• Ils eurent faim... le jour du sabat

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  • 42

    CONTEMPLATION ET MISSION

    Un regard franciscain

    Première partie

     

     

    Fran-ois-en-pri-re.jpg Parce qu’il désire n’être rien d’autre qu’un contemplatif, conscient de sa misère et de la lourdeur de son coeur, saint François d’Assise « sort du siècle » mais non de la création qu’il aime. A travers sa rencontre avec le Christ, il découvre que la contemplation chrétienne inclut aussi l’action. Il comprend qu’il ne peut établir une séparation entre couvent et monde : « Le monde est notre cloître ». Ainsi, rapprochement avec Dieu et proximité de l’homme forment pour lui une unité indissoluble. Rien ne l’empêche de vivre « Pour Lui qui est mort pour eux »[1]


    La contemplation n’est donc pas une question de structures et la clôture ne définit pas la forme de vie « contemplative ». La « cellule » n’est pas un lieu physique, mais un principe de vie. Dès lors, le lieu de la contemplation s’offre dans toute circonstance dans laquelle on se trouve. Bien plus, le monde qui constitue un obstacle à la foi et à l’amour de Dieu, est pour François plus qu’un ermitage. Pour François, là est la véritable contemplation, et la contemplation est ce qui donne à l’action sa véritable dynamique. Quand quelqu’un est poussé vers Dieu, s’il veut se livrer lui-même, il doit « aller par le monde ». Il en va de même pour le travail qui ne doit pas  éteindre l’esprit de prière et de dévotion.

     

    Que peut-on entendre par le monde ?

    La création :

    L’univers, le cosmos, « le ciel et la terre », « omnia » (tout). Quand François s’écrit « Mon Dieu et mon Tout », il exprime ainsi une relation de foi : le monde ne trouve pas en lui-même son sens, il a été créé. Pour lui, être pauvre, c’est donc se savoir créature,  « être créé », « être dépendant ».

     

    Le monde dans sa dualité :

    D’un côté, le monde est le lieu où Dieu agit, c’est sa création et son œuvre. D’un autre côté, c’est le lieu où l’homme se projette, où il se veut autonome et s’affronte à Dieu. C’est le lieu du reniement. Cette double réalité traverse le cœur de l’homme, c’est pourquoi personne ne peut fuir la réalité du monde. Il suffit de faire l’expérience du désert durant un certain temps pour s’apercevoir que notre histoire suit nos pas avec ténacité et nous accompagne jusque dans la plus profonde des solitudes et peut même menacer notre vie. A ce sujet, les tentations de saint Antoine en Egypte sont bien connues (+ 356). François a aussi connu cette expérience.

     

    La société des hommes :

    François la qualifie de « saeculum » (siècle). C’est un monde concret, structuré, déterminé par le temps, les circonstances, les situations, les valeurs etc. propres à une époque. Ce monde peut être expérimenté comme quelque chose d’étranger, voire d’ennemi, de dangereux, d’abandonné de Dieu. Dans l’impossibilité de concevoir ce monde comme notre « foyer » nous pouvons alors choisir une autre forme de vie et, comme François : suivre Jésus-Christ et son Evangile. Ce « retrait » est une exigence de l’existence chrétienne mais il n’a rien à voir avec une fuite du monde.

     

    Vivre pour Celui qui mourut pour tous.

    Au début de sa conversion, François a connu la tentation de se consacrer à la vie contemplative dans un retrait total.  Vrai amant de la justice (sainteté), il se demandait s’il devait vivre parmi les hommes ou se retirer dans la solitude. Il désirait en quelque sorte réaliser sur la terre la forme de vie des anges, ne regarder que Dieu seul, sans se laisser distraire ni se salir avec les choses du monde. Il s’agissait d’une illusion. Sœur Claire et frère Sylvestre révélèrent à François son erreur.

     

    « Mais saint François, qui ne mettait pas sa confiance dans ses propres efforts, mais précédait toute affaire d’une sainte prière, choisit qu’on ne vivrait pas pour soi seul, mais pour Celui qui est mort en faveur de tous ; il savait qu’il avait été envoyé en ce but : gagner à Dieu les âmes que le diable s’efforçait d’enlever »[2]

    Pour François d’Assise, la contemplation implique donc la mission parce qu’elle est enracinée dans l’Histoire de la vie de Jésus, mort sur la croix. Tout le renvoie au projet de salut de Dieu et l’on ne peut faire la volonté de Dieu le Père qu’en s’engageant pour le salut du monde. Cela veut dire que la source qui inspire toute contemplation, c’est Jésus-Christ l’envoyé du Père pour la Rédemption de l’homme. La personne de Jésus, centre de toute contemplation, renvoie le contemplatif directement au monde des hommes.

