•  Voir pour croire...

      La Perle du Jour

     

    Jésus Nazareth

     

      

    avec Suzanne G Testut ofs

    en collaboration de

    RCF

    La Radio dans l'âme

     

    Autres articles de Suzanne ICI


    votre commentaire
  • Ordination d’un premier prêtre franciscain conventuel en 21 ans au Canada
    ord-franc-conventuel.jpg

    Pour la première fois depuis 1990, un frère franciscain conventuel a été ordonné prêtre. L’événement s’est produit le 15 octobre à Hamilton. Le frère Reto Davatz a été ordonné par l’évêque d’Hamilton, Mgr Douglas Crosby. Reto Davatz est originaire de Montréal. Il a travaillé à l’Oratoire Saint-Joseph. Il a ensuite connu les Franciscains lorsqu’il étudiait à Ottawa.

     

    source http://www.radiovm.com/

    Autres dosssiers


    votre commentaire
  • Les prophètes : Moïse

    Interbible-moise.jpg


    Capsule vidéo de 12 min. avec Pierre-René Côté, prêtre, exégète et professeur associé
    Faculté de théologie et de sciences des religions, Université Laval

    ou vous rendre : http://www.interbible.org/medias/2011/PV201-Moise.html

      Le prophète est une personne saisie par Dieu. Son message subit l’épreuve du temps avant d’être reconnu « Parole de Dieu ». Moïse, l’un des premiers médiateurs, est l’un des plus importants prophètes du judaïsme. Yahvé le choisit comme libérateur de son peuple et témoin privilégié pour transmettre sa Loi et son nom.

    Chronique « Les prophètes » dans le cadre de l'émission Parole et vie diffusée sur Vox (Vidéotron) et Cogéco
    Première diffusion le 25 septembre 2011 • Réalisation : Lise Garneau • Production : Auvidec

    Index des vidéos de la série Les prophètes »

    Lire aussi

    audioMoïse et son appel (Jean Duhaime)

    Le bâton de Moïse (Frédéric Manns, OFM)

    Les idées suicidaires de Moïse (Sébastien Doane)

     

    Source http://www.interbible.org

    Autres dossiers


    votre commentaire
  • Homélie du 31ème dimanche du temps ordinaire

    Abbé Jean Compazieu

    Pharisens et pharisaïsme…

     

    Textes bibliques : Lire


     

    Pharisiens-jesus Depuis cinq semaines, saint Matthieu nous décrit la polémique entre Jésus et les pharisiens : nous avons lu la parabole des deux fils (celui qui dit oui mais ne fait rien puis celui qui dit non mais qui répond à l’appel du Seigneur). Puis nous avons entendu la celle des vignerons homicides, celle des invités désinvoltes, la question sur l’impôt à César. Dimanche dernier, Jésus était interrogé sur le grand commandement. Aujourd’hui, nous entendons le Christ  qui invective vigoureusement les pharisiens. Il dénonce ce qu’on pourrait appeler « les pièges de l’autorité. »


     

    Tout d’abord, une précision s’impose : nous ne devons pas confondre pharisiens et pharisaïsme. Les pharisiens étaient des hommes profondément religieux. Ils étaient très attachés à la loi de Moïse ; cela les rendait très estimables. Plusieurs fois, Jésus a mangé à la table de ces dignitaires. Une nuit, il a eu une longue conversation avec Nicodème. L’évangile nous parle aussi de Joseph d’Arimathie. Plus tard, il y a eu Saul qui est devenu le grand Saint Paul. Pendant des années, il a combattu avec acharnement les chrétiens pour défendre la loi de Moïse. Puis il est devenu un grand témoin de la foi. Tout cela nous rappelle que la conversion est toujours possible, y compris pour les pharisiens.


    Le pharisaïsme est un état d’esprit, une mentalité. C’est l’attachement à la loi pour la loi jusque dans les moindres détails. C’est aussi le mépris du petit peuple qui ne connaît pas la loi et ne la pratique pas. Le pharisaïsme des chefs religieux les mène à la vanité et à la satisfaction d’être du côté des bons. Mais sous un masque de justice, c’est l’hypocrisie qui se cache. C’est la lettre qui tue l’esprit. Ils n’oublient qu’une chose : Dieu voit ce qu’il y a dans le cœur de chacun.


