• NEUVAINE À ST-ANTOINE - 9 de 9 - (13 juin 2017)

    INTRODUCTION 

    9è MARDI de ST-ANTOINE (13 juin 2017) 

    BONNE FÊTE DE SAINT ANTOINE !

    NEUVAINE À ST-ANTOINE - 9 de 9 - (13 juin 2017)


    Paix et Joie,


    Bienvenue à ce 9è Mardi de la Neuvaine de saint Antoine.
    Nous célébrons aujourd'hui la Fête de notre célèbre personnage. Il brille spécialement en ce jour, cela depuis des siècles, de toute la splendeur spirituelle dont il a été privilégié.

    Nous terminons aujourd'hui notre bref parcours de la vie de saint Antoine. Merci à tous les fidèles amis qui ont suivi ces présentations, qui nous l'espérons, vont laisser un petit « plus » dans notre cheminement spirituel. À cet ami de son Cœur, Jésus a communiqué quelque chose de sa toute-puissance à notre grand saint Antoine. Il dégage pour chacun de nous les bontés de Dieu, aussi, il répand les immenses bienfaits de son amour sur tous ceux et celles qui l'invoquent avec confiance, humilité et persévérance.
    Nous avons effleuré certains aspects de sa vie, ce qui nous a permis de nous rapprocher du Seigneur par ses exemples, aussi par la profondeur des dons exceptionnels qu'il a reçus de Dieu.

    En notre temps, nous avons grand besoin de voir éclore des faveurs spirituelles et temporelles en particulier en cette journée de la célébration de sa Fête. Le Seigneur ne refuse pas à son serviteur Antoine d’exaucer une prière confiante et persistante. Si Dieu nous accorde ce que nous sollicitons par l'entremise de notre grand saint, soyons reconnaissants et montrons notre gratitude par une vie plus sainte. Si, au contraire, Dieu ne nous exauce pas dès maintenant, soyons assurés qu'il nous accordera à son heure, ce qui sera le meilleur pour nous. À l’exemple de Marie, disons : « Que tout se passe pour moi, selon ta Parole. »

    Réflexions : (Père Frédéric) « L'homme est né pour le bonheur ; il y tend sans cesse comme à une nécessité de sa nature, comme à sa fin dernière. Jésus-Christ n'est venu que pour reconquérir nos droits à ce bonheur et nous donner les moyens d'y parvenir. Le Ciel, c'est Dieu ; c'est Dieu qui sera notre grande récompense. Au Ciel, nous le verrons face à face, sans nuages, sans voiles, tel qu'il est en lui-même. Au Ciel, nous l'aimerons d'un amour béatifique et notre âme s'enivrera au torrent de ses intarissables délices. Au Ciel, nous le posséderons, sans plus craindre de le perdre et nous nous reposerons dans le sein de son éternelle et infinie béatitude. Qu'il est beau, qu'il soit enviable le Paradis, cette splendide cité où le Roi des rois se montre à ses élus, les inonde de ses clartés et les rend participants de son bonheur suprême ! Comme elle est belle et magnifique la société des Anges et des Saints qui peuple les sacrés parvis et fait retentir les noms de la céleste Jérusalem par leurs chants d'allégresse ! »

    Quant à nous, sachons que la mort la plus effroyable n’est pas celle qui sépare l’âme du corps, mais celle qui sépare l’âme de Dieu. Le péché nous a apporté cette fatalité qu’est la mort. Des milliards d’humains y sont passés et certainement que l’on court le risque d’y arriver un de ces jours. Très certainement, on y passera. Il est grand temps qu’on se mette en route vers le Paradis. Il faut se réveiller pendant qu’il est encore temps. Personne ne peut nous assurer que demain nous serons de ce monde…!

