• C’est « aujourd’hui ou jamais », avertit le pape à la messe

    Il met en garde contre la tentation « du demain qui ne sera pas »

    Messe matinale, Sainte-Marthe, Capture CTV

    Messe Matinale, Sainte-Marthe, Capture CTV

    Pour répondre à l’amour du Seigneur, c’est « aujourd’hui ou jamais », a averti le pape François le 12 janvier 2017. Célébrant la messe matinale en la chapelle de la Maison Sainte-Marthe au Vatican, il a mis en garde contre « la tentation du demain qui ne sera pas ».

    Le pape a commenté la première lecture où l’auteur de la lettre aux Hébreux écrit « Aujourd’hui, si vous entendez sa voix, n’endurcissez pas votre cœur » (He 3, 7-14). Cet aujourd’hui, a-t-il expliqué, c’est « notre vie », et après lui « il n’y aura pas de replay » car l’aujourd’hui « ne se répète pas ».

    Il existe « un seul aujourd’hui dans notre vie », a insisté le pape, mettant en garde contre la tentation de repousser « à demain ». « La tentation du demain qui ne sera pas », c’est celle des cinq vierges insouciantes de l’Evangile, qui arrivent « trop tard » au banquet.

    « Je ne dis pas cela pour vous faire peur, mais simplement pour dire que notre vie est un aujourd’hui : aujourd’hui ou jamais ». Le « demain » c’est « le demain éternel, sans déclin, avec le Seigneur, pour toujours. Si je suis fidèle à cet aujourd’hui ».

    Cet aujourd’hui où « nous avons reçu l’amour de Dieu », est le temps pour « renouveler notre alliance avec la fidélité de Dieu ». Le pape a alors invité à un examen de conscience : « Comment est-ce que je vis cet aujourd’hui ? ».

    Comment est mon cœur ?

    C’est « dans notre cœur » que « nous rencontrons le Seigneur », que « se joue l’aujourd’hui », a-t-il poursuivi : le cœur doit donc être « ouvert au Seigneur, non pas dur, pas endurci, pas sans foi, pas pervers, pas séduit par les péchés ».

    C’est le deuxième examen de conscience proposé par le pape : « Comment est mon cœur ? Est-il ouvert ? Est-il ferme dans la foi ? Est-ce qu’il se laisse conduire par l’amour du Seigneur ? »

    « Cela me touche toujours, a confié le pape François, de rencontrer une personnes âgée – souvent une religieuse ou un prêtre – qui me dit : ‘Père, prie pour ma persévérance finale’ – ‘Mais tu as fait du bien toute ta vie, tous les jours de ton aujourd’hui sont au service du Seigneur, et tu as peur… ?’ – ‘Non, non: ma vie n’est pas encore finie : je voudrais la vivre pleinement, (…) avec le cœur ferme dans la foi, et pas abîmé par le péché, par les vices, par la corruption…’ ».

    source ZENIT.org

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  • Il faut « s’unir à ses larmes » pour parler d’espérance à une personne désespérée

    Catéchèse en français, 4 janvier 2017, sur l’espérance de Rachel

    Catéchèse sur l'espérance de Rachel, 4.1.2017 capture CTV

    Catéchèse Sur L'espérance De Rachel, 4.1.2017 Capture CTV

    Il faut « s’unir à ses larmes » pour pouvoir « parler d’espérance à une personne désespérée », explique le pape François dans cette première catéchèse de l’année civile, donnée ce mercredi 4 janvier 2017, en la salle Paul VI du Vatican. Le pape a poursuivi ses catéchèses sur l’espérance chrétienne.

    « Frères et sœurs, le prophète Jérémie nous présente Rachel, l’ancêtre du peuple de Dieu, comme un modèle d’espérance dans les larmes. Rachel a perdu pour toujours ses enfants, ils « ne sont plus ». Elle représente la souffrance de toutes les mères du monde et de tous les temps, les larmes de tous ceux qui vivent une perte irréparable », a fait observer le pape qui vient de publier une lettre aux évêques sur la souffrance des enfants.