    Ce que Jésus dénonce, ce n’est pas leur message. Il ne leur a jamais reproché de dire la loi. Il leur fait simplement remarquer que leur vie n’est pas en accord avec leurs paroles. Ils enseignent la loi mais ne l’observent pas. Ils disent et ne font pas. Ils sont très exigeants pour les autres, ils leur imposent de lourds fardeaux ; mais eux-mêmes ne veulent pas les remuer du doigt. Ils aiment paraître pour être remarqués des hommes. Leur but, c’est d’attirer la considération et l’intérêt des autres. Au lieu de guider le peuple qui leur est confié, ils ne pensent qu’à eux-mêmes.


    Nous avons là un avertissement très clair et une mise en garde très forte. Elle s’adresse à tous ceux qui ont pour mission d’annoncer l’Evangile, les évêques, les prêtres, les catéchistes, les parents, les éducateurs de la foi… « Ils disent et ne font pas… » Un jour ou l’autre, cette parole du Christ nous interpelle tous, qui que nous soyons. C’est la tentation du « paraître », la course au prestige et aux honneurs. Notre orgueil peut nous amener à mépriser les autres que nous jugeons pécheurs et ignorants. En agissant ainsi, nous sommes loin de Celui qui est venu chercher et sauver ceux qui étaient perdus.


    Alors, nous pouvons nous poser la question : Comment pouvons-nous nous garder du pharisaïsme et du goût du pouvoir. La réponse, nous la trouvons dans les textes bibliques de ce jour : le psaume nous invite à imiter l’enfant qui se blottit contre sa mère ; il sait qu’il doit tout à son père ; de ce fait, il ne cherche pas à faire le savant ; dans la seconde lecture, saint Paul nous invite à nous mettre au service des autres ; nous devons le faire avec douceur, sans être à charge et sans tirer profit des titres et fonctions. Enfin, dans la première lecture, le prophète Malachie nous rappelle que nous devons glorifier le Seigneur de l’univers. En un mot, nous devons nous disposer à l’humilité et au service. C’est cela qui nous éloigne du risque d’usurper le pouvoir de Dieu et de trahir nos frères.


    Pour comprendre et vivre cet évangile, c’est vers le Christ que nous devons nous tourner. Nous avons en lui un merveilleux guide. Il s’est donné sur la croix pour le salut du monde. En lavant les pieds de ses disciples au soir du Jeudi Saint, il nous apprend à aimer et à nous mettre au service les uns des autres. En s’offrant à l’Eucharistie et en aimant les siens jusqu’à en mourir, il met en pratique son grand commandement : « Que le plus grand soit votre serviteur ! »

    C’est à une véritable conversion que nous sommes tous appelés. L’important c’est d’abandonner tout sentiment de supériorité et de nous attacher à la loi d’amour avec un cœur tendre et généreux. Ce qui nous grandit vraiment aux yeux de Dieu et de nos frères, c’est le service. Ce qui fait la valeur d’une vie, c’est l’amour que nous avons pour Dieu et pour le prochain.


    En ce jour, nous te remercions, Seigneur, de nous inviter à remettre à l’endroit ce qui fonctionne à l’envers dans nos vies. Lorsque nos actes ne suivent pas nos paroles, comble-nous de ta miséricorde. Ouvre nos cœurs à la Parole de celui qui est venu servir, Jésus le Christ notre Seigneur. Amen.

     

    Source http://dimancheprochain.org

     

    Autres dossiers


    votre commentaire
  • 300 leaders religieux et des non-croyants autour du pape à Assise

    ASSISE---Panorama-aerien.jpg La 3e rencontre interreligieuse de prière et de dialogue pour la paix rassemblera quelque 300 délégués des différentes religions et quatre non-croyants, le 27 octobre 2011, à Assise. 25 ans après la rencontre voulue par Jean-Paul II, il est encore nécessaire de « dire non à toute instrumentalisation de la religion », a affirmé le président du Conseil pontifical Justice et Paix, le cardinal Peter Turkson.


    « Après 25 ans de collaboration entre les religions et de témoignage commun, le temps des bilans et d’un renouveau de l’engagement est venu. Il faut faire face à de nouveaux défis », a déclaré le haut prélat ghanéen, lors d’une conférence de presse, le 18 octobre.

