève bien d’une inspiration divine, autrement dit si le frère est vraiment apte à être envoyé. Si oui, le ministre est tenu de donner sa licence, c’est-à-dire son autorisation, au frère de partir, même s’il avait d’autres projets à son sujet. Si non, le ministre doit interdire au frère de s’en aller. L’expression « ministre et serviteur » employée par François est très forte car, en latin, le terme « minister » signifie déjà « serviteur », « domestique », et le petit Pauvre tient à lui accoler un mot ayant un sens encore plus puissant : « servus », qui signifie « serviteur » mais aussi « esclave ». Comme il a été dit dans le TFM de janvier 2011, François conçoit l’exercice du gouvernement et de l’autorité exclusivement en termes de service. À ses yeux, la tâche principale d’un ministre n’est pas de commander, même s’il lui faut donner des ordres, mais d’être un serviteur et de se mettre à l’écoute de l’Esprit Saint, qui est à l’œuvre dans le cœur des frères. C’est pourquoi, plus encore que les sujets, les ministres doivent renoncer à leur volonté propre. Donner ainsi la place centrale à l’Esprit Saint, c’est considérer l’appel missionnaire sous l’angle de la liberté. De fait, François ne contraint jamais aucun frère à aller implanter la Fraternité mineure dans une nouvelle contrée et n’accepte que des volontaires[1]. Mieux : Jourdain de Giano rapporte que, lors du chapitre de 1221, frère Élie – homme autoritaire s’il en fut – refuse de décider à sa place s’il doit partir ou non en Allemagne et lui répond magnifiquement : « Je t’ordonne, frère, par la sainte obéissance, de décider finalement si tu veux y aller ou y renoncer[2]. »

    « Les frères qui s’en vont peuvent vivre spirituellement parmi eux de deux manières » : François ne pense pas la mission comme une forme d’agir, mais comme un mode d’être. Plus précisément, vivre spirituellement signifie, pour lui, vivre sous la conduite de l’Esprit Saint. Cela est possible de deux manières, qui sont toutes deux légitimes mais ne se situent pas sur le même plan. La première est de mener une existence pacifique – « ne faire ni disputes ni querelles » – et mineure – « être soumis à toute créature humaine à cause de Dieu » –, en confessant sa foi chrétienne. Cette attitude, nullement facultative mais obligatoire, s’impose inconditionnellement dans toutes les situations. Il est très intéressant de constater qu’elle s’identifie à la pratique de la forme de vie évangélique professée par les Frères mineurs. En effet, la minorité, qui consiste à n’exercer aucun pouvoir ni domination sur quiconque et à se faire le serviteur de tous[3], constitue le cœur et est, en quelque sorte, le condensé de la Règle franciscaine. Ainsi donc, la première forme d’apostolat missionnaire envisagée par François revient simplement à vivre la vocation de Frère mineur dans les pays non chrétiens. Il faut souligner le caractère inouï et scandaleux, pour l’époque, de l’idée qu’en terre d’Islam, les frères doivent « être soumis à toute créature humaine à cause de Dieu ». Lorsque François dicte ces lignes, musulmans et chrétiens sont en guerre depuis cinq siècles, de nombreux théologiens tiennent l’Islam pour une œuvre satanique et la grande majorité d’entre eux préconisent l’emploi de la violence pour venir à bout de ces « infidèles ». Or non seulement François respecte la liberté personnelle des musulmans mais, en demandant à ses frères de se comporter envers eux exactement comme envers les chrétiens, il suppose que l’Esprit Saint agit aussi dans leurs cœurs. Une telle attitude permet, seule, de rencontrer l’autre en vérité.

    La deuxième façon de vivre spirituellement parmi les Sarrasins et autres infidèles est « d’annoncer la parole de Dieu », pour qu’ils croient « en Dieu tout-puissant, Père et Fils et Esprit saint » et « soient baptisés ». À l’inverse de la première, qui est inconditionnelle, cette seconde forme d’apostolat requiert un discernement préalable. On ne doit la pratiquer que si l’on voit qu’elle plaît au Seigneur, c’est-à-dire si les circonstances s’y prêtent et qu’elle a une chance, même minime, d’être efficace. Quand elle peut être exercée, elle est cependant tout aussi obligatoire que la première car elle répond à une exigence de vérité et de salut (« à moins d’être rené de l’eau et de l’Esprit saint, nul ne peut entrer dans le Royaume de Dieu ») et le chrétien a le devoir de « confesser le Christ » et son Père « devant les hommes ».