    Le pape a souligné que seule la compassion peut permettre de communiquer l’espérance: « Rachel refuse d’être consolée, refus qui exprime l’amertume de ses larmes et la profondeur de sa souffrance. De fait, pour parler d’espérance à une personne désespérée il faut d’abord partager sa souffrance et s’unir à ses larmes. »

    Mais c’est Dieu le premier qui console la mère: « Le Seigneur répond à celles de Rachel par une promesse qui, maintenant, peut être la cause d’une vraie consolation : le peuple reviendra d’exil et vivra, libre dans la foi. »

    Le pape revient sur la souffrance des Saints Innocents du temps d’Hérode: « Saint Matthieu applique ce texte de Jérémie à la persécution des Innocents, tués à cause de Jésus. »

    Et c’est le Christ qui fonde la véritable espérance: « Le Fils de Dieu est entré dans la douleur des hommes, il l’a portée jusqu’au bout. Née dans les larmes, sa parole est pour toujours parole de consolation. Les pleurs de Marie également, comme ceux de Rachel, ont suscité l’espérance et la vie nouvelle. »

    Aux francophones présents à l’audience, le pape a souhaité de garder cette espérance tout au long de l’année 2017 en disant: « Je salue cordialement les pèlerins de langue française. La lumière de Noël éclaire désormais toute notre existence. Même si la vie est parfois difficile et les difficultés et les inquiétudes ne manquent pas, je forme le vœu que le Seigneur Jésus vous garde tout au long de cette année dans l’espérance de la foi et qu’il vous accorde la vraie joie des enfants de Dieu. Que Dieu vous bénisse. »

    source ZENIT.org

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  • Connaissez-vous la recette du bonheur ?

    Elle pourrait être bien plus simple que vous ne le pensez !

    Assurément, j’aimerais découvrir une formule magique pour être toujours et à tout moment heureux. Sans une ombre de tristesse et sans la moindre pointe de douleur. Il y a quelques jours, un petit garçon m’avait demandé : « Es-tu une personne heureuse, ou es-tu une de ces personnes qui ont des moments heureux ? ».

    Pour ma part, je veux être toujours joyeux. Je ris. Je plaisante. J’ai un grand sens de l’humour. J’aime rire de moi-même et des autres, mais je ne suis pas toujours heureux. Une certaine mélancolie peut soudainement, m’envelopper et alors, ma paix intérieure chavire, ma joie s’en va.

    Je voudrais être heureux, toujours ! Et je m’attèle à cette tâche en obtenant souvent, des résultats bien frustrants. Il est vrai que j’y parviens parfois, et j’en suis bien content. Mais les autres fois, je me braque, je m’obstine et je n’y arrive pas. Je n’y parviens pas, parce que je ne vis pas le « ici et maintenant ».  

    Dan Gilbert parle d’une expérience menée à partir d’une application pour téléphones portables, à laquelle participaient 5 000 personnes de 83 pays. Cette application demandait périodiquement à ses participants, comment ils se sentaient, ce qu’ils étaient en train de faire au présent, et si au même moment, ils étaient en train de penser à quelque chose de différent.

    Les résultats obtenus montraient que les personnes pensaient presque autant aux choses qu’ils n’étaient pas en train de faire, qu’aux affaires qu’ils avaient sous les yeux. Les données collectées ont permis de montrer que ces « pensées errantes » les rendaient malheureux.

    Lorsqu’on ne profite pas du présent, on n’est pas heureux. Lorsqu’on vit tourné vers le passé ou angoissé par le présent, on ne trouve pas la paix intérieure. C’est ainsi que les pensées errantes nous travaillent sans cesse et que la tristesse atteint notre moral. Et moi, malgré tout, je voudrais que rien n’entrave mon bonheur.

    La solitude comme solution ?    Lire la suite ICI

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  • Le succès de la « vidéo du pape » en dix langues

    Un message relayé par tous les réseaux sociaux

    Le P. Frédéric Fornos S.J., audience du pape François, Capture CTV

    Le P. Frédéric Fornos S.J., Audience Du Pape François, Capture CTV

    « C’est extraordinaire, c’est une merveille »: le père Frédéric Fornos, jésuite français, responsable de la « vidéo du pape » qui diffuse désormais chaque mois ses intentions de prière, commente au micro de Radio Vatican en italien le succès de cette initiative. La prochaine vidéo devrait sortir le 9 janvier et le pape ne devrait plus proposer chaque mois qu’une seule intention de prière à son Réseau mondial de prière.