    Voici un premier miracle qui nous démontre la foi persistante d’une prière adressée à saint Antoine. En
    1639, deux hommes de Lorette eurent une violente altercation; l'un d'eux ne s'était pas confessé depuis sept ans. Ce malheureux, atteint d'une blessure mortelle, expira dans la rue, baigné dans son sang. Il avait une soeur très dévote à saint Antoine ; elle n'ignorait pas l'impiété de son frère et accablée de douleur, elle en appelait à notre « faiseur de miracles.»
    « Grand saint Antoine, s'écria-t-elle, ayez pitié de l'âme de mon frère et ne permettez pas qu'il soit damné » ! ..... Il y avait deux heures qu'elle priait de la sorte auprès du corps inanimé de son frère que tout le monde tenait pour bien mort, quand tout à coup, celui-ci se ranime et demande à se confesser.
    Un religieux fut appelé, et le ressuscité s’est confessé. Mais à peine avait-il reçu la sainte absolution qu'il rendit son âme au Seigneur. De quel secours furent pour ce malheureux les prières confiantes de sa sœur en saint Antoine.

    Deuxième miracle : Une jeune enfant d'Espagne était gravement malade. Ses parents l’adoraient à cause de sa beauté et de sa bonté extraordinaires. Malgré toute leur sollicitude, la force du mal l'emporta et elle mourut. Rien ne pouvait adoucir la douleur de la Reine, sa mère. Elle voulut fortement que saint Antoine rendit la vie à son enfant. Le Roi, son père, cependant avait ordonné d'ensevelir le petit corps, car déjà on était au quatrième jour et il commençait à se corrompre. Mais la Reine s'y opposait, persuadée que sa prière serait exaucée.
    Saint Antoine opéra un miracle que toute la cour admira avec une sorte de saisissement. L'enfant ressuscitée dit à la Reine : « Ma chère mère, lorsque vous avez prié saint Antoine pour moi, je me trouvais au Paradis au milieu du choeur des vierges ; et au sein de cette félicité, voyant trop bien les dangers des vanités de ce monde, je me recommandais à Dieu pour qu'il ne vous exauce pas. Mais le Seigneur me répondit qu'il s'était fait une règle de ne refuser aucune grâce à son serviteur Antoine, et que ma foi vive méritait bien cette récompense que je retournerais donc sur la terre pour alléger votre affliction et vous donner l'heureuse nouvelle de mon bonheur; mais que je serais aussi exaucée à mon tour et que dans quinze jours, il me rappellerait à lui par une mort tranquille, et qu'il me garderait l'heureuse place qu'il m'avait réservée.» Les choses se passèrent comme l'enfant l'avait prédit, et toute la cour qui fut instruite de la prophétie a pu en attester la pleine et entière vérité......
    Bienheureux saint Antoine, nous savons que tu te désaltères pleinement au milieu de l’éternel bonheur du Paradis et que tu baignes dans la mer des joies célestes… ! Nous sommes aussi convaincus que tu es toujours un Apôtre au cœur de feu, cœur du parfait missionnaire constamment tourné vers nous qui vivons dans un monde tourmenté par mille et une préoccupations quotidiennes, souvent contradictoires. Aie pitié de nous et aide-nous à nous déprendre de toutes ces bagatelles et à relever nos âmes vers le Paradis promis. Augmente en nous un vif désir pour les biens éternels, de telle sorte que, vivant en ce monde comme des pèlerins, nous tendions par des efforts continus vers la Cité permanente où Dieu sera notre Suprême Béatitude.

    « Un autre monde est possible, dit le Pape François, et les médias peuvent y contribuer en ne perdant jamais de vue la confiance, l’espérance et « l’horizon du Royaume . » Unis à la Vierge Marie et à notre bon saint Antoine, rendons grâce à Dieu des faveurs abondantes obtenues durant ces courts moments de prière qui nous ont réunis en cette Neuvaine. Dieu continue son œuvre d’amour par nos saints et saintes de tous les temps. Ils nous attirent à Dieu, en suivant leurs pas pour devenir à notre tour des témoins de Jésus Ressuscité. Les cadeaux de Dieu s’obtiennent par notre foi et notre persévérance en un Dieu bienveillant et miséricordieux. « Si tu crois, tu verras la gloire de Dieu. »

    Prière : Viens Esprit-Saint, viens par la puissante intercession du Cœur Immaculé de Marie, ton épouse très aimée. (3 fois)

    Lise et Gaétan ofs

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