• La Famille franciscaine francophone du Canada

    en assemblée générale annuelle 

    Richard-Rene-arbre.JPG Le 20 septembre dernier, une cinquantaine de représentantes et Accueil représentants  de groupes membres de la famille franciscaine arrivaient à Loretteville au Centre de Spiritualité de Ursulines en jetant un coup d’œil sur l’arbre qu’ils et elles avaient planté l’année dernière à l’occasion de la célébration des 800 ans de la naissance du mouvement franciscain.

     

    La première journée, était consacrée à un ressourcement animé par des membres de la commission Justice, Paix et Intégrité de la Création et aussi par le personnel du SIAF. Articulé autour du thème « Devenir présence dérangeante », la contribution de sœur Éliza Fernandez a été remarquable de vitalité et de questionnement pour l’assemblée.

     

    AGA-animateur.JPG Par la suite, les rapports du Conseil exécutif, de la Commission Assemblee.JPG pastorale jeunesse et de la Commission Justice, Paix et Intégrité de la création ont souligné le travail et l’implication des membres dans la vie de la famille.  Il faut remarquer que  le défi et les difficultés d’intégrer la dimension de la justice dans l’animation de nos groupes respectifs demeurent constants et que les membres désirent poursuivre leur engagement à cet égard malgré les obstacles rencontrés.  Nous avons conclu cette deuxième journée par une soirée récréative animée tour à tour par plusieurs membres présents. Lise-H-fin-mandat.JPG AGA-mnda.JPG

    À la fin de l’assemblée, un nouvel exécutif a été élu : sœur Gilberte Vandale, ofsj, frère Marc Le Goanvec, ofm, Richard Chamberland, ofs, sœur Thérèse Rocheleau, pfm, sœur Ann Modrak, pfm et frère Louis Cinq-Mars, ofmcap.  Le Conseil d’administration a élu frère Marc Le Goanvec comme président de la famille.  Sœur Thérèse Rocheleau et le nouveau président ont remercié sœur Lise Hamel, mnda, qui avait assumé la présidence pendant deux ans et aussi sœur Isabelle Ravaoarisoa, pfm pour leur présence constante au Conseil exécutif du SIAF.

     

    Un article de Sœur Danielle Julien, fmic - extrait du Bulletin Écho de novembre de la Famille franciscaine du Québec.

     

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    Élizabeth

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      La perle du jour

     

     

    avec Suzanne G Testut ofs

    en collaboration de

    RCF

    La Radio dans l'âme

     

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  •                                                                                                              Le livre de Qohélet (4/5)
         
    Le travail et les biens matériels

    testamentIl y a un temps pour chaque chose, et chaque chose survient en son temps, écrit Qohélet. Notre philosophe identifient trois temps qui constituent la trame de fond de la destinée humaine : le travail, la vieillesse et la mort. Dans cette chronique, il sera question du travail et de son corollaire, l’usage des biens matériels. On trouve ces réflexions dans les passages suivants : 4, 4-16; 5, 9-19; 6, 7-12.
    Un temps pour planter et bâtir

        Les vieux mythes mésopotamiens concevaient le travail comme le service des dieux : pendant que les hommes travaillent, ils ne pensent pas à devenir comme eux. À l’inverse la tradition biblique considère le travail comme le moyen pour l’homme de collaborer à l’achèvement de la création. Le Seigneur Dieu n’avait-il pas confié à Adam la fonction de jardinier (Genèse 2, 8-24). On est porté à croire qu’Adam devait y trouver un plaisir fou, alors que Dieu paraît le seul à s’inquiéter de le voir tout faire, tout seul. D’où le besoin de lui donner une aide semblable à lui, qui s’est avérée sa compagne de vie plutôt qu’un aide-jardinier, quoiqu’ils aient dû jardiner ensemble. Dans les faits, il ne faut pas trop idéaliser le travail : dans la législation deutéronomique sur le sabbat, les six jours de travail sont assimilés au temps de la servitude en Égypte alors que le sabbat, jour chômé pour tous, est le mémorial hebdomadaire de la libération pascale (Deutéronome 5, 12-15).