     

    Parmi ces défis, le cardinal a cité la crise financière et économique, la crise des institutions démocratiques et sociales, la crise alimentaire et environnementale, les migrations, les formes « les plus sournoises » du néocolonialisme, la pauvreté et la faim, le terrorisme international, les inégalités croissantes ainsi que les discriminations religieuses.

    « Encore une fois, il faut dire non à toute instrumentalisation de la religion », a affirmé le cardinal, en prenant pour exemple les événements récents en Égypte et dans d’autres régions du monde. « La violence interreligieuse est un scandale qui dénature la véritable identité de la religion, voile le visage de Dieu et éloigne de la foi », a-t-il ajouté.

    Pour lui, cette nouvelle rencontre dans la ville de saint François (v.1181-1226) est une invitation à « la recherche de la vérité ». Cette démarche est « une condition pour abattre le fanatisme et le fondamentalisme, pour lesquels la paix s’obtient en imposant ses propres convictions aux autres, une condition pour dépasser la Babel des langages et le laïcisme qui entend marginaliser Dieu ».

     

    Une participation croissante
    Plus de 300 délégués des différentes religions, venus de plus de 50 pays, participeront à cette rencontre, ont indiqué plusieurs responsables de la curie romaine. « Depuis 1986, le nombre des participants a considérablement augmenté », a commenté Mgr Pier Luigi Celata, secrétaire du Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux. Outre le pape et de nombreux représentants de la curie romaine, la rencontre d’Assise comptera de très nombreux leaders religieux non-chrétiens, parmi lesquels près de 70 bouddhistes, dont un Chinois, des hindous, des sikhs ou encore des représentants du jainisme, du zoroastrisme, du taoïsme, du confucianisme, etc.

    Quelque 50 responsables musulmans, dont certains venus du Maroc, d’Iran, d’Arabie saoudite, d’Azerbaïdjan et d’Égypte sont annoncés. En revanche, les représentants de l’Université cairote d’Al-Azhar ont décliné l’invitation. Le nombre des représentants de l’islam a été multiplié par cinq depuis la rencontre de 1986, passant de 11 à 50. David Rosen, du grand rabbinat d’Israël, et le grand rabbin de Rome, Riccardo Di Segni, feront partie d’une délégation juive.

    La rencontre comptera une trentaine de délégations chrétiennes. Le patriarche de Constantinople Bartholomé Ier sera là, au même titre que le chef de la Communion anglicane, Rowan Williams, ou le secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises, le pasteur Olav Fykse Tveit. Le patriarcat orthodoxe de Moscou y enverra le métropolite d’Astana et du Kazakhstan, Alexandre.

    Chose inédite, quatre non-croyants ont été invités par le Conseil pontifical de la culture. Il s’agit du philosophe mexicain Guillermo Hurtado, du philosophe italien enseignant aux États-Unis Remo Bodei, du penseur Walter Baier, membre du Parti communiste autrichien, et de la philosophe et écrivain française d’origine bulgare Julia Kristeva. Cette dernière prendra la parole avant Benoît XVI, le 27 octobre, après l’intervention de huit leaders religieux.

     

    Entre silence et prière
    Autre nouveauté de l’édition 2011, l’absence de prière commune, pointée du doigt en 1986 lors de la première rencontre d’Assise. Afin d’éviter toute critique de promotion du syncrétisme, l’accent a été mis sur le « pèlerinage », plutôt que sur la prière commune, a précisé le cardinal Turkson.

    « Si la prière n’est pas une option, a précisé Mgr Mario Toso, secrétaire du Conseil pontifical Justice et Paix, l’accent a été mis cette fois-ci sur la démarche commune de cheminement pour la paix ».

    En milieu de journée, les participants seront invités à marquer un temps de silence, indique le programme de la rencontre. « La véritable prière aura lieu la veille, le mercredi 26 octobre, entre catholiques », a précisé le cardinal Turkson. Ce jour-là, Benoît XVI présidera, au Vatican, une Liturgie de la Parole en préparation à la rencontre.

    apic/imedia

     

    Source http://www.radiovm.com

     

    Autres dossiers


    votre commentaire
  •  

    Un dossier intéressant sur Assise (Italie) et l'interreligieux

    Benoit-XVI-et-Muulman.jpg 25 ans d'Assise : le dialogue pour quoi faire ?