    « On voit que le Seigneur pousse ce projet parce que, vraiment, nous ne nous attendions pas à ce que tant de monde regarde ces vidéos du pape. Pour nous, il était important d’aider le Saint-Père à avoir un instrument pour rejoindre les gens, pour aider les catholiques à prier avec lui et avec toutes les personnes de bonne volonté pour les grands défis de l’humanité. Après 12 mois, nous comptons plus de 13 millions de visualisations de la « Vidéo du pape », seulement sur notre réseau ici, au Vatican. Si nous prenons aussi en considération les plus de 3.200 médias dans le monde qui parlent, qui font connaître les vidéos du pape tous les mois, alors, le chiffre est encore plus grand : il y a des millions de personnes, dans le monde entier, qui la regardent, y compris par exemple à travers Whatsapp. Il y a quinze jours, j’étais au Vietnam : j’y ai rencontré des jeunes qui m’ont montré la vidéo du pape à travers Whatsapp ! », explique le p. Fornos.

    Désormais cette façon dynamique, en image, et directe de communiquer est relayée par les différents réseaux sociaux: « Cette vidéo est disponible en dix langues à travers tous les réseaux sociaux : Youtube, Facebook, Twitter, Instagram ; c’est pour cette raison qu’elle rejoint beaucoup de jeunes. Comme nous le savons, les jeunes cherchent des images, des vidéos… C’est le langage du monde d’aujourd’hui et ce langage permet à de nombreuses personnes de connaître les préoccupations du Saint-Père quant à la mission de l’Église, aux défis de l’humanité ; il nous implique dans une communion. Nous avons aussi reçu sept prix : le dernier est le prix « Bravo » de la part de la Conférence épiscopale espagnole. C’est une reconnaissance pour ce travail réalisé avec l’agence Maci, l’agence de communication qui nous aide beaucoup dans cette initiative, et avec le Secrétariat pour la communication du Saint-Siège. C’est vraiment un grand projet ; c’est surprenant pour nous. Au début, nous pensions que ce serait un projet exclusif pour le Jubilé de la miséricorde, pour aider non seulement les catholiques – c’est un projet pour l’évangélisation – mais surtout les gens loin de l’Église, à connaître les intentions du Saint-Père et de l’Église universelle pendant l’Année de la miséricorde. En septembre dernier, j’ai rencontré le Saint-Père lors d’une audience privée et il m’a dit qu’il était très content de ce projet et qu’il désirait le poursuivre en 2017. Nous sommes donc déjà en train de travailler pour les intentions de prière de 2017. »

    Le p. Fornos annonce la nouveauté de 2017: « Jusqu’à maintenant, et pendant plus de cent ans, il y avait deux intentions de prière par mois, que le pape confiait à son Réseau mondial de prière : une intention générale et une missionnaire. Avec une première réforme, elles ont été appelées : « intention universelle » et « intention pour l’évangélisation ». Dans le processus de réforme de ce service ecclésial du Saint-Siège, une autre modification a été apportée : il y aura une intention universelle et une intention pour l’évangélisation qui s’alterneront tous les mois : un mois il y aura une intention universelle et le mois suivant une intention pour l’évangélisation. Cela signifie que chaque mois nous avons une intention, une orientation pour notre vie et pour la mission de l’Église et, le mois suivant, il y aura une intention universelle pour l’évangélisation. En conséquence, les deux vidéos auront des styles différents. Il y aura aussi une autre modification : le pape François nous confiera au début de chaque mois, au premier Angelus de chaque mois, une intention de prière « du dernier moment », plus urgente, en relation avec l’actualité, avec ce qui se passe dans le monde, avec les souffrances ou les grands défis et qui préoccupent le Saint-Père, l’Église et sa mission. Au début de chaque mois, par conséquent, il nous confiera cette intention afin que nous puissions prier avec lui et avec toute l’Église ; tout cela aussi pour nous aider à sortir de la mondialisation de l’indifférence et nous ouvrir à une culture de la rencontre, à l’ouverture aux autres et à ce nouveau monde qui est en train de naître. »

    source ZENIT.org

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  • Le saviez-vous ? Faire preuve de reconnaissance peut rendre la vie meilleure

    La gratitude est l’un des sentiments les plus beaux que nous connaissions.

    Le saviez-vous ? Faire preuve de reconnaissance peut rendre la vie meilleure

    ©Pexel

    En plus d’être un mot beau mot et positif, la reconnaissance est l’une des clés qui devrait faire partie du chemin de tous ceux qui recherchent le bonheur et une vie bien remplie. En fin de compte, qui n’aime pas se sentir reconnaissant ?

    Remercier nous fait sortir de l’état de victime des tracas de la vie pour devenir enfin acteur. Nous devons chercher les petits éléments de la vie qui rendent nos plaintes insignifiantes. Comme l’enseignait le philosophe, Alphonse Karr, cessons de nous plaindre des épines des roses et admirons les roses dans les ronces.

    La reconnaissance est-elle présente dans notre vie ?