        Si l’homme peut trouver du bonheur dans son travail, il court aussi le danger d’en devenir esclave. Certains propos de Qohélet ont des accents très modernes. Les rivalités liées au travail font penser à la concurrence et à la performance : J’ai vu aussi que toute la peine, tout le succès d’un travail, n’est que rivalité des uns contre les autres. C’est encore vanité et poursuite de vent (4, 4).

        Le travail est un don de Dieu qui permet à l’homme de trouver du bonheur et d’adoucir sa vie par une certaine aisance: Voilà donc ce que moi j’ai vu : c’est chose belle et bonne, pour l’homme de manger et de boire, de trouver son bonheur dans toute la peine qu’il se donne sous le soleil pendant les jours que Dieu lui accorde. Telle est la part qui lui revient. Si Dieu donne à quelqu’un biens et richesses avec pouvoir d’en profiter, d’en prendre sa part et de jouir ainsi de son travail, c’est là un don de Dieu. Il ne s’inquiète guère pour sa vie tant que Dieu emplit de joie son cœur (5, 17-19). Mais il y a une contrepartie. On peut se perdre dans le travail. Dans une autre réflexion, on dirait que Qohélet anticipe les «workaholiques» de la société contemporaine, attachés à leur portable, cellulaire et autres outils de travail qui les suivent partout : J’ai regardé encore et j’ai vu une autre vanité sous le soleil : voici un homme seul, sans personne, ni frère ni fils, qui travaille à n’en plus finir, toujours avide de plus de richesses. Il ne se demande pas : «Mais pour qui travailler ainsi en me privant de bonheur ?» C’est encore de la vanité, une besogne de malheur (4, 7-8). Le travail effréné peut devenir un esclavage et conduire l’homme à sa perte.

        Le travail amène Qohélet à réfléchir sur le rapport que l’être humain entretient avec les biens matériels. La richesse et la prospérité sont perçues dans la culture biblique proche orientale comme une bénédiction divine : Si Dieu donne à quelqu’un biens et richesses avec pouvoir d’en profiter, d’en prendre sa part et de jouir ainsi de son travail, c’est là un don de Dieu. Il ne s’inquiète guère pour sa vie tant que Dieu emplit de joie son cœur (5, 18-19). Mais elles peuvent provoquer l’effet contraire en détournant l’être humain du vrai sens de la vie, et de la perdre : Voici un triste cas que j’ai vu sous le soleil une fortune amassée pour le malheur de son maître. Il perd son avoir dans une mauvaise affaire, et quand lui naît un fils, celui-ci n’a rien en main. Sorti nu du sein de sa mère, il s’en ira comme il est venu. Il n’emportera rien de son travail, rien que sa main puisse tenir. C’est aussi une triste chose qu’il s’en aille comme il était venu. Qu’a-t-il gagné en peinant pour du vent ? Il ronge ses jours dans le noir, la tristesse profonde, la souffrance et l’irritation (5, 12-16). Comme on dit souvent, on n’a jamais vu un coffre-fort suivre un corbillard.

     http://www.interbible.org/interBible/images/collaborateurs/Yves_Guillemette.jpg

    www.interbible.org

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    Yves Guillemette, prêtre


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  • Un message extraordinaire de foi et de courage...Tony Melendez

     

    J'en dis pas plus... si vous le désirez laisser un commentaire sous l'article

     

    Source :sous-titres en francais. http://michaeljournal.ca

     

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    Tony.jpg


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        Voici une circulaire d'Encarnacion del Pozo, Ministre Général de l’OFS adressée en priorité aux membres des Conseils des Fraternités Nationales et JeFra en préparation du « XIIIème Chapitre général de l'Ordre Franciscain Séculier »- en faite cela nous préparera tous pour la suite, en nous y préparant déjà.