     

    François fut transporté de bonheur en constatant qu’il ne devait rien abandonner de son attachement exclusif à Dieu et à Jésus-Christ. Cette exclusivité n’exclut pas mais inclut l’action. C’est ce que dit sa célèbre formule : « Deus meus et omnia » « Mon Dieu et mon Tout ». Ce qui peut signifier : Dieu est le seul sens personnel pour  ma vie (mon), mais ce sens inclut tout le monde, ne l’exclut pas (omnia). Autrement dit, Dieu et le monde ne s’opposent pas, ne s’affrontent pas comme des concurrents. Pour celui qui prie chrétiennement, Dieu est derrière toute chose, il est en toute chose. Saint Paul l’exprime ainsi : « Dieu est tout en tous »[3] Cependant…. Si Dieu est en tout … tout n’est pas Dieu !

     

    « Voici notre couvent ».

    Le cloître, c’est le monde et le monde, c’est le cloître. (Cloître/couvent)

    On ne peut exprimer avec plus de précision, l’unité qui existe entre la proximité de Dieu et la proximité du monde. La contemplation est possible en toutes circonstances et elle fait partie de nos obligations. Si la contemplation se réalise dans le cloître, l’univers entier doit être dans le couvent. Il n’existe pas de clôture pour la pensée ni pour le cœur et rien ni personne ne doit rester « dehors ». Tout doit être inclus dans une dimension contemplative.

    Le Cardinal Daniélou disait de l’âme contemplative : « C’est une participation et non un simple reflet ; l’âme participe à la beauté dans la mesure où elle se tourne vers elle ».

     

    Suzanne Giuseppi Testut  -  ofs

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    [1] 2Co 5, 15

    [2] 1C, 35

    [3] 1Co. 15-28


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  • Soyez comme des petits enfants...

    Jesus enf dessein 

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  • Croire en Jésus, croire en Dieu...

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  • LE SILENCE ILLUMINE LE CŒUR

      meditation au désert

    Le silence de l’homme devant Dieu.

    Le silence facilite le recueillement et permet d’établir un entretien avec le Seigneur bien au-delà des mots. Il fournit à l’homme certains éclairages sur le dialogue qu’il a engagé avec Dieu. Que ce silence intervienne avant, pendant ou après le dialogue, il est porteur d’un sens nouveau, d’une vision plus large mais aussi plus pure. Il est une sorte de mise à distance ou de retrait permettant une ouverture plus subtile, plus fine de tous nos sens. Sorte de maturation intime, de spiritualisation de toutes les « pures ouvertures » dont parle Simone Weil. Etat contemplatif précédant, suspendant ou prolongeant le dialogue avec Dieu. Il nous conduit vers l’expérience de l’écoute totale, de l’écoute de la Parole et du Souffle, vers l’accord entre « ce que je dis et ce que je fais », vers la vision juste des choses avant d’entreprendre.

     

    Le temps mystérieux des 40 jours de silence au désert, introduit Jésus dans sa mission de Verbe. Ainsi, « Celui qui possède en vérité la parole de Jésus peut entendre même son silence »  dit saint Ignace d’Antioche.

    Saint François d’Assise gardera toute sa vie, le goût du silence et des espaces retirés, à cause de la proximité avec Dieu qu’ils favorisaient. L’ermitage pour lui se rapproche plus de l’idée d’une région désertique que de l’habitat propice à la prière car il recouvre le retrait volontaire mais aussi l’absence de négoce humain. L’ermitage est ce lieu où l’intimité est sacrée, est à protéger et à défendre. Lieu où chaque mouvement accompagne la démarche de centration sur Dieu. François a le cœur-ermite mais il n’est pas seul, il est visité par Quelqu’un.[1]


    « L’image nous mène. Nous allons à la solitude extrême. L’ermite est seul devant Dieu. La hutte de l’ermite est l’antitype du monastère. Autour de cette solitude centrée rayonne un univers qui médite et qui prie, un univers hors de l’univers. La hutte ne peut recevoir aucune richesse de ce monde. Elle a une heureuse intensité de pauvreté. La hutte de l’ermite est une gloire de la pauvreté. De dépouillement en dépouillement, elle nous donne accès à l’absolu du refuge.[2]


    Faire silence devant Dieu demande un acte de courage compte tenu de ce qui nous est renvoyé dans ces moment-là car nous avons longtemps inversé notre état originel et adopté une attitude contre nature. La présence du Seigneur n’évacue pas le danger de l’ennemi ! L’homme qui fait silence devant Dieu porte avec lucidité ce dilemme intérieur mais il le porte comme une tension bénéfique. Au plus profond de son cœur, le calme côtoie souvent la lutte, la prière se mesure à l’épreuve du moi à purifier. Le cœur contemplatif se révèle ainsi comme la maison gardée par son ermite qui est l’âme. Elle est gardée aussi par le Seigneur même. Jésus est une force : l’homme bien armé a une maison en sécurité (Lc 11, 14-23) 

    C’est pourquoi François d’Assise voit le corps comme la cellule première du frère ;  l’ermite qui l’occupe étant l’âme.