    Vingt-cinq ans après Jean-Paul II, Benoît XVI convie les grandes religions du monde dans la cité de saint François afin de prier pour la paix, le 27 octobre. Quel a été, dans le dernier quart de siècle, l'apport de « l'esprit d'Assise » ? Notre dossier.

     

    Photo : Benoît XVI visite la mosquée bleue d'Istambul (Turquie) le 30 novembre 2006.

    ►  Pourquoi le choix d'Assise ?  On l'ignore souvent : saint François d'Assise a inauguré le dialogue interreligieux en traversant les lignes pour rencontrer, en pleine Croisade, les musulmans.

    ► Carte interactive : Les huit hauts lieux spirituels d'Assise  : saint François a vécu toute son existence à Assise et dans sa région. La ville abrite de nombreux églises et monuments en rapport avec sa vie. Visite interactive.

    ►  Photos de la rencontre d'Assise pour la paix en 1986 . Récit multimédia. Le 27 octobre 1986, Jean-Paul II organise, en pleine guerre froide, la première rencontre interreligieuse invitant 150 représentants de différentes religions à prier pour la paix. Découvrez les rares photos et vidéos d'archives de cet événement mondial.

    ►  Qu'est-ce que "l'esprit d'Assise" ?  Depuis la première rencontre interreligieuse de 1986, la formule "esprit d'Assise" s'est répandue. Que signifie-t-elle concrètement dans la bouche du pape ? Explications. 

    ► Editorial d'Anne Ponce, directrice de la rédaction :  François d'Assise, le sultan et nous . En temps de crise et de tensions, le dialogue interreligieux, à l'image de celui qui se déroule à Assise, est une nécessité.

    ► Forum : chrétiens, juifs, musulmans... Peut-on prier ensemble ?  

    Double page Assise

    "Les 25 ans d'Assise, religions : le dialogue pour quoi faire ? Les enjeux, les questions qui fâchent" . Dossier de 9 pages, paru dans Pèlerin 6725 du 20 octobre 2011.
    Vingt-cinq ans après Jean-Paul II, Benoît XVI convie les grandes religions du monde dans la cité de saint François afin de prier pour la paix, le 27 octobre.
    Longtemps réticent à l'égard de cette initiative, le pape s'en fait aujourd'hui l'ardent défenseur. Pourquoi ce changement d'attitude ? Quel a été, dans le dernier quart de siècle, l'apport de « l'esprit d'Assise » ?
    Avec les témoignages de :
    → Rivon Krieger, rabbin à Paris
    → Sœur Myriam, religieuse de l’Assomption,
    → Dominique-Marie Chanussot, fondateur des Tables de la paix
    → Alexandre Vigne, fondateur de l'association interreligieuse Cieux
    Et un reportage dans la cité marseillaise des Lauriers, où la Fraternité Bernadette apporte présence et soutien aux habitants.

    Trouvez Pèlerin chez le marchand de journaux le plus proche de chez vous (entrez "Pèlerin" puis votre adresse postale). "

    Source http://www.pelerin.info

     

    Autres dossiers


    votre commentaire
  • Assise : une rencontre, un dialogue « évident » pour les religions
    Intervention du secrétaire du Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux

    ARRIVEE ASSISEROME, mercredi 19 octobre 2011 (ZENIT.org) – Dans un monde en cours de globalisation, la nécessité de la rencontre entre les religions paraît « évidente » pour promouvoir certaines valeurs « authentiquement humaines ».

    C’est ce qu’a expliqué Mgr Pier Luigi Celata, secrétaire du Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux, au cours de la conférence de presse qui s’est tenue au Vatican le 18 octobre pour présenter la Journée de dialogue et de prière pour la paix et la justice dans le monde, « Pèlerins de la vérité, pèlerins de la paix ». Elle se déroulera le 27 octobre prochain à Assise pour le 25e anniversaire de la première rencontre convoquée par Jean-Paul II en 1986.

    « Beaucoup de problèmes qui émergent dans la vie concrète de la société civile interpellent, de manière spécifique, les différentes traditions religieuses, surtout là où elles ont ou revendiquent un espace public », a expliqué Mgr Celata.

    « Pensons aux problèmes posés par l’émigration : acceptation de l’autre, respect de sa diversité en particulier religieuse et culturelle ; dignité de toute personne humaine et droits-devoirs qui en dérivent, comme ceux concernant la liberté religieuse ; l’égalité fondamentale de tous les hommes ; la valeur de la famille, dans chacune de ses phases ».