    Il importe de saisir que, loin de s’exclure l’une l’autre, ces deux formes d’apostolat sont complémentaires et que la première constitue le socle, ou le fondement, de la seconde. Toutes deux procèdent d’une même attitude intérieure de la part des frères envoyés en mission, qui consiste à ne plus s’appartenir soi-même et à risquer sa vie par amour pour le Christ : « Et que tous les frères, où qu’ils soient, se rappellent qu’ils se sont donnés et qu’ils ont abandonné leurs corps à notre Seigneur Jésus Christ. Et pour son amour ils doivent s’exposer aux ennemis, tant visibles qu’invisibles… » Ce qui compte, pour François, n’est pas tant de mourir pour le Christ que d’obéir pleinement et jusqu’au bout à l’Esprit Saint, quitte à sacrifier sa vie le cas échéant. En dépit de leur foi et de leur courage, Bérard et ses compagnons sont aux antipodes des leçons du chapitre 16 de la Règle non bullata, dans la mesure où à aucun moment ces frères ne se sont dépossédés de leur volonté propre et qu’ils n’ont pas eu le souci de la liberté et du salut des musulmans. Une tradition tardive veut qu’en entendant le récit de leur martyre, François se soit écrié : « En vérité, je puis dire à présent que j’ai cinq vrais frères mineurs. », mais elle est extrêmement douteuse. En revanche, la Chronique de Jourdain de Giano contient le passage suivant :

    Quand on rapporta le martyre, la vie et la Légende desdits frères au bienheureux François, il entendit qu’on y faisait son éloge et vit que les frères tiraient gloire de la passion des autres ; comme il avait le plus grand mépris pour lui-même et qu’il dédaignait les louanges et la gloire, il repoussa la Légende et interdit de la lire en disant :  « Que chacun soit glorifié par sa propre passion et non par celle des autres ! »[4]

    Ces paroles sont typiques de François, qui rejette catégoriquement l’appropriation par les frères de quelque bien que ce soit, y compris leurs bonnes œuvres. Certains spécialistes pensent, toutefois, que cette réaction a également pour motif son désaveu du comportement des cinq martyrs, héroïque mais si contraire à la minorité[5]. L’approche, si remarquable et novatrice, qu’avait François du monde musulman et de la mission ad extra n’a guère été comprise par les autres Frères mineurs, comme en témoigne l’abandon de la description des deux manières de « vivre spirituellement parmi les Sarrasins et autres infidèles » au chapitre 12 de la Règle bullata, qui ne traite plus que des modalités de l’envoi des frères en mission[6].

    © Éditions franciscaines, 2011

     [1] Voir, par exemple, JG 17.
     [2] JG 18. C’est seulement sur les instances de Jourdain, qui ne parvient pas à prendre de décision, qu’Élie lui ordonnera de se rendre en Allemagne.
     [3] Voir 1Reg 5, 9-12 et 2LFid 47, ainsi que le TFM de mai 2011.
     [4] JG 8 ; traduction d’I. Heullant-Donat in François d’Assise, Écrits, Vies, témoignages, vol. 2, p. 2041.
     [5] Voir G. Jeusset, op. cit., p. 106.
     [6] Voir 2Reg 12, 1-2.
     

    Pour nous, aujourd’hui

    Ce texte nous renvoie plusieurs questions. La première d’entre elles est : dans quelle mesure notre relation à Jésus Christ nourrit-elle notre vie et jusqu’à quel point avons-nous voué notre existence au service de Dieu, son Père ?

    Cette question en entraîne une autre : avons-nous le désir passionné de faire découvrir le Christ et la foi chrétienne à nos contemporains ? C’est une grande joie et une aventure à vivre que de rencontrer personnellement le Christ, mais la portée de cette deuxième question excède la seule dimension individuelle. Elle comporte aussi une importante dimension sociale en une époque marquée, chez beaucoup de gens, par l’absence de signification de l’existence, la perte des racines et la dégradation, très dommageable pour la société, du sens du bien commun et du sentiment d’appartenance à une même communauté humaine.

    Enfin, dans tous les domaines de notre vie quotidienne, avons-nous, comme François, un authentique respect de l’autre et de sa culture ou bien, comme Bérard et ses compagnons, cherchons-nous à l’utiliser pour atteindre nos propres objectifs, aussi bons et exaltants soient-ils ? Le philosophe Emmanuel Kant, qui était croyant, a superbement énoncé cette exigence sous forme d’un impératif célèbre : « Agis de telle sorte que tu traites l’humanité, aussi bien dans ta personne que dans la personne de tout autre, toujours en même temps comme une fin, et jamais simplement comme un moyen[1]. »

     © Éditions franciscaines, 2011

     [1] E. Kant, Fondements de la métaphysique des mœurs, section II.

     


     

     

    Si vous le désirez, vous pouvez poser une question au rédacteur de ce dossier
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    « Le texte franciscain du mois »)

    le prochain en novembre

     



     

     

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        Tous les documents d'origine, composés dans les cent années qui ont suivi leur mort, traduits et commentés par des historiens spécialistes du Moyen Age, documents qui forment les sources de toute la connaissance de ces deux grands saints.

        Des études originales sur les figures marquantes de la tradition franciscaine : saint Antoine de Padoue, saint Bonaventure, le bienheureux Jean Duns Scot et d'autres...

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    Source

    « Homélie du 29ème dimanche du temps ordinaire - 16 oct. 2011Y-A-T-IL UNE VIE AVANT LA MORT ? art 55 - Suzanne »

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