     

      sigle ciofs

     

    Circ. 16/08-14

    Prot. N. 2201/10

    Rome, le 6 juin 2010

    Solennité du Corps du Christ

     

    « Ma chair est une vraie nourriture

    et mon sang une vraie boisson ;

    qui mange ma chair et boit mon sang,

    demeure en moi et moi en lui. » (Jn 6, 56-57)

     

     

    Aux Conseils nationaux OFS et Jefra

    Aux Conseillers internationaux OFS et Jefra

     

     

    Chers frères et sœurs

    Que le Seigneur vous donne sa paix !

    Nous célébrons aujourd’hui le don de Jésus à la dernière Cène, le jour même de l'Eucharistie. C’est l’occasion de croire, d'aimer et d’adorer. C’est aussi l’occasion de mieux connaître la richesse de ce mystère de Jésus qui se fait pain vivant pour chacun et pour le pardon des péchés. Cela m’a semblé enfin une journée idéale pour annoncer la célébration du « XIIIème Chapitre général de l'Ordre Franciscain Séculier ».

    Il aura lieu à São Paolo, au Brésil, du 22 au 29 octobre 2011, dans le Centre Pastoral Santa . La Présidence du CIOFS a choisi cette proposition parmi toutes celles que nous avons reçues parce que ce sera la première fois qu'un Chapitre Général se tiendra en Amérique du Sud, où l'OFS représente plus du tiers des effectifs de notre Ordre et où
    la Jefra est également très nombreuse. J'espère que vous aimez tous l'idée de partager la vie avec nos frères et sœurs de ce beau continent bien éprouvé..

    A titre indicatif, je vous informe que le thème du Chapitre sera : « Evangélisés pour évangéliser » avec une introduction générale sur le sujet et les sous- thèmes suivants :
    ▪ Une v
    ocation spécifique pour une mission particulière.
    Ouvriers d'un monde fraternel et évangélique. (Artisans de paix et de réconciliation).
    Par la suite, après la prochaine réunion de la présidence où le thème du Chapitre sera approfondi, nous pourrons vous donner des informations plus précises,.

    Je vous informe déjà que l'année prochaine, la formation offerte sur le site Web sera consacrée au sujet du Chapitre. Ainsi tout l'Ordre pourra être sensibilisé au sujet et l’approfondir. Cela nous permettra de nous approprier de façon responsable les orientations qui sortiront de ce Chapitre avec la volonté de les mettre en pratique.

     

    Dès maintenant, je vous invite à prendre les mesures nécessaires pour participer à ce Chapitre, auquel seront officiellement invités les Conseillers internationaux de l'OFS et de la Jeunesse Franciscaine. Nous envisagerons la présence de quelques Fraternités nationales émergentes, qui n'ont pas encore participé à un Chapitre général. Mais il est bon de rappeler que, conformément à l'art. 4.2 des Statuts du FIOFS, les Fraternités nationales émergentes peuvent constituer un groupe de pays voisins, avec des caractéristiques sociales, culturelles et religieuses similaires. Cela leur permettrait d’être représentées par un Conseiller international propre à ce groupe, avec tous les droits.

    Restez attentifs aux communications que vous recevrez avec des informations spécifiques pour une meilleure organisation du Chapitre. Je prie les uns d’être créatifs pour commencer dès maintenant à organiser des événements et des activités pour amasser des fonds permettant la participation de chaque Fraternité nationale à ce moment de vie, de responsabilité partagée et de fraternité pour notre Ordre. Je vous invite à faire preuve de générosité pour apporter, comme le jeune de l'Evangile, les pains et les poissons, qui, avec le miracle de l'amour, combleront la faim les Fraternités qui manquent de moyens économiques pour participer au Chapitre.

    Que Jésus-Eucharistie soit le coeur de notre vie et nous inspire le désir d'être évangélisés pour rendre possible notre mission d'évangélisation.

     

    Votre sœur,

     

     

    Encarnacione del Pozo

    Encarnacion del Pozo,

    Ministre Général de l’OFS

     

     Source http://www.ciofs.org

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