    « Tout cela, et d’autres choses, interpelle les fidèles des différentes religions, et les oblige à chercher, à la lumière des traditions respectives et de la raison, des éléments de solution », a-t-il ajouté. « Il est clair que l’attention et la considération de la société civile dépendent de leur capacité de proposition. Leur crédibilité dépend de la capacité des religions de servir l’homme dans la totalité de sa dignité ».

    Dans ce contexte, a-t-il poursuivi, « la nécessité de la rencontre, du dialogue, de l’engagement commun apparaît évidente pour que dans un monde désormais en cours vers la globalisation, les différentes religions, avec leurs ressources spécifiques, puissent correspondre aux attentes pour la promotion de certaines valeurs authentiquement humaines ».

    « D’où l’importance et l’actualité de la prochaine Journée d’Assise » voulue par Benoît XVI, a-t-il ajouté : « se faire ensemble pèlerins pour réfléchir, à travers l’écoute et le silence ; se rencontrer dans une attitude de dialogue ; prier, chacun selon sa propre tradition : pour raviver l’engagement commun à servir l’homme dans ses instances fondamentales de justice et de paix entre les nations et au sein de chaque société ».

    Marine Soreau

    Source www.zenit.org

    Autres dossiers


    votre commentaire
  •  

    Madame, Monsieur...


    Tu aimeras le Seigneur ton Dieu ... et ton prochain comme toi-même (Matthieu 22, 37-39)


    pain-unit--2.gifÀ Montréal, dans les années 80, un soir de novembre, une foule de priants quittent une église du centre-ville. Ils étaient venus entendre un prédicateur charismatique renommé leur parler de charité, d'amour, de pardon.

         Par couples ou par grappes les gens se disaient leur admiration pour la beauté de ce qu'ils venaient d'entendre.

         Au coin de la rue un itinérant tend la main avec insistance: «Madame, monsieur, la charité s'il vous plaît». Les gens passent indifférents ... la plupart. À un moment donné deux personnes doivent faire le détour pour éviter l'homme qui se tient là.

         « Pourquoi la ville ne fait-elle rien pour nous enlever ces bums-là de dans les rues? » commente l'une des deux.

          «Tu as bien raison, si on les laisse faire on les aura sur nos perrons bientôt (Témoignage).


    LIEN : « C'est dans les gestes et les attitudes que se vérifie la qualité de notre amour pour les autres.

         Par sa vie et ses paroles, Jésus nous apprend à agir en tenant compte de trois points de repère: l'amour de Dieu, de soi-même et de son prochain. Jamais l'un sans l'autre. Une recette de vie éternelle!» (André Tiphane, Prions en Église, vol. 3.1, no 10).

         Regardons notre vie, enlevons tout le fla-fla des convenances, des apparences, pour ne garder que l'éclairage de «Tu aimeras...» que Jésus nous dit dans l'évangile d'aujourd'hui. Ne soyons pas trop surpris d'y retrouver des occasions où nos gestes et nos attitudes ne s'accordent pas avec le discours de Jésus.

     

    Source www.interbible.org

    Autres dosssiers


    votre commentaire
  • If this mail is not displayed correctly, please click here to view the corresponding web page.
         

     

     

     

    La voix Franciscaine

     

     

     

    Octobre 2011 
     

     

     

    Travailler ensemble pour la Justice et pour la Paix


    Frère Clark Berge SSF, partcipe à l’atelier de FI aux Iles Salomon en Novembre 2010

    J’ai eu il y a un mois le privilège de participer en partie au Chapitre du Premier et du Tiers Ordre, les Frères et les Sœurs de la Société de Saint François (SSF), des Franciscains Anglicans. La réunion pour le Chapitre a eu lieu au monastère Bénédictin de la Sainte Croix, dans un endroit magnifique près de Poughkeepsie, au nord de la ville de New York. La rencontre avec des  représentants de beaucoup de nations, l’atmosphère particulièrement recueillie et le dialogue sincère qui se manifestèrent au sein de ce chapitre, en firent une expérience extrêmement enrichissante.