    Mais si la reconnaissance améliore la vie, avez-vous déjà remarqué si elle était présente dans votre vie ? Si par hasard vous ne vous sentez pas très bien et n’arrivez pas à penser à des motifs et des raisons pour être reconnaissant, nous avons fait une liste qui pourra peut-être vous aider :

    Être vivant

    Je me rappelle que lorsque j’étais enfant, à peu près vers 8 ou 9 ans, je jouais avec mon frère dans la piscine. Comme c’était la piscine dédiée aux sauts acrobatiques, la profondeur était d’environ 5 mètres, ce qui veut dire que je n’avais aucune chance d’avoir pied. Pendant ce jeu, mon frère a commencé à s’appuyer sur mes épaules, et je me suis rapidement retrouvé la tête sous l’eau, sans pouvoir respirer et tentant de remonter désespérément à la surface… Je me rappelle que la vie (jusqu’alors très courte) est passée entièrement devant mes yeux alors que j’entendais les rires de celui qui ne comprenait pas ce qui se passait sous l’eau.

    Vivre une expérience qui met sa vie en danger (que ce soit une maladie ou un grave accident) nous permet de nous rendre compte de la valeur de la vie. Évidemment, il est normal de ne pas être reconnaissant pour quelque chose d’aussi naturel que de vivre, mais la possibilité d’être vivant et de pouvoir vivre le lendemain est un motif de plus pour remercier.

    Être entouré de personnes qui nous aiment

    Mettre fin à une relation ou perdre un être cher est toujours un prétexte pour se poser la question :  pouvons-nous encore aimer ou être aimé ? La réponse est évidemment oui  ! Nous sommes entourés de personnes qui nous aiment mais que parfois nous laissons de côté. N’oublions pas d’être reconnaissant envers chaque personne qui nous entoure et soyons reconnaissant de pouvoir les aimer.

    Posséder des choses que nous aimons

    On peut rêver et désirer avoir le nouvel IPhone, une nouvelle Playstation et une armoire pleine de vêtements neufs… mais cessons de penser à ce que nous n’avons pas et faisons plus attention à ce que nous avons déjà. Une maison, des meubles, des habits, des livres… Rêver à ce que l’on ne possède pas est normal, mais n’oublions pas de regarder avec attention ce que nous avons déjà acquis.

    Avoir du confort.... Lire la suite ICI

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  • Bonjour, j'ai beaucoup aimé cet entrevue avec Frédéric Lenoir à ''Tout le monde en parle'' de Radio Canada . cliquez sur l'IMAGE pour VOIR et ENTENDRE. (a été vue plus de 5 millions de fois)

    Je crois que vous devez avoir un compte Facebook pour le visionner.

     

     

    source Facebook

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  • Que sera 2017, qu'espères-tu qu'elle soit pour toi?

    Pour ma part j'espère être un meilleur Humain et de participer davantage à se qu'il y ait moins d'injustice en y travaillant de mon mieux. Merci de m'aider en priant pour que je reste fidèle à cela. R.C.

    Tu peux écrire ton message dans la zone ''commentaires'' plus bas.

    Que sera 2017, qu'espères-tu qu'elle soit pour toi?

     

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  • Au terme de l’année 2016, le pape défend les jeunes

    Il plaide pour un travail « digne, libre, créatif, participatif, solidaire »

    Vêpres du 31 décembre 2016, capture CTV

    Vêpres Du 31 Décembre 2016, Capture CTV

    Au terme de l’année 2016, en célébrant les vêpres en la basilique Saint-Pierre, le 31 décembre, le pape François a défendu la place des jeunes dans la société. Dénonçant les contradictions d’une culture qui « idolâtre » la jeunesse mais marginalise les jeunes, il a plaidé pour leur accès au marché du travail.

    Une semaine après Noël, le pape a invité à regarder la crèche et « les visages de Joseph et de Marie » : « Visages jeunes chargés d’espérance et d’aspirations, chargés de questions », a-t-il fait observer.

    « On ne peut parler d’avenir, a poursuivi le pape, sans contempler ces visages jeunes et assumer la responsabilité, (…) la dette que nous avons envers eux. Parler d’une année qui finit c’est nous sentir invités à penser comment nous nous sommes intéressés à la place que les jeunes ont dans notre société ».

    Le pape François a pointé du doigt les contradictions inhérentes à la culture actuelle qui « idolâtre la jeunesse cherchant à la rendre éternelle » mais condamne les jeunes « à ne pas avoir d’espace de réelle insertion » : « nous les avons lentement marginalisés de la vie publique, les obligeant à émigrer ou à mendier des occupations qui n’existent pas ou qui ne leur permettent pas de se projeter dans un lendemain ».

