• Ils regardent les autres partir.

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    Ils regardent les autres partir pour des rivages qu'ils ne connaîtront point. Les mois défilent comme d'immondes secondes interminables. Ils ont travaillés toute leur vie pour en arriver là. Ne jamais partir ou attendre le départ définitif sans broncher. Peu importe, les voisins leurs raconteront bien leurs vacances tel un film inédit. Ils voyageront dans leur imaginaire et s'inventeront des paysages magiques. Même s'ils ont les moyens, leur santé ne permet plus qu'ils bougent. Les enfants sont partis, les commerçants aussi dans ce désert caniculaire. Ils ne parlent qu'au silence qui semble ne rien comprendre.

     

     

    Et puis, ils se taisent vaincus par tant d'indifférences. Pourvu que le soleil ne soit pas trop ardent, il risquerait en plus de leur donner un aller sans retour. Il dérangerait la Famille si joviale de prendre un repos bien mérité... Ils attendent leurs cartes postales qui les feront rêver, quelques instants. Parfois, ils se sentent de trop en cette société individualiste. Ils ont lu dans le journal que des amis étaient morts lors, d'un certain été. Maintenant, même le facteur prend de leurs nouvelles quand ils ont du courrier.

     

     

    Malheureusement, en cette période particulière, les lettres se font rares. Autrefois, trop pauvres pour vivre des jours heureux. Aujourd'hui, trop vieux pour s'en aller vers des rivages mystérieux. Quel dilemme leur offre cette existence. Et pourtant, leurs enfants et amis, les aiment mais ces mois sont vides de leurs présences. Les journaux écrivent que l'égoïsme tue les personnes âgées. Les journalistes mentent toujours, c'est bien connu. Les enfants et petits enfants les aiment mais, ils ont leur vie. Comme nous avons eu la nôtre. Alors, que faire face au néant ? Retrouver plus intensément encore celui qui nous aime plus que tout. Oui, prier Dieu pour vivre nos Vacances avec Lui. Dans le coeur de Sa Présence. Ah ! comme nous plaignons ses générations sans spiritualité. Nous serons tellement dans la joie de l'Esprit que nos enfants nous trouverons transfigurés.

     

     

    Non, la solitude n'est pas si lourde, lorsqu'elle est habitée. Bonnes et mirifiques Vacances à Tous et Toutes. Dieu en Son suprême Amour est à nos côtés. Quand vous rentrerez, notre sourire sera l'expression du bonheur de nous sentir aimés inconditionnellement. Alors, partez tranquilles et de simples gestes de tendresse nous feront plaisir. En attendant votre retour...

     

     

    Bruno LEROY.

    source http://brunoleroyeducateur-ecrivain.hautetfort.com/

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  • Homélie du 19ème dimanche

    Abbé Jean Compazieu

    Le Pain de Vie


    Eucharistie Textes bibliques : Lire


    La première lecture nous a rappelé un moment important de la vie du prophète Elie. Quand nous lisons l’ensemble de son histoire dans la Bible, nous découvrons en lui un homme courageux et même téméraire. Son grand souci c’était de ramener le peuple d’Israël à la fidélité au seul vrai Dieu. Pour lui, c’était comme une passion dévorante. Toute sa vie est devenue une lutte contre les faux dieux. Se sentant menacé, il a dû s’enfuir. Dans la lecture de ce dimanche, nous le voyons abattu par une profonde dépression. Mais Dieu n’abandonne jamais les siens. Il envoie à Elie le pain qui lui donnera des forces pour continuer son exode.

     

    La bonne nouvelle de ce dimanche, c’est que Dieu continue à faire de même pour nous : il nous donne le pain dont nous avons besoin pour notre route. Ce pain, c’est parfois une bonne parole, un message, une parole d’Evangile qui nous parle, une rencontre… Dieu met toujours sur notre route les personnes ou les signes qui nous aident à avancer. Mais le vrai pain pour la route nous le trouvons surtout dans l’assemblée du dimanche. Le Christ est le pain de la route par sa parole et par son Eucharistie. Elie a marché 40 jours pour rencontrer Dieu. Ces quarante jours c’est le symbole de toute une vie. Nous chrétiens, nous avons besoin de cette nourriture que Dieu nous donne pour parcourir cet itinéraire.

    La deuxième lecture a également écrite en période de persécution. Quand Paul écrit sa lettre aux Ephésiens, il est prisonnier. Aux communautés qui souffrent de la persécution, il rappelle leur baptême. Il les invite à vivre dans l’amour et l’unité. Ce qui est important, c’est d’imiter Dieu. C’est en lui seul que nous trouvons notre joie et notre bonheur, même dans les moments les plus difficiles. Rejetons l’isolement qui fait mourir et recherchons la communion qui fait vivre. Si nous le suivons, il nous aidera à apprécier les choses simples de la vie.