    Franciscans International e t la Société de St-François travaillent étroitement ensemble comme en témoignent la nomination d’Averil Swanton TSSF au Conseil d’Administration International de FI et l’atelier de deux semaines organisé par FI aux Iles Salomon en Novembre 2010 pour 200 Frères et Soeurs SSF. Après la formation, Frère Selwyn Suma SSF revint en Papouasie-Nouvelle Guinée ou il rejoignit d’autres Frères et Soeurs pour attaquer ouvertement et avec courage une société multinationale forestière qui avait obtenu, par des moyens peu scrupuleux, les « droits » d’acheter à une population autochtone une vaste parcelle de forêt. Frère Selwyn à qui la direction de la société rétorqua que sa démarche était tout à fait illégale, répondit tranquillement que  « ce n’était pas le cas mais qu’il témoignait plutôt de la Vérité ». Leur démarche a abouti. Cet exemple est un défi pour chacun d’entre nous lorsqu’il s’agit d’agir pour lutter contre des situations d’injustice et de parler sans crainte au nom de la vérité...

    Sr Denise Boyle fmdm
    Directrice Executive FI

     

     

    section end
     

    Les Franciscains se font entendre aux Nations Unies


    Enkelada Papa, Responsable du Plaidoyer auprès de FI, présente une déclaration orale sur l’Examen Périodique Universel de la Papouasie Occidentale.

    Lors de la 18ème Session du Conseil des Droits de l’Homme, FI a présenté trois déclarations orales et soumis une déclaration écrite qui témoignent de la préoccupation de Franciscans International à aborder et à tenter de résoudre les problèmes de justice sur le terrain  avec des recommandations pour les gouvernements concernés sur la façon d’aborder ces problèmes.

    Lire les statements écrit>> (en anglais)
    Lire les statements oral>> (en anglais)

     
    section end
     

    Les Franciscains lancent des appels urgents

    Image 1
    La construction d’une grande route traversant le Parc National d’Isoboro et le territoire des populations autochtones en Bolivie.

    En septembre, FI a adressé quatre appels urgents aux Rapporteurs Spéciaux des Nations Unies. Ceux-ci concernaient les violations des droits de l’homme à l’égard des populations autochtones en Bolivie, les communautés locales et l’environnement en Inde, et le droit d’accès au soins dans les prisons de Papouasie Occidentale. Ces appels furent accueillis favorablement et FI continuera à faire en sorte qu’il y ait des retombées positives dans chaque pays. Lire les appels urgents>> (en anglais)

    Vers le haut

     
    section end
     

    Les Franciscains soutiennent activement les Missions Permanentes aux Nations Unies


    Les Franciscaines participent à l’Examen Périodique Universel de la Tanzanie et d'Ouganda.

    Pour la présentation de l’Examen Périodique Universel (EPU), lors de la 12ème Session, d’Octobre aux Nations Unies (NU), FI a invité trois Franciscans de Tanzanie et d’Ouganda à venir partager les problèmes rencontrés pour le maintien des droits de l’homme, chacun dans leur pays avec les Missions Permanentes aux Nations Unies, pour la France, l’Italie, la Malaisie, le Mexique et la Russie. Lire la version intégrale>> (en anglais)




    Vers le haut

     
    section end
     

    Plaidoyer pour la sauvegarde de l’environnement


     

    Les membres du bureau OFM pour la sauvegarde de la Création, la Paix et  la Justice et les Membres du Personnel de FI se sont réunis à Rome en Septembre, pour débattre de la meilleure démarche à adopter pour mieux faire prendre conscience au sein de la Famille Franciscaine des  enjeux que représentent les problèmes de sauvegarde de l’environnement. Ils feront tout pour qu’il y ait une forte participation des Franciscains au Sommet des Populations (du 26 mai au 10 juin) puis à la Conférence des Nations Unies sur le Développement Durable à Rio+ 20 au Brésil (du 4 juin au 6 juin). Lire la version intégrale>> (en anglais)

    Vers le haut

     
    section end
     

    Le droit à l’eau et à l’assainissement


    Un Guide Pratique sur l‘Eau et l‘Assainissement

    Le Droit à l’Eau et à l’Assainissement étant officiellement reconnu en Juillet 2010 par les Nations Unies comme  un Droit Humain, FI et Waterlex ont publié ensemble « Un Guide Pratique sur l‘Eau et l‘Assainissement ». Il a été élaboré d’abord pour les communautés sur le terrain afin de les aider à mieux aborder le problème d’accès à l’eau et comment faire face aux enjeux dans le domaine de la gouvernance dans la vie de tous les jours. Télécharger le Guide>>  (en anglais)