    « Où que nous soyons, où que nous allions, nous emportons notre cellule avec nous » (LP 80)

    Ce corps, cet « ermite », cette âme sont toujours soumis à un mouvement et à une adaptation, itinérance et permanence se côtoient sans cesse. Mais la cellule physique, dans son côté provisoire, reste un gage de stabilité et de séparation du monde. La tradition présente François ravi en Dieu, dans cet enclos de prière. (LP 84 ; 1C 50 ; LM 9, 2 ; 11,11)  L’intimité sacrée n’a cependant rien de la fermeture stérile sur soi, il suffit de voir la qualité de vie relationnelle de François.


    Le silence de Dieu vis-à-vis de l’homme.

    L’itinéraire solitaire de François d’Assise nous dévoile l’attrait pour le silence dans toutes ses manifestations, y compris le propre silence de Dieu.

    Dans cette quête de dialogue silencieux avec Dieu, nous pouvons parfois éprouver un douloureux sentiment d’abandon faute de ressentir sa présence. Le silence de Dieu ne se fait plus entendre.  Cette absence de « manifestation » n’est-elle pas un silence pédagogique ? Est-ce la marque de sa patience qui nous confronte au vieil homme qui est en nous ? Est-ce pour nous faire sentir l’Absence et ainsi aiguiser notre désir ?

    Cette terrible solitude peut nous entraîner vers un état encore plus profond et indéfinissable suscité par l’inexprimable désir de face à face. Cette solitude est un passage qu’il nous faut franchir pour découvrir une paix dépouillée de tout ressenti humain ; paix qui s’accompagne de la force d’une assise et d’un ancrage dans une liberté et une légèreté indéfinissables. Au plus près du « cœur de Dieu », la communion des silences illumine notre cœur dans la certitude de sa présence et de sa vérité.

    « Il faut bien considérer que le silence mystique de plénitude suppose qu’on a déjà parcouru un long chemin où Dieu manifestait sa présence ».[3]

     

    Suzanne Giuseppi Testut  -  ofs

     

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    [1] Essai d’Analyse Symbolique des Admonitions de François d’Assise, Pierre Brunette, ofm

    [2] Bachelard, Poétique de l’espace, 46.

    [3] Charles A. Bernard, Théologie symbolique. Paris, Téqui, 1978


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  • Venez à moi je vous soulagerai

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  • Pas la paix mais le glaive...

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  • SILENZIO ! 

    Assise - janvier 2011

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      photo : François en adoration (Basilique supérieure San Francesco)

    Goûter Assise en hiver, prendre le risque du brouillard qui monte de la plaine d’Ombrie pour envelopper la ville et y deviner avec plus de mystère, la présence de François.


    Affronter le vent froid qui descend du mont Subasio enneigé et rejoindre François au Carceri au cœur de sa nuit.


    Marcher vers San Damiano que les derniers rayons de soleil illuminent avant l’heure de vêpres.


    Contempler Assise de la Rocca au coucher du soleil, avec cette lumière rasante d’hiver qui donne une couleur si particulière aux pierres.


    Bref, goûter Assise enveloppée de son silence d’hiver, porte plus profondément à la méditation et à la contemplation. Nous comprenons mieux comment le silence de l’homme et le silence de Dieu peuvent entrer en correspondance et, comment, dans cette communion, ce double silence devient le lieu de la Transfiguration.


    Silenzio à l’Ermitage des Carceri.

    C’est à l’ermitage des Carceri, balayé par les intempéries, qu’agenouillé dans un pauvre abri, nous comprenons que, s’il veut se jeter dans les bras du Dieu Vivant, du Dieu Amour, l’homme doit faire l’expérience de l’absence de Dieu et de son silence. Ce ne sont pas les dogmes ni les lois qui peuvent faire comprendre à l’homme que la toute-puissance de Dieu est celle de l’amour et que, si « l’amour est fort comme la mort » comme le dit le Cantique des Cantiques, sa force est fragile comme la tendresse et la miséricorde, faible et fragile comme la naissance. Ce ne sont pas les discours qui peuvent faire comprendre cela à l’homme, mais le silence. En lui peut naitre la vérité de la communion de Dieu et de l’homme.