    Saint Jean écrit également son évangile dans un contexte difficile. Au moment où il le rédige, il est très âgé. Il a longuement médité les paroles de Jésus. C’est le résultat de sa méditation que nous trouvons dans son évangile. Ce qui le fait le plus souffrir, c’est de voir la désaffection des communautés chrétiennes vis-à-vis de l’Eucharistie. Dans la lettre aux Hébreux, nous lisons : « Ne désertez pas vos assemblées comme quelques uns ont coutume de le faire » (Hébreux 10.25) Alors Jean rappelle avec force ce que Jésus avait dit autrefois : « Moi je suis le Pain qui est descendu du ciel. »

    Cet évangile est un appel à chercher Jésus. Il n’est pas seulement l’homme de Nazareth que tous connaissent. Il ne faut pas voir que son état civil. Le Christ se présente à tous comme « le pain descendu du ciel. » Il est le plus beau cadeau que Dieu ait pu faire à l’humanité. Jésus se donne pour que nous puissions vivre éternellement. C’est un cadeau imprévu et inattendu. Nous n’avons rien fait pour le mériter. Il s’agit d’un don gratuit de Dieu. Nous n’avons qu’à l’accueillir et cela suppose de notre part un acte de foi. Mais ce n’est pas si facile d’adhérer à ce message si déconcertant.

    C’est ainsi que Jésus nous révèle qui il est en vérité. Et cette révélation va provoquer une crise. Il y a ceux qui croient à cette annonce inouïe, et ceux qui n’y croient pas. Cet évangile nous rejoint dans nos doutes, nos questions. Aujourd’hui comme autrefois, beaucoup ne voient en Jésus que le côté humain et ils ont du mal a reconnaître sa divinité. Cet évangile voudrait nous inviter à sortir de nos certitudes et de ce que nous croyons savoir sur Jésus. Aujourd’hui, il se présente à nous comme « le pain du ciel » c’est-à-dire une nourriture pour notre route. Il nous dit qu’il faut le « manger ». Venir à lui, c’est croire à sa Parole, manger sa parole, l’accueillir en nous comme celui qui vient au plus intime de nous-mêmes de la part de Dieu.

    La foi implique donc un choix, un saut vers l’inconnu. Elle est un risque à prendre. Arrêtons de raisonner et de nous en tenir aux évidences. Aujourd’hui, le Christ nous appelle à une démarche de confiance. Nous avons à choisir entre la vie et la mort. Choisissons donc la vie qui vient de Dieu. Accueillons sa parole, même si elle vient nous bousculer. Chaque dimanche, le Seigneur vient nous rassembler pour nous nourrir de cette parole et de son Eucharistie. En nous rassemblant autour de lui, il nous invite à renouveler le choix de la confiance éperdue en ce Dieu amour.

    En accueillant cette nourriture que Dieu nous donne, nous pourrons continuer notre route avec plus de force et de courage. Mais si Dieu se donne à nous, c’est aussi pour nous renvoyer auprès de tous ceux que nous rencontrerons sur notre route. Toutes les semaines, l’actualité nous donne des nouvelles dramatiques. Ouvrons nos yeux, nos cœurs et nos mains à tous ceux et celles qui sont douloureusement éprouvés par la guerre, la maladie et les souffrances de toutes sortes. En venant nous nourrir du Corps et du Sang du Christ, nous nous engageons à être les témoins de l’espérance qui nous anime.

    Nous n’aurons jamais fini de découvrir et de redécouvrir la grandeur de l’Eucharistie. Depuis quelques années, nous constatons que les jeunes y sont les grands absents. Et pourtant, beaucoup disent qu’ils prient dans leur chambre. Mais ils ne savent pas que cette prière n’a de valeur que parce que le Christ la reprend à la messe. En effet, messe est la prière des prières parce que c’est la prière du Christ à notre place; la messe c’est Dieu qui vient à notre rencontre et qui nous attend. C’est un rendez-vous d’amour qui nous est offert à tous

    Alors oui, nous te prions, Seigneur, ouvre le cœur de tes enfants à celui que tu leur as donné comme « Pain vivant descendu du ciel ». Que grandisse en nous le désir de nous laisser attirer par toi. Amen

    Sources : Dimanche en Paroisse N° 364, Signes, Feu nouveau, l’Evangile au Présent (Denis Sonet)

     

    source http://dimancheprochain.org

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  • Jésus enseigne dans la synagogue à Nazareth (Mc 6, 1-6)

    Jesus enseigne temple

      La perle du jour

     

     

    avec Suzanne G Testut ofs

    en collaboration de

    RCF

    La Radio dans l'âme

     

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  • Le P. Lombardi invite à rejoindre les jeunes sur les réseaux sociaux
    Soulever des questions sur le sens de la vie

    Anne Kurian

    ROME, mardi 31 juillet 2012 (ZENIT.org) – Le P. Lombardi encourage à rejoindre les jeunes sur les réseaux sociaux, en tirant parti de « l’interactivité » de ces moyens de communication pour soulever des questions sur le sens de la vie.

