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    NEUVAINE À ST-ANTOINE
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    NEUVAINE À ST-ANTOINE - INFO 

    LES MARDIS DE SAINT-ANTOINE 18 AVRIL 2017  (1)

             

    CHANT : Exauce la prière, toi qui veilles sur nous.

                     Ô saint Antoine, ô notre Père, à l’Enfant Dieu, parle pour nous. (bis)

    Bienvenue à toutes les personnes qui se joignent  à cette neuvaine de Saint-Antoine par ce merveilleux moyen de communication. C’est une invitation particulière de célébrer le Seigneur, où notre grand Saint se fait l’intermédiaire de nous attirer vers Celui qui a tous les pouvoirs de nous conduire dans les chemins de lumière, de vérité et de bonheur. Demandons à l’Esprit Saint de nous fortifier dans notre foi et de croire que tout est possible en celui qui croit. « Demandez et vous recevrez, nous dit Jésus, et croyez que vous l’avez reçu ».

    Adressons-nous également à Marie, la glorieuse et souveraine Mère de Dieu, de nous accompagner tout au long de cette neuvaine en unissant nos prières à toutes les personnes qui, de par le monde, suivent assidûment avec dévotion et confiance ces « Mardis » pour la plus grande gloire de Dieu.

    QUI EST LE PÈRE FRÉDÉRIC JANSSOONE ?

    Nous avons désiré, pour cette présente année 2017, utiliser « Les Mardis de saint Antoine » du Père Frédéric. Pour mieux connaître ce noble Père, en vous rendant sur INTERNET, en y inscrivant son nom, vous en obtiendrez un magnifique portrait global. Il faut ajouter que la famille franciscaine attend avec grand intérêt sa canonisation dans un proche avenir.

    Saint Antoine : Tout aimable dès son enfance    (Père Frédéric)

    Dieu a tellement aimé le monde qu'il a donné son Fils uni­que, Jésus, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu'il ait la vie éternelle. Et Dieu nous a donné son Fils unique sous la forme douce et aimable d'un petit enfant ! Jésus, notre divin Maître, a montré toujours, une grande prédi­lection pour les petits enfants : et cela à cause de leur simplici­té et de l'innocence de leur coeur. Également, le saint Évangile nous montre partout le très doux Sau­veur, en compagnie de ces anges de la terre. Un jour, de grandes foules l'avaient suivi et il a guéri tous les malades. Alors on lui présenta des petits en­fants, pour qu'il leur impose les mains et il a prié sur eux. Mais ses disciples, encore très ignorants, menaçaient ceux qui les présentaient. Jésus, les voyant, fut indigné et leur dit: « Laissez ces petits enfants venir à moi et ne les empêchez point, car le royaume des cieux est à eux et à tous ceux qui leur ressemblent. En vérité, je vous le dis : « Quiconque n'aura pas reçu le royaume de Dieu comme un petit enfant, n'y entrera point. Et les embrassant, il les bénissait ». Dans une autre circonstance, les disciples demandaient à Notre-Seigneur qui sera le plus grand dans le royaume des cieux : et le divin Maître prit un petit enfant, le plaça au mi­lieu d'eux et leur enseigna l'humilité. Nous, adultes, face à Dieu, y allons-nous toujours avec notre cœur d’enfant ?

    Les parents de notre Saint, eurent ce bonheur de recevoir avec joie, comme un présent du ciel, cet enfant de bé­nédiction. Dieu voulait surtout faire du petit Fernand, qui deviendra Antoine, un grand saint.  Pour cela, il orna ses parents de toutes les vertus qui font les vrais chrétiens." Grâce à sa pieuse mère, le petit Antoine connut le bon Dieu dès les premières lueurs de sa raison, et il l'aima tendrement. Il apprit aussi d'elle qu'il avait au ciel une autre Mère et la maman Teresa se plaisait, en le berçant, à lui chanter ce cantique : « Ô Glorieuse Souveraine » qu'il répétait avec elle, qu'il chanta ensuite très souvent et jusqu’à la dernière heure de sa vie. Quand il pleurait, sa mère n'avait qu'à le porter à la fenêtre et à lui montrer l'église de Sainte-Marie; l'enfant tendait ses pe­tits bras vers la Vierge et ne pleurait plus. C’est dans cette église qu’il y reçut le saint Baptême. C'est devant l'image de la Reine du Ciel que ses parents l'entendirent prononcer de lui-même, à l'âge de cinq ans, le voeu de virginité perpétuelle !

    Ô aimable Enfant, maintenant que dans les splendeurs des Cieux tu jouis pour toujours de la présence de Jésus et de Marie, daigne nous bénir, nous qui sommes encore dans ce triste exil de la terre; bénis aussi tous nos chers enfants et obtiens, par ta puissante intercession, que Jésus et Marie veillent sur eux, les accompagnent et les protègent à travers tous les dangers de la vie et les introduisent un jour, comme toi,  ô aimable Saint, dans les éternelles joies du Paradis !