    Silenzio à la Basilique Santa Chiara.

    Pour l’homme Biblique, Dieu a un visage et il parle à l’homme. Etre seul à la Basilique Santa Chiara, devant le Christ de Saint Damien, nous fait vraiment découvrir que le combat intérieur entre l’homme et Dieu a pour ultime langage le silence. C’est lui qui reste quand on a épuisé les discours qui s’efforcent en vain de combler le gouffre infini qui sépare la chair de l’esprit. Lorsqu’il consent à parler, Dieu a forcément le dernier mot, bien au-delà du dernier mot de François. Mais ce dernier mot de Dieu n’est audible que parce que François a renoncé à son propre discours.


    Après la tempête, après la lutte, l’homme doit accepter de faire silence pour pouvoir entendre et écouter. François perçoit alors la voix qui ne veut rien expliquer mais qui vient lui parler de présence et d’amour.

    Devant la dépouille de sœur Claire comment ne pas profiter de l’absence de la foule pour s’agenouiller près de la « Pauvre Dame », devant celle qui place le rôle de l’abbesse dans la foulée du « serviteur de Yahvé », de celui qui écoute et transmet avec douceur.  Comment ne pas méditer  cette exigence qui touche à la racine biblique, évangélique et christique du rôle de l’abbesse dans son acceptation profonde de « mère ».[1]


    Silenzio à la Basilique San Francesco.

    Ce n’est qu’à l’abri des murs de sa demeure que l’îlien goûte au silence bienfaisant. Ce n’est que lorsqu’il rentre en lui-même, au plus profond de sa sincérité que l’homme peut faire silence devant Dieu. A l’abri de tout bruit, la Crypte de la Basilique San Francesco nous laisse entendre les battements du cœur de François. Elle devient demeure bienfaisante, lieu de la rencontre. La sincérité s’impose devant François et devant Dieu.

    La Basilique et ses trésors se dévoilent, chaque détail est vu, entendu au cœur du silence. L’histoire devient réalité.


    Silenzio à San Damiano.

    La place est vide. Seuls un ou deux frères la traversent parfois. Il suffit de s’attarder dans le dortoir des « Pauvres Dames », devant l’emplacement de sœur Claire, pour en saisir le « parfum »

    « Un vase si rempli d’aromates ne pouvait rester enfoui sans diffuser son parfum dans toute la demeure du Seigneur. Plus elle brisait l’albâtre de son corps dans l’étroit réduit de sa solitude, plus se répandait dans l’Eglise entière, le parfum de sa sainteté. » (Bulle de canonisation 2-3)


    Il suffit de contempler le dortoir et de parcourir le cloître, en silence, avec un frère qui, imprégné de la douceur de Claire, a su poser la main sur notre épaule pour nous accompagner dans la prière.

    La petite chapelle est vide également. François et Claire sont là cependant. Il suffit de les regarder. Il suffit aussi de regarder les frères préparer l’Autel pour l’adoration du Saint Sacrement et de chanter les Vêpres avec eux.


    « Seigneur, me voici devant toi, tout simplement, dans le silence. Rien n’est plus important pour moi que d’habiter en ta présence »


    Silenzio à la Portioncule.

    Silence ! C’est le lieu de tous les possibles, c’est le lieu du passage de la mort à la vie !


    Se taire, tendre l’oreille vers Dieu, aiguise l’attention et prépare l’âme à devenir calice. Laissons-nous envahir par le silence pour entrer dans une libération et une paix profondes. Le corps, le cœur et l’esprit peuvent ainsi se laisser saisir, approcher, toucher par le Christ. Se laisser pénétrer par sa douceur pour s’apaiser enfin sous l’effet de sa caresse. C’est dans ces brefs instants de plénitude que la joie intérieure se manifeste et que le sourire du cœur illumine notre visage.


    Silenzio au Monastère Sainte Colette.

    Halte spirituelle pour s’imprégner  de la paix répandue par François et Claire. Témoins de cette histoire d’amour, les Sœurs Pauvres de Sainte Claire, présentes mais en retrait, implorent la tendresse de Dieu sur tout un chacun.


    Suzanne Giuseppi Testut  -  ofs

     

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    [1] « Regards sur Claire d’Assise », p. 9, Sœur Marie-Aimée du Christ


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  • Qui est mon prochain?

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