    Le P. Federico Lombardi, s.j., directeur de la salle de presse du Saint-Siège, de Radio Vatican, et du Centre de télévision du Vatican, est intervenu dans le cadre du colloque international des jésuites sur l’instruction secondaire (ICJSE), à Boston, aux Etats-Unis, ce mardi 31 juillet 2012, en la fête de saint Ignace de Loyola.

    La rencontre a lieu du 29 juillet au 2 août 2012 et rassemble tous les responsables d’établissements secondaires jésuites du monde, pour la première fois de l’histoire. Le colloque a pour but de se confronter aux défis communs, et de réfléchir sur la mission et l’identité des jésuites, particulièrement dans le domaine de l’éducation.

    Le P. Lombardi est intervenu sur le thème « Rester fidèles à la mission des jésuites dans nos écoles ».

    Tirer parti de l’interactivité de la toile 

    Le directeur de Radio Vatican se préoccupe en particulier de la nécessité d’investir les nouvelles technologies de la communication : « les jeunes naissent, grandissent et vivent dans cette culture et les éducateurs doivent les y accompagner », déclare-t-il.

    C’est pourquoi il invite à ne pas « rejeter cette culture », mais à « chercher comment y vivre, exploitant ses potentiels positifs et évitant ses risques ».

    Le P. Lombardi met notamment en garde contre « la multiplication sans fin des contacts sur Internet » qui peut conduire « à l’illusion d’avoir de nombreux amis » alors que les relations y sont « souvent superficielles », ne conduisant pas « à un échange personnel d’expériences de vie, qui seul peut enrichir ».

    La mission de l’éducateur en ce sens est d’« éduquer à des relations humaines profondes et significatives », en faisant évoluer le jeune de simple « connexion », à l’expérience de « communion », qui est « amitié authentique, solidarité concrète ».

    En effet, « Internet bien utilisé offre d’importantes possibilités de dialogue entre des personnes de différents pays, cultures, religions et milieux », c’est donc « un espace pour former la compréhension et la tolérance », affirme le P. Lombardi.

    Le directeur de Radio Vatican suggère la mise en place d’un « réseau réel de relations » entre les écoles jésuites.

    Il aborde également la question de la formation à la vie intérieure, dans un monde où Internet semble « raréfier les moments de réflexion, contemplation et silence intérieur », et donc empêcher « les plus profondes questions sur le sens de la vie ».

    En réalité, il ne faut pas s’y arrêter : « Il n’est pas vrai que les personnes soient obligées de sauter continuellement d’une nouvelle à une autre sur Internet, ni qu’elles n’ont pas la possibilité de devenir plus profondément impliquées ».

    Au contraire, l’aspect « interactif » des communications sur la toile rejoint les exercices spirituels de saint Ignace, fait observer le P. Lombardi : les exercices ne sont pas en effet une « contemplation passive », ils sont « interactifs », ils obligent à « s’impliquer personnellement dans les épisodes de l’Evangile, à parler aux personnages, à réagir ».

    Pour le P. Lombardi, cet héritage qu’ont reçu les jésuites peut « aider à accompagner la "vie sur la toile" des jeunes d’aujourd’hui ».

    Le P. Lombardi donne également l’exemple d’une communauté de consacrés qui mettent en ligne des ressources pour « aider les jeunes à discerner et à réfléchir sur les questions liées au sens de la vie, sur la base d’expériences concrètes et de questions auxquelles ils font face tous les jours, de façon très informelle et pas du tout catéchétique ».

    Trois paroles de Benoît XVI

    La mission des jésuites fait partie de celle de l’Eglise, rappelle le porte-parole du Saint-Siège, évoquant trois thèmes incontournables dont parle fréquemment Benoît XVI.

    Le P. Lombardi mentionne d’abord la nécessité de la « nouvelle évangélisation » : il n’existe plus aujourd’hui de culture et de formation chrétiennes chez les jeunes, constate-t-il, surtout là où la sécularisation avance rapidement.

    Dans ce contexte, le service des jésuites peut « instiller les principes de la foi et de la vie chrétienne chez les jeunes », souligne-t-il.