    Une société comparable à l’aubergiste de Bethléem « qui devant le jeune couple disait: ici il n’y a pas de place. Il n’y avait pas de place pour la vie, pour l’avenir ». Ainsi « nous attendons d’eux et exigeons qu’ils soient ferment d’avenir, mais nous les discriminons et les ‘condamnons’ à frapper à des portes qui de plus demeurent fermées ».

    Un travail digne et honnête

    Le pape François a spécialement plaidé pour l’accès des jeunes à l’emploi : « Nous avons privilégié la spéculation au lieu de travaux dignes et honnêtes qui leur permettent d’être des protagonistes actifs dans la vie de notre société ». Et d’appeler à « aider nos jeunes à retrouver, ici sur leur terre, dans leur patrie, des horizons concrets d’un avenir à construire ».

    « Ne nous privons pas de la force de leurs mains, de leurs esprits, de leurs capacité de prophétiser les rêves de leurs anciens, a exhorté le pape. Si nous voulons viser un avenir qui soit digne d’eux, nous ne pourrons l’atteindre qu’en pariant sur une vraie inclusion : celle que donne le travail digne, libre, créatif, participatif et solidaire ».

    « Regarder la crèche, a conclu le pape, nous provoque à aider nos jeunes pour qu’ils ne se laissent pas décevoir devant nos immaturités, et les stimuler afin qu’ils soient capables de rêver et de lutter pour leurs rêves. Capables de grandir et de devenir pères et mères de notre peuple ».

    La liturgie des premières vêpres de la solennité de sainte Marie Mère de Dieu – 1er janvier – a été suivie par l’exposition du Saint Sacrement, par le traditionnel chant du «Te Deum», en action de grâce pour l’année civile écoulée, et par la bénédiction eucharistique. Le pape devait ensuite aller se recueillir devant la crèche de la place Saint-Pierre.

    source ZENIT.org

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  • Nous prions plus souvent que nous le croyons...

    Se plaindre… c’est prier !

    Abraham nous montre le chemin de la foi et de l’espérance d'une manière inattendue, a expliqué le pape François lors de l'audience générale.

    Se plaindre… c’est prier ! - Le Pape François


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  • « Arrêtons-nous pour regarder la crèche », encourage le pape

    Tweets du temps de Noël

    Crèche maltaise place Saint-Pierre 2016 © Zenit, Sergio Mora

    Crèche Maltaise Place Saint-Pierre 2016 © Zenit, Sergio Mora

    Durant le temps de Noël, le pape François a encouragé à s’arrêter pour regarder la crèche, dans des tweets publiés sur son compte @Pontifex_fr autour de la fête de la Nativité 2016.

    « Laissons-nous toucher par la tendresse qui sauve, a-t-il ainsi écrit le 29 décembre ; approchons-nous de Dieu qui se fait proche, arrêtons-nous pour regarder la crèche ».

    Le 24 décembre, il avait publié cette invitation : « Comme les bergers de Bethléem, puissent nos yeux s’émerveiller en contemplant dans l’enfant Jésus le Fils de Dieu ».

    « Dieu, épris de nous, nous attire par sa tendresse, naissant pauvre et fragile au milieu de nous, comme un de nous », a souligné le pape le 28 décembre.

    La veille, toujours sur Twitter, il avait expliqué que « Noël a surtout une saveur d’espérance parce que, malgré nos ténèbres, la lumière de Dieu resplendit ».

    Quelques jours avant Noël, dans sa catéchèse du 21 décembre, le pape avait assuré que « dans sa simplicité, la crèche transmet l’espérance à travers chacun des personnages : Jésus, en qui l’espérance de Dieu et l’espérance de l’homme se rencontrent ; Marie, Mère de l’espérance, qui contemple l’Enfant et voit en Lui l’amour de Dieu venu sauver son peuple et toute l’humanité ; et Joseph, qui a cru à la parole de l’ange et qui a nommé cet Enfant ‘Jésus’, un nom qui est une espérance pour chaque homme ».

    Il avait aussi encouragé à se laisser « toucher par Dieu » devant la crèche, au cours de l’audience générale du 14 décembre : « Je vous invite, devant la crèche, à vous laisser toucher par Dieu qui pour nous s’est fait enfant, un Dieu qui abandonne sa grandeur pour se faire proche de chacun de nous ».

    source ZENIT.org

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