    Vers le haut

     

    Source http://www.franciscansinternational.org

    Autres dossiers


    votre commentaire
  • Assise, épicentre du mouvement pour la paix
    Les délégations présentes

    (image source .wordpress.com/)

    epicentre.jpgROME, mardi 18 octobre 2011 (ZENIT.org) – Le sanctuaire franciscain d’Assise redeviendra, le 27 octobre prochain, l’épicentre du mouvement pour la paix, sur les pas de Jean-Paul II, 25 ans après : la rencontre a été présentée ce matin au Vatican par le cardinal Peter Kodwo Appiah Turkson, président du Conseil pontifical Justice et paix.

    Ce sera une « Journée de réflexion, de dialogue et de prière pour la paix et la justice dans le monde ».

    Le pape Benoît XVI a invité à cette journée les autres confessions chrétiennes, les représentants des religions du monde et des personnes qui ne se rattachent pas à un credo, comme, pour la délégation française, Mme Julia Kristeva.

    Le pape partira du Vatican à 8h, en train, grâce à un convoi des chemins de fer italiens, et il devrait être de retour à 20 h 30.

    La journée sera préparée, la veille, par une célébration de la Parole, à 10 h 30, place Saint-Pierre, en lieu et place de l’audience générale. Le pape sera entouré par les communautés de son diocèse de Rome.

    Les représentants des Eglises d’Orient se répartiront en 17 délégations. Le patriarche Bartholomaios Ier guidera la délégation du Phanar. Et Son Eminence Aleksandr représentera le patriarche de Moscou Cyrille Ier. Les autres représentations viendront du patriarcat syro-orthodoxe, de l’Eglise apostolique arménienne, de l’Eglise orthodoxe syro-malankare, et de l’Eglise Asssyrienne d’Orient.

    Les représentants des Eglises d’Occident se répartiront en 19 délégations, dont celle de la Communion anglicane guidée par le primat, l’archevêque de Cantorbéry, Rowan Williams, celle de la Fédération luthérienne mondiale, de la Communion mondiale des Eglises réformées, du Conseil méthodiste mondial.

    Parmi les délégués des autres religions, on annonce une délégation représentant le monde juif international, dont une délégation du grand rabbinat d’Israël.

    Les représentants des autres religions seront 176, dont 48 musulmans dont un représentant d’Arabie Saoudite, et le président des musulmans du Caucase, et pour la délégation française, le président du Conseil Français du Culte Musulman, M. Mohammed Moussaoui. Les musulmans étaient 11 à Assise en 1986, et 32 en 2002, pour la journée de prière et de jeûne qui a suivi les attentats du 11 septembre 2001 : ils devraient donc être une cinquantaine le 27 octobre 2011.

    Dans la délégation hindoue, on signale la présence d’un neveu du Mahatma Gandhi, qui avait déjà participé à la journée de 1986. Seront également présents des sikhs, des adeptes du zoroastrisme, des bouddhistes,  des disciples de Confucius, des shintoïstes et des représentants des religions traditionnelles d’Afrique et d’Amérique.

    Mais qu’est-ce qui les rassemble ? La volonté de "réfléchir ensemble" et de se mettre d’accord pour une « promesse » de se mobiliser à nouveau en faveur de la paix dans le monde.

    Des non-croyants auront aussi leur place dans ce rassemblement, selon la volonté de Benoît XVI, dans la ligne des manifestations intitulées « le Parvis des gentils » promues par le Conseil pontifical de la Culture. Ils représenteront « l’universalité » des grandes valeurs de l’humanité.

    Le cardinal Turkson était accompagné de Mgr Mario Toso, S.D.B., secrétaire de ce dicastère, Mgr Pier Luigi Celata, secrétaire du Conseil pontifical pour le Dialogue interreligieux, du Père Andrea Palmieri, responsable de la section orientale du dicastère pour la Promotion de l’unité des chrétiens, Mgr Melchor José Sánchez de Toca y Alameda, sous-secrétaire du dicastère de la Culture, et du P. Jean-Marie Laurent Mazas, directeur de la section du « Parvis des gentils » de ce même conseil pontifical.

    ----------------

    Source www.zenit.org

    Autres dossiers


    votre commentaire