    Le deuxième thème est « l’urgence de l’éducation », dans une société où les parents et éducateurs sont parfois découragés devant leurs difficultés, explique le P. Lombardi. En cause ? Le « relativisme », la mentalité qui « conduit les personnes à douter de la valeur de l’être humain, du sens de la vérité et du bien, et finalement de la bonté de la vie ».

    Il s’agit dans cette éducation de former des jeunes équilibrés entre « discipline et liberté ».

    Enfin, le troisième thème est l’alliance entre « foi et raison » : le pouvoir de la raison humaine a créé "l’illusion qu’il peut résoudre tous les problèmes tout seul, sans source de régulation".

    Il est « vital » d’aider à comprendre que « la foi chrétienne n’est pas l’adversaire de la raison », insiste le P. Lombardi, elle est « son amie et alliée ».

    La foi et la raison « ont besoin l’une de l’autre pour l’équilibre de l’être humain », poursuit-il. En cela, « le dialogue entre foi et sciences, foi et art, foi et culture » est un des grands impératifs de l’éducation.

    En conclusion, le P. Lombardi appelle à « travailler ensemble pour la mission » : « rien de cette mission n’est la propriété exclusive des jésuites, rien qui ne puisse être vécu et partagé par d’autres qui en sentiraient l’appel ».

    Le P. Lombardi confie par ailleurs qu’un des « plus beaux moments » de ces années passées auprès du pape, a été pour lui la connexion satellite entre Benoît XVI et 12 astronautes de la Station spatiale internationale en mai 2011 (cf. Zenit du 23 mai 2011).

    Source www.zenit.org

     

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  • L'espérance est capacité de vivre dans le temps, de vieillir et même de mourir sans nostalgie.

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    La vie dans l'alliance est une manière de marcher et de se frayer un chemin dans l'existence. Il est le chemin qui conduit à faire la vérité, à perdre sa vie et à la recevoir en retour comme lui-même a perdu la sienne et l'a reçue en retour luxueusement de son Père. La vie dans l'alliance imprime donc à l'existence un mouvement qui la porte constamment vers l'avant, de commencement en commencement, sans fixation ni nostalgie. Elle est donc passage, traversée, exode : travail de la vie à travers la mort, car il n'est pas de traversée sans abandon.

    Aussi bien la vie dans l'alliance permet-elle d'affronter la mort sans dépit car, il y a identité entre l'amour et le mystère pascal. Étant donné la charité, la mort n'est plus vécue comme ce qui entraîne à la désespérance, mais comme l'occasion de donner sa vie comme on l'a reçue, gratuitement, ou, en d'autres termes, de se rendre dans un geste d'abandon. L'espérance chrétienne est la capacité de vivre dans le temps, de vieillir et même de mourir sans nostalgie. Car le Dieu auquel on accorde sa Foi grâce au témoignage de ceux qui nous ont précédés est aussi le Dieu qui vient, que l'on cherche et que l'on attend ; Dieu vient aussi de l'avenir La Foi en Dieu qui aime et que l'on aime, est ainsi inséparable de l'espérance.

    Cette espérance est sans mesure. Car le monde qui vient, même si Jésus nous le laisse entrevoir dans ses paraboles du Royaume, excède toutes nos représentations. Le don de Dieu à venir dépasse tout ce que nous pouvons imaginer à partir de notre expérience présente. Aussi l'espérance est-elle l'acte même d'espérer sans autre assurance que la relation à Dieu qui donne la Vie et auquel on se rend sans réserve.

    Foi, espérance, charité sont les attitudes fondamentales qui articulent la vie des chrétiens, leurs relations à Dieu et aux autres hommes. Elles sont la marque de la nouvelle alliance au nom du Dieu de Jésus-Christ, instaurée le jour de la Pâque. Chacun et chacune s'y trouve convié gratuitement. La crucifixion du Christ est également cette puissante libération de l'esclavage de la peur de la mort que peuvent éprouver les hommes. Car la résurrection est la seule conclusion face au monde clos de notre finitude, elle ouvre la porte vers une vie nouvelle, une Alliance nouvelle, celle d'un amour vécu en actes au quotidien dans une Joie parfaite. La Joie des ressuscités en Christ et qui propagent à travers le monde cette conviction que même la mort n'a jamais le dernier mot, lorsque nous sommes des hommes d'espérance et de confiance en cette Pâque qui est la preuve que l'amour consiste à donner sa vie pour ceux qu'on aime car, l'amour bannit toutes craintes et nous rend audacieux par-delà la pure raison. Cette pseudo-raison qui masque subtilement la peur qui n'est que lâcheté de ne jamais risquer sa vie au nom d'un absolu.

    Bruno LEROY.

    source http://brunoleroyeducateur-ecrivain.hautetfort.com/

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