     

     EXEMPLE : Une Dame de Bologne, en Italie, était restée pendant vingt-deux ans de mariage sans enfants, et ayant en­tendu parler du grand nombre de miracles que faisait saint An­toine, elle alla souvent se prosterner devant l'autel de ce formidable thaumaturge chez les Frères-Mineurs. Une nuit, le Saint lui apparut en songe, revêtu d'une grande gloire : il lui dit d'al­ler neuf mardis de suite visiter l'église des Frères-Mineurs, d'y faire chaque fois la sainte Communion et de prier devant son image, lui promettant que ses désirs seraient accomplis. Elle crut à la promesse et obéit. Elle eut, en effet, un enfant, mais quelle ne fut pas sa douleur en voyant que le nouveau-né était une masse de chair plutôt qu'un enfant !

    Toutefois, elle ne perdit pas confiance, elle le fit emmailloter et déposer sur l'autel du Saint. Saint Antoine n'avait pas seulement en vue d'éprou­ver la confiance de cette bonne mère et de lui donner ensuite une grande joie; il voulait par un éclatant  prodige établir à jamais la dévotion des neuf Mardis. Pendant qu'on exécutait l'ordre de la Dame, celle-ci priait ardemment son Saint bien-aimé. Or, on avait à peine déposé sur l'autel cette masse de chair qu'on entendit une voix enfantine : on court à l'autel, on enlève le maillot et l'on voit,  cette chair transformée en un enfant d'une rare beauté ! Ce miracle rendit célèbre la gloire du Saint et l'efficacité de la Neuvaine des Mardis. Cela fit germer chez de nombreux peuples une dévotion telle envers saint Antoine, qu'on suivit en foule dans toutes les églises des Frères-Mineurs la dévotion des Neuf Mardis.

    PRIÈRE : Saint Antoine, toi le saint de tout le monde, nous avons recours à toi. Nous te présentons humblement toutes nos intentions. Guéris nos malades, mets la paix dans nos familles. Éclaire et guide nos jeunes. Accompagne nos aînés. Donne-nous le courage dans l'épreuve. Libère-nous de tout ce qui nous empêche de vivre notre foi.  Grand Saint Antoine, daigne par-dessus tout nous ouvrir à l'action de l'Esprit-Saint qui fera de nous tous et toutes des artisans de paix dans l'Église et dans le monde. (Il nous faut répondre généreusement aux appels du pape François et par l’intercession  de saint Antoine prier pour la paix qui est actuellement gravement mise en danger) Amen.

     SUPPLIQUE :  Dieu notre Père, tu nous as fait connaître en Jésus élevé sur la croix ta volonté de nous sauver par pur amour, et tu nous as donné en saint Antoine de Padoue, un frère qui n'a cessé de contempler ton Fils crucifié à cause de nos péchés. Fais qu'à son exemple, notre regard se porte sur la croix de Jésus pour mieux saisir la grandeur de son amour et l'inscrire dans toute notre vie. Amen.

    Dieu notre Père, tu nous as fait connaître en Jésus le don inestimable de la paix véritable et de la joie parfaite, et tu nous as donné en saint Antoine de Padoue, un frère tout rayonnant de ta paix et de ta joie. Fais qu'à son exemple, notre vie d'union avec toi soit la source de notre paix et de notre joie. Donne, Seigneur, la paix dans nos familles et à toute l’humanité. Amen.      Prenons un moment de silence pour déposer nos intentions……..

     

    POURQUOI LE MARDI ?

    Le mardi est un jour particulièrement consacré à saint Antoine, car c'est le jour de ses funérailles qui se déroulèrent au milieu de prodiges innombrables. Les gens de Padoue reconnaissants gardèrent le souvenir de ces merveilles et allèrent de préférence ce jour là, solliciter le secours de leur Saint bien-aimé. Déjà, peu de temps après sa mort, comme l'attestent les actes de sa canonisation, un miracle fut obtenu à la suite d'une neuvaine de mardis. Mais, c'est en 1617, que cette dévotion commença à se répandre dans le monde entier. Une dame de Bologne demanda avec instances au Saint une insigne faveur. Celui-ci lui apparut en songe et lui dit : " Va visiter mon image neuf mardis consécutifs dans l'église des Franciscains et tu seras exaucée. " La pieuse femme obéit avec confiance et obtint l'objet de ses désirs.

     

    PRIÈRE POUR LA CANONISATION DU Bx PÈRE FRÉDÉRIC : Dieu éternel et tout-puissant tu as accordé au Bx Frédéric Janssoone, de suivre en Terre sainte les traces de ton Fils Jésus et d'y travailler pour la paix et  pour mieux faire connaître la vie de Jésus de Nazareth et de sa très sainte Mère. Donne à ce fils de saint François d'Assise d'être bientôt canonisé et de nous attirer tous vers ton Fils, Jésus, notre Seigneur. Amen. Notre Père, Je vous salue Marie, Gloire au Père...

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